ARTICLE ORIGINAL
CAMPELLO, Mônica Conte [1]
CAMPELLO, Mônica Conte. Réponse au défi lancé par Silas Malafaia à ses critiques: pourquoi la théologie de la prospérité n’est-elle pas acceptée dans la Bible ? Revista Científica Multidisciplinar Núcleo do Conhecimento. An. 07, éd. 06, vol. 02, p. 72-165. Juin 2022. ISSN : 2448-0959, Lien d’accès: https://www.nucleodoconhecimento.com.br/theologie-fr/reponse-au-defi-lance-par-silas, DOI: 10.32749/nucleodoconhecimento.com.br/theologie-fr/reponse-au-defi-lance-par-silas
RÉSUMÉ
Le présent travail est une réponse à un défi lancé par le Pasteur Silas Malafaia aux détracteurs de la Théologie de la prospérité qu’il défend comme biblique. Des extraits de la vidéo « Pastor Silas Malafaia – Uma vida de prosperidade » ont été écoutés, étudiés et analysés à partir de textes bibliques. Mais pourquoi la théologie de la prospérité n’est-elle pas acceptée bibliquement ? L’objectif de cette étude est de prouver que la théologie de la prospérité n’a aucun fondement biblique, et est donc non biblique. Il est donc prévu de présenter des réponses aux arguments soutenus par lui comme preuve que la théologie susmentionnée n’a aucune base biblique. Pour procéder à l’analyse et à la réponse à ces arguments, des textes bibliques correspondants sélectionnés sur le site Web YouVersion ont été utilisés, qui contiennent différentes versions bibliques, entre autres telles que la Bible en ligne, la Bible grecque, la Bible hébraïque, à des fins de comparaison et d’analyse. Pour ce faire, une recherche qualitative exploratoire et descriptive sera réalisée dans laquelle les extraits de la vidéo analysée seront observés de manière déductive afin de répondre à la question-problème à travers une étude de cas. Enfin, chaque réponse présentée à chaque extrait de la vidéo mis en évidence dans son cadre respectif mis en évidence dans cette étude a démontré le résultat attendu concernant la question explorée à la fois sur la base de textes bibliques et des interprétations d’autres auteurs sur le sujet, pouvant procéder à de nouvelles analyses puisque le sujet n’est pas épuisé dans cette étude.
Mots-clés : Étude biblique, Fondement biblique, Théologie de la prospérité, Silas Malafaia, Arguments anti-bibliques.
1. INTRODUCTION
Le mouvement de la théologie de la prospérité est basé sur les écrits du prédicateur radio et ministre méthodiste William Essek Kenyon (1867-1948) qui mettait l’accent sur les paroles prononcées dans la foi et la révélation sur les connaissances acquises par les sens, qui se résumaient à la confession de la foi positive qui induit l’action de Dieu. Kenneth Hagin, à son tour, étant un illustre promoteur des enseignements de la théologie de la prospérité, plus tard, plus précisément dans les années 1960, a ajouté la prospérité à son système doctrinal développé dans un centre de formation biblique appelé Rhema. (ROSSI, 2015)
La théologie de la prospérité forme « un ensemble de croyances et d’affirmations, apparues aux États-Unis, qui prétendent qu’il est légitime pour le croyant de rechercher des résultats, d’avoir une fortune favorable, de s’enrichir, d’obtenir la faveur divine pour sa vie matérielle ou simplement de progrès » (CAMPOS, 1997, p.363). En ce sens, cette théologie est comprise comme une doctrine de nature religieuse chrétienne qui prône la bénédiction financière comme étant la volonté de Dieu pour son peuple et que sa richesse matérielle peut augmenter grâce aux dons faits aux ministères chrétiens tels que la prédication qui est entendue par les églises qui le défendent.
C’est un courant théologique d’origine nord-américaine qui, initialement, au XIXe siècle, XIX, a pratiqué la commercialisation de la foi à partir de la distorsion des enseignements bibliques, exaltant l’accumulation des richesses matérielles terrestres. De nos jours, il prêche la faveur divine à ceux qui deviennent ses disciples, qui apprennent à remplacer la foi par des entreprises prospères basées sur l’enseignement que Jésus-Christ exige nécessairement la poursuite de la richesse matérielle et d’une bonne santé. Cependant, si la foi est faible, elle engendrera la misère et la maladie. Cela dépeint la confession positive – un autre nom pour la théologie de la prospérité – qui usurpe l’enseignement chrétien de la confession de foi (AUGUSTI et TICÃO, 2020). Ceci dans son caractère original a été établi par le Credo de Nicée à travers l’Église primitive en 325 après JC. qui a mis en lumière les fondements de la foi chrétienne contre les fausses doctrines (FERGUSON, 2013, p. 418). Selon Campello (2021, p. 139), contrairement à l’objectif initial, la confession positive est proclamée par certaines églises de prospérité, à la fois physiques et médiatiques, en mettant l’accent sur la prospérité matérielle, endoctrinant leurs fidèles à avouer qu’ils ont déjà ce qu’ils veulent , cette attitude est suffisante pour garantir que cela se produira.
Pour répondre à la question du titre – Pourquoi la théologie de la prospérité n’est-elle pas acceptée bibliquement ? –, nous procéderons à l’analyse d’une vidéo du pasteur Silas Malafaia qui a lancé un défi aux détracteurs de cette théologie qui la voient comme non biblique alors qu’il la défend comme biblique.
L’objectif de cette étude est de prouver que la théologie de la prospérité n’a aucun fondement biblique, et est donc non biblique. Il est donc prévu de présenter des réponses aux arguments soutenus par Silas Malafaia comme preuve que cette théologie n’a aucune base biblique. Par conséquent, une méthode de recherche particulière est développée pour analyser des extraits d’une vidéo où se produit la manifestation du phénomène en question, en observant ses accords et ses divergences avec les textes bibliques.
2. MÉTHODOLOGIE
Une recherche qualitative exploratoire et descriptive a été développée dans laquelle les extraits de la vidéo analysée « Une vie de prospérité » ont été observés de manière déductive afin de répondre à la question problématique à travers une étude de cas. Considérant Sampieri, Collado et Lucio (2013, p. 376), cette recherche vise à comprendre et à approfondir le phénomène en question, qui est exploré dans la perspective de chercher à comprendre les faits survenus dans l’environnement spécifique de son exécution afin de éclaircir les points divergents de la préconisation de la doctrine théologique visée face aux textes bibliques utilisés pour les arguments de sa défense.
De plus, cette recherche est menée sous une approche qualitative car elle fait allusion à l’analyse des données observées qui doivent être décrites afin de procéder à la réponse à la question du problème, à travers la collecte et l’analyse de données qui sont pratiquement simultanées puisque l’analyse n’est pas standard étant donné que chaque étude a son propre schéma d’analyse (ibid, p. 447). La recherche effectuée est exploratoire parce qu’elle cherche à analyser des exemples susceptibles de stimuler la compréhension du cas à travers des enquêtes bibliographiques, des citations et des exemples tirés du matériel d’étude, et elle est descriptive parce qu’elle analyse en détail l’objet d’étude, en investissant dans la collecte de données qualitatives.
Bien qu’il y ait beaucoup d’études sur ce sujet, la réalisation de cette étude particulière cherche un approfondissement afin de comprendre sa complexité dans le cas présent, compte tenu des détails des observations faites dans le cadre de l’étude de cas spécifique axée sur la présentation médiatique en vidéo formulaire dont les extraits sont des éléments de base de l’analyse.
3. REFERENTIEL THEORIQUE
La théologie de la prospérité n’est pas bibliquement acceptée parce qu’elle déforme le texte biblique à travers des doctrines créées par des hommes à partir d’exégèses contradictoires. Notez le texte biblique suivant :
Porque nada temos trazido para o mundo, nem coisa alguma podemos levar dele. Tendo sustento e com que nos vestir, estejamos contentes. Ora, os que querem ficar ricos caem em tentação, e cilada, e em muitas concupiscências insensatas e perniciosas, as quais afogam os homens na ruína e perdição. Porque o amor do dinheiro é raiz de todos os males; e alguns, nessa cobiça, se desviaram da fé e a si mesmos se atormentaram com muitas dores. Tu, porém, ó homem de Deus, foge destas coisas; antes, segue a justiça, a piedade, a fé, o amor, a constância, a mansidão. (1 Co 6:7-11)
La théologie de la prospérité sous la devise « Vivre comme un fils du roi » réduit tout à des termes économiques et va à l’encontre de ces déclarations bibliques lorsqu’elle dit que la pauvreté est démoniaque parce que Dieu étant un père aimant et riche veut que ses enfants soient en bonne santé, prospères et prospères. riche puisque la souffrance nie sa présence. Quant à la devise, elle semble ironique puisque Jésus, d’origine pauvre, ne jouissait pas de l’abondance matérielle et n’avait pas de biens (ROSSI, 2015). À quoi cela ressemblerait-il alors de vivre en tant que fils du roi ? Leurs doctrines contredisent le texte sacré qui dit que « les pauvres ne cesseront jamais dans le pays » (Dt 15 :11 ; Mt 26 :11 ; Mc 14 :7 ; Jn 12 :8). Selon ces versets, si la théologie de la prospérité avait raison, Dieu serait un menteur. Des versets tels que “il est plus facile à un chameau de passer par le trou d’une aiguille qu’à un riche d’entrer dans le royaume de Dieu” (Mt 19:24) ne sont pas bien acceptés, peut-être lus, dans la prédication des théologiens parce qu’ils contredisent leurs principes doctrinaux d’acquisition de biens et de richesses par une foi intéressée et égoïste. Dans une perspective individualiste, cette théologie propose d’aimer les choses et d’utiliser les pauvres en les manipulant (ibid.).
Capriles (2022), révèle que la théologie de la prospérité n’est pas quelque chose de théorique pour lui, comme il l’a vécu dans la pratique, c’est pourquoi il a honte d’avouer qu’il était autrefois un prédicateur de cette théologie erronée qui motive la cupidité chez les gens, enseignant leur dire que pour semer correctement, ils doivent offrir de l’argent dans le ministère d’un homme riche ou d’un ministère riche afin qu’ils puissent récolter la même prospérité dont la personne ou l’institution jouit comme venant de Dieu. Il analyse les versets ci-dessus du point de vue de la théologie de la prospérité, qui incite le croyant à vouloir s’enrichir au détriment de l’avertissement de l’apôtre Paul selon lequel “ceux qui veulent s’enrichir tombent dans la tentation” alors qu’en fait, ils devraient obéir à sa commandement de fuir les tentations énoncées dans les versets. Ce même genre d’attitude se répète à propos d’autres versets bibliques : « Ne vous amassez pas de trésors sur la terre » (Mt 6, 19) ; Contrairement à cet avertissement, la théologie de la prospérité enseigne que “plus vous accumulez de biens pour vous-même, plus grand sera le signe de la bénédiction de Dieu sur votre vie”. Il relève plusieurs contradictions dans la comparaison entre l’enseignement de Jésus et celui de cette théologie diabolique (comme il le qualifie), respectivement : a) il ne faut pas désirer les richesses – il faut désirer les richesses ; b) les pauvres sont bénis (Luc 6 :20 ; Jas 2 :5) – la pauvreté est un esclavage et être pauvre est un péché ; c) nous devons nous contenter de ce que nous avons (Heb 13:5) – nous ne devons pas nous contenter de peu. Ce ne sont que quelques-uns des nombreux exemples que cette théologie viole le texte sacré.
Capriles (ibid.) termine son message en présentant le témoignage de Jim Bakker, un pasteur américain devenu riche grâce aux arguments de la théologie de la prospérité qui promettait des richesses à ceux qui semaient de l’argent dans son ministère, donc plus tard, après avoir perdu toute sa fortune et être tombé dans pauvreté, en plus d’avoir été reconnu coupable de vingt-quatre chefs d’accusation de fraude, s’est rendu compte qu’il devait examiner les Écritures pour voir ce qui n’allait pas, et a conclu qu ‘«il n’y a aucun moyen d’interpréter les richesses ou les choses matérielles comme un signe de la bénédiction de Dieu.
Selon Pieratt (1993, p. 151), les prédicateurs de la théologie de la prospérité organisent toujours des services dans leurs églises sur le thème de la prospérité financière. Pour soutenir leurs enseignements, ils utilisent d’innombrables versets bibliques pour forcer dans l’esprit du croyant qu’il reçoit en proportion de ce qu’il donne ; cependant, il avertit que de tels versets n’impliquent pas de règle mathématique et souligne :
A noção de que receberemos somente se dermos é uma perversão da ideia cristã de caridade. Isso tem mais a ver com o utilitarismo pagão, que avalia todos os atos morais da vida segundo o benefício recebido por aquele que o pratica. A ética cristã que devemos dar, porque Deus nos deu primeiro. Para o cristão, o dar deve ser um ato de adoração, gratidão e amor, não um exercício em que se calcula o quanto receberemos de volta.
Ces innombrables versets qui correspondent à des textes isolés de la Bible révèlent que la Théologie de la Prospérité, aussi appelée « Mouvement de la Parole de Foi », « Évangile de la Santé et de la Richesse » ou « Nommez-le et Réclamez-le », n’est rien d’autre qu’un produit du capitalisme. et la psychologie du succès en quête de privilèges, à travers laquelle Dieu est confronté en lui imposant l’obligation d’accorder la prospérité au croyant qui est en fait celui qui définit ce qu’est la volonté de Dieu et non l’inverse, diminuant sa souveraineté. (ROSSI, 2015)
La théologie de la prospérité est dotée d’un caractère marketing qui comprend des demandes de dons, la vente de produits pour aider le croyant dans son expérience religieuse tels que des savons et des balais, des marteaux et des paires de chaussettes, des prières ointes et des amulettes, de l’eau bénite du Jourdain, des miracles , CD et DVD, croix avec du sable de la terre sainte, etc. Ils offrent la guérison et la délivrance de divers maux grâce à la distribution de publicités imprimées qui équivalent à des investissements dans la réalisation de divers désirs et statuts sociaux. De cette manière, la religion devient la meilleure option pour aider à résoudre les problèmes personnels, s’étendant à la nation même dans laquelle les gens subissent les effets des discours fondamentalistes qui promettent une solution aux problèmes sociaux, mais ne la livrent pas. Et leurs propres discours pleins de termes comme « déterminer » insufflent dans l’esprit de leurs auditeurs la pensée qu’en investissant leur foi dans ce verbe, ils deviennent capables de devenir de nouveaux entrepreneurs.
Cependant, s’ils ne prennent pas possession des promesses divines, cela signifie qu’ils sont contaminés par Satan, comme le souligne également Campello (2021, p. 135, 136) – “introduction de la contamination doctrinale dans l’environnement ecclésiastique”, avec laquelle Capriles (2022) est d’accord : « La théologie de la prospérité se répand comme une gangrène dans le corps du Christ, à tel point qu’il est de plus en plus difficile de trouver une église qui soit exempte de cette contamination. Ainsi, ils sont sujets à une série de malheurs dans la vie, car la faute revient exclusivement à l’adepte en raison de leur peu de foi (AUGUSTI et TICÃO, 2020). Et Pieratt (1993, p. 158) souligne que « si la prière n’a pas été exaucée, elle a échoué par manque de connaissance ». Dans cette même ligne de raisonnement, Capriles (2022) dit que “la théologie de la prospérité est le concept que Dieu désire la richesse pour tous ses enfants et que si un enfant de Dieu n’est pas encore riche, ce serait parce qu’il n’est pas” semeur « correctement ». D’un point de vue équivalent, Rossi (2015) souligne qu’un adepte de la théologie de la prospérité n’est pas financièrement prospère simplement parce qu’il est dans le péché sous l’influence maléfique du diable, n’a pas assez de foi ou ne comprend pas bien l’enseignement biblique ». Campello (2021, p. 137) est d’accord avec ces réflexions :
Incute-se-lhe a ideia de que o cristão tem poder, e, por isso mesmo, não tem necessidade de suplicar o favor e a ajuda de Deus; ao invés disso, ele deve DETERMINAR em nome de Jesus aquilo que ele deseja e assim será feito. Pronto! Não só essa teologia, mas também há religiões que ensinam a “determinar” que seus desejos sejam realizados. E qual explicação se dá quando esse desejo não se realiza? Simples: a culpa é do crente que fez alguma coisa errada, ou porque não tem fé suficiente.
La théologie de la prospérité, également appelée mouvement de la foi, prêche l’autonomisation dans tous les sens, comme le déclare Hunt (2000, pp. 332,333) à propos de la mauvaise exégèse de Philippiens 4:19 sur le droit divin automatique de tous les chrétiens qui croient en la Bible. jouir de la santé et de la prospérité économique puisque les avantages matériels sont inséparables des avantages spirituels grâce à l’expiation du Christ qui non seulement enlève le péché, mais aussi la maladie et la pauvreté. En ce sens, la prière perd sa valeur selon la critique faite par le Conseil Général des Assemblées de Dieu à la Théologie de la Prospérité dont la pratique de la confession positive encourage les croyants à se confesser au lieu de prier pour les choses que Dieu a promises, négligeant l’enseignement de la parole de Dieu sur la prière. Pour les confessionnistes, les croyants doivent confesser les bénédictions et ne pas prier pour elles. (CONSEIL GÉNÉRAL DES ASSEMBLÉES DE DIEU, 1980, p.5).
Onken (2009, p.1) partage la même pensée du Concile susmentionné lorsqu’il déclare que le plus gros problème pour les chrétiens qui se soumettent à la confession positive est le fait qu’ils croient savoir exactement ce que Dieu veut comme si Dieu leur avait tout révélé. leurs plans, leurs pensées ou leur volonté, en s’appuyant sur leur propre perspective plutôt que de considérer adéquatement la volonté de Dieu qui doit être au-dessus de la volonté humaine. Cependant, la volonté de Dieu n’est pas prise en compte et correctement soulignée lorsque la doctrine de la confession positive déclare qu’une personne peut tout avoir. Cependant, ce n’est pas le cas dans les Écritures, comme on peut le voir dans les versets suivants qui indiquent quand quelque chose ne correspond pas à la volonté de Dieu : la construction du temple par David (1 Chroniques 17 :4) ; l’enlèvement de l’écharde dans la chair de Paul (2 Co 12, 9) ; la joie d’avoir quelque chose d’agréable ou d’agréable (Jas 4:3); l’accomplissement du désir du cœur (Luc 22:42). La volonté de Dieu prévaudra toujours sur les plans ou les désirs du croyant (CONSEIL GÉNÉRAL DES ASSEMBLÉES DE DIEU, 1980, p. 4).
Le Concile susmentionné accuse la doctrine de la théologie de la prospérité de ne pas tenir compte du contexte biblique de sorte que les adhérents sont plus soucieux de faire en sorte que la Parole signifie davantage ce qu’ils veulent que de devenir ce que la Parole veut qu’ils deviennent, prouvant qu’ils aiment Dieu pour ce qu’il fait et non pour ce qu’il est. Les passages de l’Écriture ne peuvent être isolés de leur contexte spécifique, ni être éternisés ou contemporains, donnant forme à l’existentialisme chrétien. De plus, la vérité de la Parole de Dieu est appliquée universellement, c’est-à-dire de manière dichotomique dans toutes les circonstances sociales dans lesquelles se trouve l’humanité. Par conséquent, il est nécessaire de se demander si un maître ou un enseignement est de Dieu ou de l’homme selon ce qui est écrit dans Matthieu 7:20 – “C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez”. (ibid., 1980, p. 8, 9).
Les théologiens Jones et Woodbridge (2011, pp. 81-86) considèrent la théologie de la prospérité – qui promet des richesses diverses – comme une théologie pauvre dont l’accent tombe sur les besoins matériels humains, devenant incompatible avec l’Évangile qui se concentre sur la vie, la mort et la résurrection de Jésus-Christ, un évangile déconcertant qui omet Jésus et néglige la croix, dégradant ainsi son importance en tant que Sauveur de l’humanité. Ils affirment que la Bible n’offre de facilités à personne, mais présente tous les moyens pour qu’une personne devienne intègre devant Dieu et devant les hommes. Cependant, cela va à l’encontre des promesses de cette doctrine comme le souligne Mariano (1999, pp. 169-170) à propos de ses prédicateurs :
O crente que almeja receber grandes bênçãos precisa ser radical na demonstração de fé. Deve fazer coisas que do ponto de vista do “homem natural” e do cálculo racional seriam loucura. Precisa dispor de muita coragem. Deve assumir riscos, doando à igreja algo valioso como salário, poupança, herança, joias, carro, casas com a certeza de que reaverá centuplicado, o que ofertou. Não pode guardar qualquer resquício de dúvida quanto ao retorno de sua fé, já que, advertem os pastores, “a dúvida é do Diabo”. […] tal demonstração de fé é denominada de “provar” e “desafiar” a Deus.
La théologie de la prospérité, cependant, n’enseigne pas au croyant d’être radical dans sa démonstration de foi par rapport à la foi de Job (Job 42:11b) lorsqu’il est resté fidèle à Dieu, quels que soient les malheurs qui lui sont arrivés. Cependant, ses conférenciers mettent l’accent sur des textes qui montrent la prospérité financière d’un personnage biblique particulier sans souligner ses luttes, ses douleurs et ses pertes – cette partie n’a pas d’importance pour son entreprise. La théologie de la prospérité ne mentionne pas la phase douloureuse de la vie de Job comme un moyen d’encourager le croyant à obéir à Dieu, car qui veut être comme Job et traverser ce qu’il a traversé avant de recevoir ses dons de Dieu ? Ceux qui suivent cette théologie ne veulent pas payer le prix de la soumission à la volonté de Dieu ; il ne veut que des mots qui massent son ego, qui encouragent son appétit de profits et d’avantages matériels, sans reconnaître qu’il a besoin de changements de caractère ou de personnalité qui montrent une prospérité morale, émotionnelle, sentimentale, qui coopèrent pour une vie saine à tous égards ( CAMELLO, 2021, p. 197, 199-200, 372).
4. PRÉSENTATION ET DISCUSSION DES DONNÉES OBSERVÉES
4.1 TEXTE INTÉGRAL DU DÉFI
Le pasteur Silas Malafaia a lancé un défi à ceux qui critiquent habituellement son travail, qui est basé sur la théologie de la prospérité. Son défi est de demander à ses détracteurs de prouver à la lumière de la Bible que cette théologie est fausse. Ces critiques auxquels il fait référence peuvent être des blogueurs, des sites d’information et des inconnus distingués qui, selon lui, veulent se faire connaître en critiquant les gens dans les médias ; l’auteur appartient à cette dernière catégorie sans toutefois viser l’objectif qu’il met en avant.
Le texte complet qui présente ce défi est mis en évidence ci-dessous. En prêchant dans une vidéo intitulée “Une vie de prospérité”, Malafaia dit que son message aborde un sujet contre lequel les chrétiens ont des préjugés quand il croit que 2 Corinthiens chapitre 9 présente la meilleure façon d’expliquer que l’offrande est un moyen de recevoir la faveur divine parce que c’est un service rendu à Dieu par lequel il sera récompensé et, par conséquent, un moyen de bonheur. Il affirme catégoriquement que Dieu travaille avec la loi de la récompense. Il termine son discours en disant pour le défier à travers la Bible :
O pastor Silas Malafaia, em seu último programa Vitória em Cristo, no dia 02/06, fez um desafio aos críticos de seu trabalho e da mensagem pregada em torno da prosperidade. O pastor desafiou tais críticos a provarem teologicamente que sua pregação está biblicamente errada. “Chegou o grande dia, o dia que eu estou desafiando muitos críticos que gostam de dizer que estou no besteirol da teologia da prosperidade”, afirmou o pastor no início do programa. (grifo da autora). Malafaia veiculou em seu programa o vídeo da primeira parte de uma pregação na qual fala de prosperidade e desafiou seus críticos a contradizerem sua mensagem à luz da Bíblia. O pastor afirmou que destina seu desafio a sites de notícia, blogueiros e “ilustres desconhecidos”, que estão tentando ficar conhecidos através de críticas a quem está na mídia. (grifo da autora). A pregação, intitulada “Uma vida de prosperidade” foi proferida pelo pastor em um culto de ceia ministrado na Arena HSBC, no Rio de Janeiro. Ele inicia sua pregação pedindo que os fiéis analisem e suas palavras antes de “recebê-la” porque, segundo ele, se trata de uma mensagem que tem preconceito de cristãos, medo de pastores falarem do assunto, ação do diabo para neutralizar os fiéis sobre o assunto, bravatas emocionais, argumentos filosóficos e “pouca Bíblia”. “Duvide, critique e determine”, orienta. Em sua pregação o pastor discorreu sobre três tópicos a respeito do assunto: “O que é a oferta”, “Características de um verdadeiro ofertante”, e “Resultados na vida do ofertante”. Malafaia citou o texto de 2ª Coríntios capítulo 9, que ele afirma ser o melhor compêndio do Novo Testamento sobre o assunto, para explicar o que é a oferta. Malafaia afirmou que a oferta é um meio de se receber o favor divino e um meio de felicidade. Ele explica ainda que a oferta é um serviço para Deus, através do qual o ofertante será recompensado. Em vários momentos da mensagem o pastor frisou que não estava pregando uma mensagem apelativa emocionalmente, mas sim ensinando os fiéis de acordo com a Bíblia. Afirmando que “Deus trabalha com a lei da recompensa”, Malafaia explicou o terceiro tópico da sua mensagem, falando das consequências da oferta na vida de quem a dá. Explicando que o fiel vai colher aquilo que planta, o pastor falou que “tão importante quanto a qualidade da oferta, é a qualidade do solo”, e criticou aqueles que, segundo ele, “gostam de dar oferta pra picareta”. Ele lembra ainda que quem semeia muito é que vai colher muito. Após a exibição da pregação, o pastor afirmou no programa que “negar que a Bíblia fala sobre prosperidade, é negar a própria Palavra”, e que “prosperidade é obedecer às leis de Deus”. “Se você não crê em prosperidade é porque você não crê na Bíblia”, ressaltou. Malafaia concluiu seu programa afirmando que é totalmente transparente nas ofertas que recebe, e que investe milhões em programas de televisão e obras sociais. Ele encerrou o programa afirmando que continuará falando sobre o assunto no próximo programa e desafia: “tenta me contraditar, não fica inventando filosofia barata não. Não bota em blog e em site não, me contradiz na Bíblia. Diz que eu interpretei errado, ou cala sua boca, e deixa de ser um crítico mané que fica falando bobagem e colocando minhoca na cabeça do povo de Deus. Assista ao vídeo na íntegra: youtube=http://www.youtube.com/watch?v=kDFmctcG2GY[2]
4.2 LE PASTEUR SILAS MALAFAIA DÉFEND LA THÉOLOGIE DE LA PROSPÉRITÉ
La vidéo du pasteur tombe à point nommé pour quelques éclaircissements concernant la foi donnée au chrétien par Jésus-Christ. Il peut être trouvé sur la chaîne YouTube sous le titre “Une vie de prospérité”. Voici la pensée de Richard Baxter :
Aquele que busca conhecimento com o propósito de se exibir para as pessoas torna-se sinônimo de vaidade. Aquele que busca conhecimento com o intuito de ensinar outras pessoas torna-se sinônimo de amor. Mas aquele que busca conhecimento, visando aplicar o conhecimento adquirido em sua própria vida, torna-se sinônimo de sabedoria.
Silas Malafaia a défié les critiques de son travail et de sa prédication basée sur la théologie de la prospérité, les appelant à prouver bibliquement que cette théologie est fausse. Cela nécessite une réponse adaptée. C’est un défi que le Seigneur Dieu lance à ceux qui cherchent à connaître sa vérité, et non à Silas Malafaia. Ce que Malafaia a fait, c’est de contester ce qu’il pense de ce que Dieu condamne. Alors j’ai compris de Dieu que je devais accepter le défi du Seigneur d’accepter le défi d’un homme dont la pensée erronée ne correspond pas à la réalité biblique.
Malafaia a utilisé l’expression «inconnus distingués» comme ceux qui cherchent à être reconnus au détriment de ceux qui sont dans les médias, comme lui. Tant qu’il n’y a pas un grain de vérité dans son interprétation de ces critiques, par l’un ou l’autre qui agit ainsi, on ne peut nier qu’il s’agit là d’une défense malafaïenne intempestive puisqu’elle ne peut être généralisée ; tous ceux qui le critiquent n’ont pas la position à laquelle il se réfère, mais ils recherchent en fait la vérité pour parler avec la convenance biblique du véritable évangile tel que Jésus l’a enseigné. Après tout, Jésus est le Seigneur de la Parole, Jésus est la Parole (Jn 1,1), et non Silas Malafaia comme il se faisait appeler à 05h34 dans la vidéo « Une vie de prospérité »[3] :
– Voici le défi pour vous de me contredire. Maintenant fais attention à ne pas t’embarrasser, vois fils, pour ne pas déformer la parole de Dieu, car alors tu vas frapper un maître de la parole.
Se “trouver” maître de la parole, un dieu, détenteur de la vérité, quelqu’un qui est au-dessus de toute contestation, c’est cesser d’être une personne ordinaire comme une autre qui déclare sa totale dépendance à Dieu. En savoir trop lui montait à la tête, le détournant de la vérité absolue qui émane de Dieu à travers la sagesse d’En-Haut. La connaissance et la sagesse doivent se fonder sur la crainte du Seigneur puisque la lettre tue, mais l’esprit vivifie : « Nous ne prêchons pas la Loi, mais proclamons l’alliance de l’Esprit, car la lettre tue, mais l’Esprit vivifie » (2 Co 3 : 6b). L’auteur n’est pas le seigneur de la parole, comme Silas Malafaia, qui se disait « seigneur de la parole », ne l’est pas non plus, car la parole appartient au Seigneur et non à l’auteur non plus.
Il est écrit : « Qui est comparable à toi, ô Dieu ? » ; donc, à qui peut-on comparer Dieu ?! (2Sa 7:22; Ps 35:10; 71:19; Isa 40:18,25; Jer 10:6,7; Jn 17:3; 1Ti 1:17). D’après ce que l’on peut voir dans le verset surligné, il y a de la présomption et de l’arrogance chez quelqu’un qui a l’intention de se mettre sur un pied d’égalité avec le Seigneur Jésus, car le titre ci-dessus dénote l’usurpation d’un attribut divin sous un ton menaçant pour ceux qui se lèvent pour critiquez-le. voila, parce qu’après tout il se dit seigneur de la parole, c’est-à-dire qu’il préfigure déjà qu’il ne peut être contredit. Jésus, bien qu’étant Dieu, n’a pas considéré comme une usurpation d’être égal à Dieu, mais s’est dépouillé de sa véritable condition divine, assumant humblement la forme d’un serviteur, libre de toute arrogance et orgueil (Phil 2:6,7). Il semble que Malafaia n’ait pas bien compris la leçon à propos d’une personne à l’image et à la ressemblance de Dieu ! (Gn 1:26 ; 5:1 ; 9:6 ; Jc 3:9)
Il semblerait inconvenant de profiter de certains moyens comme le nom de quelqu’un pour faire l’œuvre de Dieu, car si cette personne a un nom, beaucoup l’entendront, et si quelqu’un parle de lui, beaucoup écouteront celui qui parle réellement de Dieu . Alors quoi de plus important : parler de Dieu en utilisant ce médium ou ne pas utiliser ce médium pour parler de Dieu par peur des paroles de mépris du célèbre ? Laissez-les parler, laissez-les dire, laissez-les penser ce qu’ils veulent de vous, car le plus important est ce que vous dites de Dieu aux autres. C’est ce qui compte vraiment.
Donc, juste parce que quelqu’un va à l’encontre des paroles de Malafaia, cela signifie-t-il qu’il le fait pour apparaître dans les médias ? ! Alors tous ceux qui vont à l’encontre de ses paroles ont tort, et lui seul a raison ?! Ne serait-il pas vrai que quelqu’un s’oppose à lui dans ses opinions et ses interprétations parce qu’il comprend bibliquement qu’il a tort ?! Ainsi, Malafaia “pense” qu’il a tout à fait raison dont les mots sont hors de tout doute ?! Vos mots sont incontestables ? ! A-t-il raison dans tout ce qu’il dit ?! Malafaia doit apprendre à ne pas être radical dans ses opinions. Il doit développer l’équilibre dont parle Galates 5:23 – humilité, douceur, douceur, tempérance (cf. la plupart des versions de la Bible).
Pour que le Seigneur soit vu, il faut montrer le Seigneur, peu importe les moyens car le Seigneur est celui qui nous bénit pour atteindre la fin désirée. Et peu importe s’ils disent que vous le faites dans ce but, car ce qui compte vraiment, c’est de faire l’œuvre de Dieu et de sauver de nombreuses personnes grâce à votre ministère.
Tout travail d’évangélisation doit être vu et jamais caché. Il n’y a aucune raison d’allumer une bougie et de cacher votre lumière à cause de motivations inutiles comme ne pas vouloir donner à votre rival la possibilité de dire que vous faites quelque chose au détriment de son nom. Si votre travail d’évangélisation n’obtient pas de vues, Dieu vous ordonne de faire ce qui est nécessaire pour atteindre un objectif aussi noble, car ces tatillons médiatiques n’ont pas d’importance ; importe Dieu. Dieu fournit les moyens. Et qui peut contester les moyens de Dieu ? Si Dieu approuve de faire ceci ou cela, que ce soit fait pour la gloire de Dieu.
Et les mots de celui qui dit qu’ils utilisent son nom pour se faire un nom n’ont pas d’importance, car ce qui compte vraiment, c’est le nom du Christ. En fait, s’il dit cela, il utilise aussi le nom du Seigneur pour se faire un nom, et donc qui serait-il pour accuser quelqu’un, ou pour rabaisser quelqu’un comme s’il était très important ?! Comme s’il était encore plus important que Dieu !
Une bougie n’est pas allumée et sa lumière cachée, mais une bougie est placée bien en vue afin que tout le monde puisse voir la lumière. Cela ne sert à rien de faire une œuvre pour le Seigneur et de la garder cachée afin que personne ne puisse la voir ; si personne ne voit ce travail, comment les gens peuvent-ils être évangélisés afin qu’ils puissent atteindre le salut du Seigneur ? Vous laissez quelque chose de caché parce que, à cause des opinions des autres venant de personnes égoïstes qui ne pensent qu’à eux-mêmes, à grandir devant les autres, à avoir un nom, un statut ; Est-ce à cause de ces gens qu’un serviteur de Dieu échouerait à faire son travail d’évangélisation ?! L’œuvre de Dieu doit être vue par tous afin que les personnes qui ont besoin du salut du Seigneur puissent lire et recevoir la vérité dans leur cœur, et à travers cette vérité, atteindre la vraie libération en Christ. « Afin que, par tous les moyens possibles, j’en sauve quelques-uns » (1 Co 9, 22).
Vous devez vous rendre visible sinon les gens ne verront pas le travail d’évangélisation que vous avez fait pour les sauver. Même si d’autres pensent que vous n’êtes pas un ministre de la parole de Dieu, vous l’êtes sûrement pour ceux qui sont la preuve que vous les avez gagnés à Christ. Et ceci est votre défense devant ceux qui vous jugent (1 Co 9.2-3). En fait, personne n’est qualifié pour faire ce travail pour lui-même. Au contraire, leur qualification vient de Dieu (2 Co 3, 5), car c’est lui qui permet à ses serviteurs d’être ministres de la nouvelle alliance (2 Co 3, 6). Et c’est pour l’évangile que cette œuvre est faite et aussi pour y participer (1 Co 9.23). De plus, personne ne peut se vanter de proclamer la bonne nouvelle, car tous ceux qui le font sont poussés par Dieu à le faire. Et malheur à ceux qui n’annoncent pas la bonne nouvelle ! (1Co 9:16).
Paul renonce à ses droits, comme même à celui d’être orgueilleux, et le fidèle serviteur de Dieu doit également renoncer à la vanité de ne pas vouloir qu’on dise qu’il se sert du nom d’autrui pour faire grandir le sien : ce serait de l’orgueil de sa part . , qu’il ne faut pas laisser se manifester car votre corps est un temple du Saint-Esprit dans lequel ces vanités ne rentrent pas.
Malafaia est un théologien comme le présent auteur et comme tant d’autres. Mais dans quelle mesure la théologie peut-elle affecter une interprétation biblique fidèle à la parole de Dieu ? Quelles théologies se développent selon les convenances respectives possibles ? Quelles commodités peut-il y avoir pour défendre des théologies qui ne sont pas conformes à la parole de Dieu ?
Il faut être attentif aux interprétations bibliques qui sont faites, car ce qui est compris n’est pas toujours ce que Dieu veut vraiment transmettre. Sans s’en rendre compte, il est d’usage de mettre des mots dans la bouche de Dieu, de dire qu’il a dit ce qu’il n’a pas dit, comme il est écrit :
As suas visões são falsas, e o que eles anunciam é tudo mentira. Eu não os enviei, mas eles dizem: “A palavra do Senhor é esta.” E ainda esperam que as palavras deles se cumpram! Eu lhes digo: “As visões que vocês veem são falsas, e o que vocês anunciam é tudo mentira. Vocês dizem que as palavras são minhas, mas eu não lhes disse nada. Por isso, o Senhor Deus diz a eles: “As suas palavras são falsas, e as suas visões são mentiras, e por isso eu estou contra vocês”. (Ez 13:6-8)
Il faut orienter les purs croyants vers le discernement de la volonté de Dieu révélée dans les Saintes Écritures, et non vers celle qui correspond à la volonté des hommes qui prêchent la parole révélée de Dieu – c’est-à-dire, au regard de cette volonté des hommes, il est entendu qu’ils sont en dehors de la volonté de Dieu. Ce sont des hommes! Tous ceux qui prétendent être un homme de Dieu ne sont pas en fait un homme de Dieu : il peut être un homme des hommes ! « Ce ne sont pas tous ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! entrera dans le royaume des cieux, mais celui qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux » (Mt 7, 21). Prêcher la théologie de la prospérité, c’est un pasteur qui fait la volonté de Dieu ?
4.3 PRÉDICATION EN LIGNE DE MALAFAIA SUR LA PROSPÉRITÉ
Dans un sermon de Malafaia, sous le titre « Une vie de prospérité » (YouTube, 2018)[4], il aborde le thème de l’offre, le comportement du donateur et les résultats dans la vie de ceux qui offrent et de ceux qui offrent. ne propose pas, sous le ton caractéristique de la voix hautaine et autoritaire – qui est différente de l’autorité –, de citer plusieurs versets bibliques pour valider ses interprétations. Les transcriptions vidéo ont été effectuées en écoutant et en vérifiant le temps écoulé dans chaque section en surbrillance. Chaque extrait est suivi d’une réponse argumentée qui peut fournir le résultat attendu. Certaines expressions sont mises en surbrillance avec des traits de soulignement pour mettre en évidence certaines informations importantes pour ce qui est destiné à être discuté. Les extraits vidéo avec leur narration sont décomposés en heures, minutes et secondes – pas nécessairement dans l’ordre chronologique en raison de la correspondance séquentielle du texte – comme indiqué dans les tableaux respectifs dans le corps du texte.
4.3.1 ANALYSE DES EXTRAITS DE LA VIDÉO « UNE VIE DE PROSPÉRITÉ » SOULIGNÉS DANS DES TABLEAUX ET LEURS RÉPONSES ARGUMENTATIVES RESPECTIVES
Tordant, tordant et pressant le ruban marqueur biblique, il cite la référence biblique 2 Corinthiens 9:4 :
Image 1 – Extrait de la vidéo « A life of Prosperity » à 08:37m
Firme fundamento de glória. A oferta é um assunto tremendamente espiritual que tem sólida base no mundo espiritual. |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
Dans les versets 1 et 4 du texte respectif, les expressions suivantes ressortent (versions bibliques : A21, ACF, ARA, ARC, NAA, NBV-P, NVT, TB, VFL) : administration, assistance, assistance au peuple de Dieu , service au peuple saint, ministère aux saints, offrande au peuple de Dieu, qui sont faites en faveur des saints (1); inaperçu ou non préparé, de ce solide fondement de gloire, quant à cette confiance, pour toute cette confiance que nous avions en toi, tu n’es toujours pas prêt, même après tout ce que je t’ai dit, tu n’es pas prêt, après tout ce que je vous les avez dit, confiance placée en vous (4).
Fondation solide de gloire ou fondation solide de gloire. Quelle est la base de la gloire : donner avec avarice, être guidé à donner pour recevoir encore plus, ou donner avec un cœur désintéressé d’avoir un retour financier sous forme de gain monétaire rentable ? La base de la gloire est de donner comme une bénédiction selon le verset 5, et non comme la convoitise ou la convoitise. Les termes grecs « εὐλογίαν » /eulogian/ et « πλεονεξίαν » /pleonexian/ signifient respectivement bénédiction et convoitise (désir d’avantage). Que le don ou l’offre soit une bénédiction exempte d’intérêts égoïstes tels que “je donnerai tant pour recevoir encore plus…”, jamais due à une pression morale, émotionnelle, sentimentale, qui incite à comprendre l’obligation, à donner l’embarras comme un sentiment de culpabilité de ne pas offrir parce qu’il n’y a pas de disposition pour le moment ou la menace d’une plus grande perte si l’on n’offre pas, mais offrir même s’il n’y a pas de disposition telle que “emprunter puis rendre”, en désaccord avec l’exhortation paulinienne à « donner avec joie » avec empressement selon ce que l’on a et non selon ce que l’on n’a pas (2 Co 8, 11-15 ; 9, 7), une libéralité désintéressée, indépendante de toute Retour.
Le fondement solide de la gloire ne signifie donc pas l’offrande elle-même, mais la manière dont elle est faite, avec quel cœur se consacre à la faire, comme un acte de bonté et non de cupidité selon les explications qui déforment le sens réel du texte sacré en ce qui concerne la cupidité de l’argent. Un fondement sûr de gloire est préparé pour faire une offrande digne devant le Seigneur, c’est-à-dire quelque chose qui sera une cause de gloire pour son nom, une offrande qui lui est agréable, désintéressée, libérale, c’est-à-dire sans attache à l’argent; c’est à partir de ce solide fondement de gloire que l’apôtre Paul parle et essaie de nous enseigner la manière correcte de donner. Cependant, ce n’est pas la gloire du Seigneur qui est exaltée dans ce contexte, mais la gloire de l’offrande – l’offrande comme quelque chose de digne de toute louange. Il est écrit que rien ni personne ne peut prendre la place de Dieu : “Je ne donnerai pas ma gloire à un autre, ni la louange qui appartient aux idoles” (Isa 42:8), mais une expression subrepticement abusée peut avoir cet effet contradictoire […] la parole de Dieu, lui enlevant son honneur et sa gloire.
Citant 2 Corinthiens 9:5, il dit :
Image 2 – Extrait de la vidéo « A life of Prosperity » à 09:44m
A oferta é uma bênção, não é maldição, não! |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
Cependant, concernant ce qui a été dit auparavant, si une bénédiction échappe à l’instruction divine quant à sa place devant Dieu, n’étant en aucune façon au-dessus de lui parce qu’il est le propriétaire de la bénédiction, étant au-dessus d’elle, et non l’inverse , alors ce qui pourrait être une bénédiction peut devenir une malédiction selon ses principes contradictoires à la réalité biblique. Lis:
Ai de vocês, guias cegos!, pois dizem: ‘Se alguém jurar pelo santuário, isto nada significa; mas, se alguém jurar pelo ouro do santuário, está obrigado por seu juramento’. Cegos insensatos! Que é mais importante: o ouro ou o santuário que santifica o ouro? Vocês também dizem: ‘Se alguém jurar pelo altar, isto nada significa; mas, se alguém jurar pela oferta que está sobre ele, está obrigado por seu juramento’. Cegos! Que é mais importante: a oferta, ou o altar que santifica a oferta? Portanto, aquele que jurar pelo altar jura por ele e por tudo o que está sobre ele. E o que jurar pelo santuário jura por ele e por aquele que nele habita. E aquele que jurar pelos céus jura pelo trono de Deus e por aquele que nele se assenta (Mt 23:16-22).
En commençant par l’explication de l’offre elle-même, il cite des versets par cœur, c’est-à-dire sans lire la Bible. Un bref témoignage : un jour, en regardant un office, j’ai remarqué que le pasteur demandait à l’assemblée de lire un certain passage biblique, mais il ne le faisait pas lui-même, car il ne le lisait pas. Il l’a cité par cœur et a commencé à interpréter les versets. À ce moment-là, j’ai ressenti le besoin de lire littéralement chaque verset du passage de l’Écriture indiqué, et j’ai réalisé qu’en lisant, mon esprit et mon esprit étaient ouverts à une compréhension au-delà de ce qu’il prêchait. Dieu m’a fait voir à travers mes lectures ce que le pasteur était incapable de transmettre car cela venait tout droit de la source divine, tout droit de la bouche de Dieu. Donc, j’ai conclu que lorsque nous reproduisons oralement un verset sans le lire de la Bible, dans un culte dont nous comprenons que nous recevrons la direction de Dieu pour notre vie, nous ne recevons pas de conseils spécifiques de Dieu que lui seul peut nous fournir . .
Par conséquent, il est nécessaire de faire la lecture biblique dans un culte car l’ouverture de la bible ouvre les yeux de la foi, de la compréhension, de l’esprit, pour recevoir des bénédictions, un renforcement spirituel, des promesses, directement de Dieu, et non de la raison humaine cette ligne directrice dans les versets bibliques sans laisser de côté son humanité, en précisant que c’est la puissance de Dieu qui se manifeste, mais, en fait, c’est l’arrogance de l’homme à vouloir montrer qu’il est ainsi avec Dieu ! Cette attitude ne correspond pas à la doctrine de Dieu : “Et ils lisaient le livre, dans la loi de Dieu, et déclarant et expliquant le sens, ils firent que, par la lecture, il fut compris” (Néhémie 8:8).
La lecture publique et privée des Saintes Écritures ne peut jamais être abandonnée, car en plus de préserver la mémoire de l’alliance de Dieu avec son peuple, elle est aussi source de vie à tous égards. La lecture des textes bibliques est une chose recommandée et commandée par Dieu lui-même de l’Ancien au Nouveau Testament et doit être effectuée avec dévotion :
a) “Et il prit le livre de l’alliance et le lut aux oreilles du peuple” (Ex 24:7);
b) « Lorsque tout Israël viendra se présenter devant l’Éternel, ton Dieu, dans le lieu qu’il aura choisi, tu liras cette Loi devant tout Israël, à leur écoute. Quand tout Israël viendra se présenter devant l’Éternel, ton Dieu, dans le lieu qu’il aura choisi, tu liras cette loi devant tout Israël, devant eux » (Dt 31, 11) ;
c) “Et ensuite il lut à haute voix toutes les paroles de la loi, la bénédiction et la malédiction, selon tout ce qui est écrit dans le livre de la Loi” (Josué 8:34);
d) « J’ai trouvé le livre de la Loi dans la maison du Seigneur. Et Hilkija donna le livre à Shaphan, et il le lut » (2 Rois 22:8) ;
e) “Et il lut à leurs oreilles toutes les paroles du livre de l’alliance, qui se trouvait dans la maison de l’Éternel” (2 Rois 23:2);
f) « Le livre de la loi de Moïse, que l’Éternel avait commandé à Israël. Et il y lut, devant la place, qui est devant la Porte des Eaux, depuis l’aube jusqu’à midi, devant les hommes, et les femmes, et les sages ; et les oreilles de tout le peuple étaient attentives au livre de la Loi » (Né 8:1,3) ;
g) “Et arrivé à Nazareth, où il avait été élevé, il entra dans la synagogue le jour du sabbat, selon sa coutume, et se leva pour lire” (Luc 4:16);
h) « Et quand cette épître aura été lue parmi vous, faites-la aussi dans l’église des Laodicéens ; et ce qui vient de Laodicée, lisez-le aussi » (Col 4:16) ;
i) « Je vous ordonne par le Seigneur que cette épître soit lue à tous les saints frères » (1 Th 5, 27) ;
j) « Heureux celui qui lit, et ceux qui entendent les paroles de cette prophétie, et gardent les choses qui y sont écrites ; car le temps est proche » (Ap 1:3).
Les pasteurs qui citent souvent des versets bibliques, mais ne les lisent pas eux-mêmes devant l’assemblée des justes, amènent les auditeurs à détourner les yeux de la Bible par le simple fait de les réciter sans faire la bonne lecture, comme si les mots mémorisés étaient une couronne de gloire, quelque chose de vénérable, puisque l’attention du peuple est totalement tournée vers lui, détournant l’attention de la bible. De cette façon, il devient le centre d’intérêt et la Bible perd le focus.
A titre d’illustration, à 06:11m de la vidéo, Malafaia dit :
Image 3 – Extrait de la vidéo « A life of Prosperity » à 06:11m
Eu também quero dizer uma coisa aqui pra você. Vou deixar até você abrir a bíblia pra você ouvir o que eu vou te falar. Escute o que eu vou te afirmar aqui nesta noite. Olha aqui pra mim e esquece a bíblia. Olha aqui. Achou 2 Coríntios 9? Agora olha aqui pra mim |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
Qui prononce les phrases ci-dessus, Dieu ou un homme ? ! « Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes ! (Actes 5:29) Qu’ils ouvrent la bible ? ! « Je parlerai », « Je vous le dirai ». « Oubliez la bible ? » Mots qui divergent des enseignements bibliques :
a) Il faut ouvrir la bible pour recevoir, par sa lecture, l’instruction divine (Ps 32:8), la sagesse (Ps 1:1,2; Pr 1:7; 4:7; Eccl 2:26; 7: 12 ; Jc 1, 5), communion avec Dieu (1 Co 1, 9 ; 1 Jn 1, 3 ; 3, 24), compréhension de la parole divine (Job 12, 13 ; Ps 119, 130 ; Pr 9, 10 ; Luc 24 :45 ; Col 1 :9 ; 1 Jean 5 :20), soumission à la volonté parfaite de Dieu (1 Sam 15 :22 ; Hé 5 :7 ; 12 :9 ; Jc 4 :7) ;
b) Il faut entendre la voix de Dieu et non celle des hommes ; ce n’est pas ce que l’homme dit ou affirme, mais ce que Dieu dit, affirme et confirme : « Le peuple l’acclama en criant : ‘Voici, c’est un dieu et non un simple mortel qui nous parle !’ Au même moment, un ange du Seigneur frappa Hérode d’une maladie, car il n’offrit pas la gloire à Dieu. Il fut rongé par les vers et mourut » (Actes 12:22,23). Dieu n’est pas moqué ! (Ga 6:7). Dieu est Dieu et Seigneur de la Parole. « Consacre-les à la vérité, qui est ta parole » (Jean 17 :17). « Toutes tes paroles sont vraies » (Ps 119, 160) ;
c) Oubliez la bible ?! Qu’est-ce qui est écrit dans la bible ? Lis:
« Ne manquez pas de dire les paroles de ce Livre de la Loi et de les méditer jour et nuit, afin que vous puissiez fidèlement mettre en pratique tout ce qui y est écrit. Alors seulement vos voies prospéreront et vous réussirez » (Josué 1 : 8). « Efforcez-vous d’obéir et de mettre en pratique tout ce qui est écrit dans le livre de la loi de Moïse, sans vous en détourner ni à droite ni à gauche » (Josué 23 :6). et aidé les gens à comprendre chaque passage. » (Néhémie 8:8) La parole de Dieu suffit à nous faire comprendre qu’il ne faut jamais oublier la Bible !
À 10h30 dans la vidéo, il commence à réciter, sans lire, les versets d’Actes 17:25 et du Psaume 104:27-29, et à 10h49, certaines personnes détournent les yeux de la Bible parce qu’il récite les versets sans lisez-les, montrant une maîtrise de la parole de Dieu, comme si vous vouliez en démontrer la pleine connaissance.
À 11 m, il commence à réciter 1 Chroniques 29 : 14 également sans lecture appropriée, et le fait avec d’autres versets dans la séquence de prédication. Et, en passant, quelque chose qui attire l’attention de 08h33 à 08h44 est le fait qu’il continue d’appuyer sur le marqueur de page de la Bible, en le roulant fermement.
Le Seigneur Jésus est le Verbe, le Verbe fait chair, et il faut le lire pour être reçu, compris, appris, ressenti, obéi, du début à la fin, car il est le commencement et la fin. Si le Seigneur Jésus n’est pas lu, ce qu’il a à offrir est perdu. Jésus doit être le centre d’intérêt ainsi que la lecture de sa parole, car Jésus et la Parole ne font qu’un – il est le Logos, la Parole divine.
Dans cette prédication, à 11m de la vidéo, il dit que l’offrande est une bénédiction, une graine que Dieu donne, un service à Dieu par lequel l’offrant sera récompensé, un fondement solide de gloire, un fondement solide dans le monde spirituel , un moyen de recevoir la faveur divine et un moyen de bonheur – en s’appuyant sur 1 Chroniques 29:14, Jérémie 21:14, Romains 2:6, 1 Corinthiens 15:58, 2 Corinthiens 9:2,4-7,12 -13 . Malafaia prétend que 2 Corinthiens 9 (compte tenu des versets surlignés) est le meilleur manuel du Nouveau Testament pour expliquer ce qu’est l’offrande ; cependant, cette explication est basée sur leurs propres interprétations. Auraient-ils raison ? ! La réponse a déjà été donnée plus haut.
Les interprétations peuvent être « presque toutes » correctes. Cependant, la question n’est pas exactement une question d’interprétations; plutôt, en ce qui concerne la concentration et la vision. Comme la plupart des interprétations sont acceptables car bonnes à l’oreille, les auditeurs ont naturellement tendance à accepter tout ce qui est dit sans réfléchir, sans questionner, sans évaluer, sans enquêter, loin d’un esprit béréen (Actes 17:11) et ainsi, les reçoit intégralement dans le but de les mettre en pratique dès que possible. Et cette pratique serait-elle vraiment conforme à la véritable direction de Dieu ?
4.3.2 INTERPRÉTATION FIDÈLE DES VERSETS BIBLIQUES
Comment, alors, une interprétation plus fidèlement expliquée de ces versets serait-elle ? Voir, premièrement, les quinze versets de 2 Corinthiens 9 dans leur intégralité, sous les versions bibliques NVT et NBVP :
v. 1 En effet, quant à ce service du peuple saint, je n’ai pas besoin de vous écrire.
FOCUS : Offrande pour le peuple de Dieu.
VISION : Offrir en tant que service au peuple de Dieu, pour aider le peuple de Dieu, et non dans le but d’obtenir un avantage ou un profit ou un gain, etc. parce qu’il a rendu ce service à Dieu, croyant que Dieu le récompensera pour cela. Vision égoïste, et pas véritablement généreuse car elle manque du véritable esprit de contribution.
Comme il est écrit, le jour du jugement, beaucoup diront au Seigneur qu’ils ont prophétisé en son nom, chassé des démons en son nom et accompli de nombreux miracles en son nom, mais il leur dira clairement : « Je ne vous ai jamais connus. . Eloignez-vous de moi, vous qui faites le mal ! (Mt 7:22,23)
v. 2 Je sais combien vous êtes désireux d’aider, et j’ai exprimé aux églises de Macédoine ma fierté que vous, en Achaïe, soyez prêts à envoyer une offrande depuis l’année dernière. En effet, c’est son dévouement qui a encouragé de nombreuses personnes à y contribuer également.
OBJECTIF : Aider les autres.
VISION : Offrir pour le bien des autres et non pour eux-mêmes.
v. 3 Pourtant, j’envoie ces frères pour s’assurer que vous êtes prêts, comme je le leur ai dit. Je ne veux pas te féliciter sans raison.
FOCUS : Être prêt en préservant un bon caractère.
VISION : Quiconque offre une offrande en espérant être récompensé a déjà sa récompense : le manque de justice ; mais celui qui aime donne volontairement, n’attend rien en retour, ne vise rien, et est récompensé par l’amour de Dieu. Quel est le but de l’offre ?!
v. 4 Quelle honte ce serait pour nous, et encore plus pour vous, si des Macédoniens venaient avec moi et s’apercevaient que vous n’étiez pas prêts après tout ce que je leur ai dit !
FOCUS: Éviter le déshonneur d’une collection autre que l’instruction scripturaire.
VISION : La pratique de l’offrande doit être liée à la gratitude envers Dieu pour ses actes dans la vie de l’offrant dont la santé financière provient d’un esprit de contribution détaché des vanités terrestres par l’aspect de la libéralité chrétienne qui rejette les actions cupides. Être préparé, ce n’est pas seulement professer évangélique, mais être en communion avec Dieu et sa parole au-dessus des instructions humaines.
v. 5 J’ai donc jugé bon d’envoyer ces frères devant moi. Ils veilleront à ce que l’offre que vous avez promise soit prête. Mais que ce soit une offrande volontaire, et non donnée à contrecœur.
FOCUS : Offrir sans l’avarice de donner pour la cupidité de gagner plus en retour.
VISION : Promise, accomplit. Et que ce soit sans avarice, sans intérêts égoïstes, comme si on recherchait des bénéfices pour soi, ou avec usure.
v. 6 Souvenez-vous : celui qui sème peu de graines obtient une petite récolte, mais celui qui sème abondamment obtient une récolte abondante.
FOCUS : Contribuer généreusement, reflétant l’esprit bienveillant du donateur.
VISION : Récolte proportionnelle aux semailles, c’est-à-dire que la générosité doit être proportionnelle à ce qui est reçu de Dieu. Il ne s’agit donc pas de donner beaucoup pour recevoir beaucoup, mais de recevoir richement de Dieu pour pouvoir donner généreusement – la moisson correspond à l’esprit de semer : Avec quel esprit plantez-vous ? Que semez-vous pour récolter quoi ? L’objectif principal est d’amener de nombreuses personnes à remercier Dieu et, par conséquent, à être atteintes par lui pour le salut.
v. 7 Chacun doit décider dans son cœur combien donner. Ne cotisez pas à contrecœur ou par obligation. Car Dieu aime celui qui donne avec joie.
FOCUS : Joie de donner librement.
VISION : Donner avec joie et non par obligation envers les dirigeants de l’église, ni par intérêt pour son propre avantage, comme dans “C’est en donnant que nous recevons”. Ensuite, “Je vais le donner pour l’avoir!” (Déplacement de la mise au point)
v. 8 Dieu est capable de vous accorder toutes sortes de bénédictions, afin qu’à tout moment vous ayez tout ce dont vous avez besoin, et bien plus encore, à partager avec les autres.
FOCUS : les autres, pas le fournisseur.
VISION : La personne ne pourra pas l’avoir ; elle devra donner. C’est-à-dire que Dieu donne d’abord pour que, ensuite, les bienheureux puissent partager avec les autres, c’est-à-dire qu’ils puissent aussi bénir à la ressemblance de Dieu.
v. 9 Comme le disent les Écritures : “ Partagez généreusement avec ceux qui sont dans le besoin ; vos actions justes seront rappelées pour toujours. (contre Ps 112:9)
FOCUS : Caractère digne devant Dieu et devant les hommes.
VISION : Il faut toujours être capable de se disperser auprès des nécessiteux, en montrant sa juste bienfaisance.
v. 10 Car c’est Dieu qui fournit la semence au semeur, puis le pain pour sa nourriture. De la même manière, il pourvoira et multipliera votre semence et produira de nombreux fruits de justice à travers vous.
FOCUS : C’est Dieu qui donne la capacité de donner et de récompenser celui qui donne.
VISION : Une grande récolte résultant d’une pure générosité dans le don : des récompenses célestes dues à un esprit de bienfaisance. Il donne parce qu’il a ; il a parce que Dieu donne à l’avance. Comme tout vient de Dieu et n’existe que grâce à lui, seul Dieu a le droit de dire comment les choses doivent être distribuées, en l’occurrence, comment les offrandes doivent être faites, selon la manière qu’il juge la meilleure, et non comme dit l’homme. doit être. Obéissance à la voix de Dieu et non à la voix des hommes « religieux ». C’est Dieu qui donne la semence !
v. 11 En tout tu t’enrichiras pour pouvoir toujours être généreux. Et quand nous apporterons votre offrande à ceux qui en ont besoin, ils rendront grâce à Dieu.
FOCUS : Abondance arrosée de simplicité, exempte d’autosatisfaction pour des buts divergents du dessein divin.
VISION : La personne ne pourra pas l’avoir ; elle devra donner. C’est-à-dire que Dieu lui donnera d’abord, même avant qu’il ne donne des offrandes. Offrez en remerciement et non en récompense.
v. 12 Ainsi, deux bonnes choses se produisent à la suite de vos offrandes (service du ministère) : les nécessiteux du peuple de Dieu sont aidés, et ils déborderont de gratitude envers Dieu.
FOCUS : Les nécessiteux, pas ceux qui donnent.
VISION : Aider les autres est un devoir nécessaire et un service approprié qui plaît à Dieu et est conforme à la dispensation de l’Évangile qui répond aux besoins des saints.
v. 13 Grâce à votre service, ils rendront gloire à Dieu. Car votre générosité envers eux et envers tous ceux qui croient montrera que vous obéissez à la bonne nouvelle du Christ.
FOCUS : Dons libéraux pour répondre aux besoins des autres par l’obéissance à la voix de Jésus.
VISION : Rendre gloire à Dieu. Être généreux, non pour le recevoir en retour, abondant en bénédictions reçues, mais comme une preuve d’obéissance à la parole de Dieu, comme une soumission spontanée à la doctrine de l’évangile de Christ.
v. 14 Et ils prieront pour vous avec une profonde affection, à cause de la grâce abondante que Dieu vous a accordée.
FOCUS : Imiter la générosité inconditionnelle de Dieu est extrêmement excellent.
VISION : Ceux qui donnent généreusement n’ont pas à s’inquiéter des besoins futurs ; c’est-à-dire qu’il ne doit pas rester coincé dans la pensée qu’il doit donner beaucoup pour gagner encore plus, corrompant le principe de semailles généreuses et désintéressées en déformant le sens du texte sacré de semer beaucoup pour récolter beaucoup pour lequel ils ont mis de côté le but de sauver les âmes du peuple en faveur de l’enrichissement de poche.
v. 15 Remerciez Dieu pour ce don si merveilleux que les mots ne peuvent l’exprimer !
FOCUS : Le don indescriptible de Dieu que nous devrions chercher à imiter.
VISION : Remercier Dieu d’offrir à chaque serviteur fidèle, digne d’être appelé par son nom, la bénédiction des dons reçus qui permettent la manifestation de l’amour à l’imitation de l’amour divin.
Voir une exégèse de 2 Corinthiens 9 mettant l’accent sur l’aide aux frères à travers une vision centrée exclusivement sur le but de l’Évangile, exempte de la tentative ambitieuse de tirer profit de l’œuvre dans le royaume de Dieu (sans exclure la possibilité certaine que Dieu profite ses serviteurs), même s’il s’agit d’aider les autres, c’est-à-dire d’aider le frère à se libérer de l’objectif que cela revienne à son profit.
L’apôtre Paul développe le thème de l’ensemencement non pas dans le “champ” de la sphère économique, visant à la réussite des investissements dans les affaires, des rendements financiers, comme de nombreux pasteurs ambitieux entendent l’interpréter, mais dans le “champ” du royaume spirituel dont la récolte fait référence à l’aspect céleste. . Dieu peut accorder des bénédictions matérielles à des personnes généreuses car elles sont détachées des intérêts terrestres ou égoïstes, mais ces bénédictions n’offrent aucune garantie pour cette vie ou pour la vie éternelle.
Les instructions de l’apôtre Paul concernant la grande collecte, impliquant métaphoriquement semer et récolter : les chrétiens macédoniens et les chrétiens corinthiens voulaient faire de bonnes œuvres comme subvenir aux besoins des pauvres de Jérusalem. Paulo fait allusion au fonctionnement d’une culture, où une partie de la récolte en cours est conservée pour l’année suivante, qui servira de semence. Cependant, si l’agriculteur consomme trop de sa récolte actuelle, il finira par économiser trop peu, ce qui conduira à la plantation de peu de graines et, par conséquent, sa prochaine récolte sera beaucoup plus petite. Cependant, s’il conserve et sème beaucoup de graines, sa prochaine récolte sera abondante. Ainsi, Paul fait une comparaison entre donner généreusement et semer abondamment. Semblable au royaume de Dieu, une grande moisson peut être réalisée grâce à la contribution généreuse et sincère de ses serviteurs. Mais cette récolte fait-elle référence à ce que vous recevrez de Dieu pour vous-même pour avoir beaucoup investi dans son royaume, pour avoir offert de l’argent à l’église ? Non! Cette moisson fait référence à ce que le peuple de Dieu gagnera grâce à la contribution de ses serviteurs. Cela ne signifie pas que Dieu ne les bénisse pas aussi ; les serviteurs qui offrent peuvent être bénis, mais cette bénédiction n’est pas liée spécifiquement à l’acte d’offrande.
On ne peut pas accepter dans le royaume de Dieu le genre de discours qui prône la prospérité matérielle, ou se réfère à tout autre domaine, comme venant de l’offre qui est faite au sein de l’église ; c’est comme si cela limitait le pouvoir de Dieu de donner à qui et comme il veut, quelles que soient ses actions (Mt 5.45 ; Rm 9.18). Il est bibliquement entendu que l’offrande implique la satisfaction de pratiquer, implique de donner avec joie, et non en réponse à la pression de la prédication incendiaire des ministres qui visent la croissance économique de l’église pour une application à des fins différentes, au détriment du vrai sens de l’économie de l’église, reflétant un oxymoron en tant que bonté égoïste – c’est-à-dire “je me le donnerai” ; cette vision humaine de la prospérité économique ne doit pas recouper la vision de l’économie selon l’église, qui s’exerce en faveur d’une bonne administration pour l’édification des vies et non pour le culte de l’argent, ce qui provoque une diminution des vertus mises en avant et proposés par l’évangile qui ne sont pas en dessous des valeurs monétaires.
En effet, Dieu connaît les besoins de chacun et exhorte dans sa parole à rechercher son royaume et sa justice avant toute autre chose et, comme une promesse, il satisfera tous vos besoins, ne vous laissant pas manquer de ce dont vous avez besoin (Mt 6,33 ), c’est-à-dire que le royaume et la justice de Dieu impliquent une posture de foi et de fidélité à Dieu dans le sens de l’obéissance à ses enseignements de détachement des matérialités et de la mission donnée par lui de prêcher l’évangile de la grâce gratuitement à tous les peuples, et non des théologies de la prospérité qui sont en contradiction avec la véritable prospérité promise par Dieu. Dieu bénit qui il veut, pas nécessairement celui qui donne (Rom. 11:6). Dieu connaît les besoins de chacun et y répond selon sa volonté, quoi qu’il fasse. Par conséquent, vous devez vous débarrasser de la stigmatisation que c’est en donnant que vous recevez, que si vous offrez, Dieu vous fera prospérer financièrement.
Dieu donne à chacun de ses serviteurs la possibilité de contribuer, et il est vrai qu’il peut donner plus d’argent au donateur pour qu’il puisse donner encore plus, mais ce n’est pas toujours le cas – en multipliant son argent – car il peut fournir d’autres moyens de donner, de contribuer, et pas seulement avec de l’argent. Être généreux doit être une conséquence de la prospérité que Dieu donne à ceux qui vont donner ; puis vient d’abord la prospérité de Dieu qui est suivie de la générosité, sinon comment pourrait-on donner ce qu’on n’a pas ? Comme dans cette prière : « Seigneur, aide-moi à l’avoir pour que je puisse la donner à mon frère ». La générosité à double dose car d’abord elle est déjà présente dans le cœur de la personne avant même de donner, c’est déjà un don inné ; et, deuxièmement, parce qu’elle a gagné et n’a pas retenu, mais distribué selon ses possibilités, compte tenu de sa capacité budgétaire et sous un sens prudent de l’altruisme : « Les prudents portaient l’huile dans leurs vaisseaux, avec leurs lampes ». Et ils répondirent à ceux qui n’en avaient pas : « L’huile que nous avons ne suffit ni à nous ni à vous. Si tu veux du pétrole, va en acheter ! (Mt 25:4,9). Le don de Dieu précède donc tout acte de générosité. Recevoir de Dieu vient avant de donner à quelqu’un, car pour donner j’ai besoin d’avoir, et c’est Dieu qui me donne, et non les offrandes que je fais, c’est-à-dire que ce ne sont pas les offrandes que je fais qui me feront prospérer, mais Dieu dans sa bonté infinie.
2 Corinthiens 9 parle de donner aux chrétiens pauvres comme un acte de générosité par obéissance à la parole de Dieu concernant la responsabilité de prendre soin de ceux qui en ont le plus besoin. Vous ne pouvez pas fermer les yeux sur ceux qui ont besoin d’aide, et, pas toujours, cette aide fonctionne comme des offrandes à l’église à distribuer aux nécessiteux, mais il peut s’agir d’offrandes à quelqu’un de plus proche, qu’il soit ou non dans le église ou non. Dieu voit le cœur généreux, pas le lieu où la générosité est pratiquée. Dieu voit comment c’est fait et pas nécessairement ce qui est fait – la façon dont nous réagissons à la situation de besoin de quelqu’un d’autre est plus importante que l’action en faveur de ce besoin, parce que la raison qui conduit une personne à l’action d’offrir dans le l’église, par exemple, ce n’est peut-être pas d’agir poussé par l’amour dans le cœur, mais par l’amour de l’argent qui vise à recevoir à la suite de cette action, sur la base de ce qu’il a entendu dans un sermon sur “donner plus pour recevoir plus”. ”. Ce Dieu voit ! Et à cela il répond : « Je ne les ai jamais connus ! Éloignez-vous de moi, malfaiteurs ! (Mt 7:23).
Les actes de générosité, comme les offrandes, ne sauvent ni ne justifient personne devant Dieu, mais reflètent seulement le salut déjà reçu, et, par conséquent, le chrétien offre comme une forme de gratitude envers Dieu pour ce qu’il a déjà reçu et non comme un moyen d’être récompensés pour leurs œuvres humaines. Les œuvres ne sauvent ni ne justifient personne. Dieu prend plus de plaisir à l’obéissance qu’aux sacrifices (1 Samuel 15:22), c’est-à-dire qu’il est plus agréable à Dieu lorsqu’un cœur pur et désintéressé est gardé dans les actions les plus diverses, que lorsque les œuvres sont faites pour le bénéfice du résultat.
Dieu donne de l’argent à qui il veut, mais l’objectif de ce don n’est pas de distribuer ou d’offrir pour gagner plus ; l’objectif est de donner, d’offrir, sans chercher de retour. La contribution devrait stimuler le chrétien à prier pour ceux qui vont recevoir, car une fois bénis, ils peuvent se débarrasser de leurs besoins et, ainsi, commencer à contribuer et à prier pour les autres après leur propre libération : l’un prie pour l’autre qui va bien et celui-ci se met à prier pour un autre qui va bien aussi, et ainsi de suite, toujours. La richesse que Jésus-Christ accorde au chrétien a plus de valeur que la richesse économique, car celle-ci est éphémère et la première est éternelle. Celui qui a Jésus a tout : la sagesse (à ne pas confondre avec la sagesse humaine), la pureté spirituelle, la connaissance de la parole de Dieu, la paix de l’esprit, le discernement qui délivre de la tromperie, etc. Comme il est écrit : « Sans moi, vous ne pouvez rien faire » (Jean 15 :5). Sans Jésus, une personne ne respire pas ; par conséquent, vous ne pouvez pas travailler pour gagner de l’argent. Quiconque est vivant est vivant par la grâce et la puissance de Dieu. « Rendez grâces en toutes choses » (1 Th 5, 18).
La générosité est un comportement qui exprime la gentillesse et non des intérêts égoïstes. Ceux qui donnent “généreusement” – c’est-à-dire avec libéralité, sans recherche d’intérêt personnel, sans rien attendre en retour, sans cupidité – recevront d’abondantes bénédictions selon leurs besoins connus de Dieu, et non proprement en argent, qui peut être en d’autres façons. Dans sa prescience, Dieu connaît les besoins de ses enfants auxquels il a déjà décidé de pourvoir, inconditionnellement, pour le simple fait qu’il a voulu bénir. Tout cela est donné avec un cœur pur et désintéressé que Dieu voit et récompense selon son omniscience. Même si Dieu accorde une récolte matérielle abondante à ceux qui contribuent à l’église par des offrandes, cela ne reflète pas la norme ni la promesse du Nouveau Testament. Selon le passage biblique ci-dessous, il semble confortable de donner. Qui veut être chrétien littéralement ? Qui veut payer le prix d’être chrétien ? Comment agit le vrai ministre de Christ ? Parler de prospérité est facile. Offrir et encourager l’offrande est facile, mais sont-ils vraiment des ministres de Christ ? Comme il est écrit :
Eles são servos de Cristo? Mas eu sou um servo melhor do que eles, embora, ao dizer isso, eu esteja falando como se fosse louco. Pois eu tenho trabalhado mais do que eles e tenho estado mais vezes na cadeia. Tenho sido chicoteado muito mais do que eles e muitas vezes estive em perigo de morte. Em cinco ocasiões os judeus me deram trinta e nove chicotadas. Três vezes os romanos me bateram com porretes, e uma vez fui apedrejado. Três vezes o navio em que eu estava viajando afundou, e numa dessas vezes passei vinte e quatro horas boiando no mar. Nas muitas viagens que fiz, tenho estado em perigos de inundações e de ladrões; em perigos causados pelos meus patrícios, os judeus, e também pelos não judeus. Tenho estado no meio de perigos nas cidades, nos desertos e em alto-mar; e também em perigos causados por falsos irmãos. Tenho tido trabalhos e canseiras. Muitas vezes tenho ficado sem dormir. Tenho passado fome e sede; têm me faltado casa, comida e roupas. Além dessas e de outras coisas, ainda pesa diariamente sobre mim a preocupação que tenho por todas as igrejas. (2 Co 11:23-28).
Les nécessiteux sont les bénéficiaires de la providence spéciale de Dieu : « de la poussière il élève le petit, et du fumier il élève l’indigent » (Ps 113, 7). C’est la générosité de Dieu qui garantit les biens à ses élus ; par conséquent, les offrandes des hommes sont une conséquence de cette générosité divine, et non un acte d’origine purement humaine qui, après avoir été pratiqué, permettra à celui qui offre d’obtenir des mérites et des récompenses. Comme si c’était un acte magique. La vérité sur les offrandes et les offrants est que la contribution aux besoins des autres multiplie la gratitude de l’offrant envers Dieu de la part de ceux qui reçoivent beaucoup avant même d’offrir ; c’est un enrichissement spirituel qui prime sur l’enrichissement matériel – ceci, bien sûr, pour ceux qui se soucient des vérités de Dieu, pour ceux qui apprécient les bénédictions spirituelles, ce qui ne signifie pas le rejet des bénédictions matérielles, bien sûr que non, mais le rejet la valeur accordée aux bénédictions matérielles par rapport aux bénédictions célestes. Important à retenir : « Vous ne pouvez pas servir Dieu et Mammon [les richesses] » (Mt 6 :24).
Malafaia dit qu’un chrétien est connu pour ce qu’il donne, mais il ne dit pas que le don volontaire est basé sur l’amour et non sur l’attente d’un retour pour l’offrande donnée. Il propose la théorie de la proportionnalité selon laquelle vous récoltez ce que vous semez – beaucoup planté, récoltez beaucoup – ; Vous ne pouvez pas acheter le paradis pour avoir trop donné ! Cependant, cette récolte dont l’offrant s’attend à recevoir en retour est intrinsèquement liée à l’argent offert dans l’église, ou est-elle liée à l’ensemencement de la parole de Dieu pour le salut des âmes et, par conséquent, peut se produire (c’est-à-dire qu’elle est pas certain que cela se produise) une récompense de Dieu ? Il est nécessaire de garder à l’esprit que Dieu accorde des bénédictions par sa volonté et non à cause des actes des hommes.
Affirmer catégoriquement que quelqu’un sera récompensé à cause des offrandes qu’il fait, c’est faire allusion au message de l’Ancien Testament selon lequel quiconque n’offre pas dans l’église vole Dieu (Mal 3:8), en l’adaptant au contexte actuel sans mentionner le vrai motif divin pour cette exhortation, que les Israélites étaient plus soucieux de leurs poches que des choses de Dieu, comme le soutien des Lévites et des prêtres. C’est pourquoi Dieu les défia, déclarant que pour recevoir ses bénédictions, ils devaient lui obéir ; De plus, il ne fait pas allusion au message du Nouveau Testament selon lequel la chose la plus importante concernant la loi (qui est déjà adoptée, puisque nous sommes sous la grâce de Jésus), qui se réfère également à l’époque actuelle, est la pratique de la justice , de miséricorde et de foi (Mt 23,23).
Par ailleurs, il y a encore l’expression « C’est en donnant qu’on reçoit », qui n’est pas biblique. C’est le contraire, on reçoit et puis on donne, car personne ne donne ce qu’il n’a pas reçu ou ce qu’il n’a pas. Quant aux dons d’un point de vue biblique, il est entendu qu’il vaut mieux donner que recevoir (Actes 20:35), d’où il résulte que l’objectif de donner n’a rien à voir avec recevoir en retour, il ne devrait y avoir aucune vision de retour. , c’est-à-dire ne jamais donner, offrir, rechercher des bénéfices et des avantages pour vous-même. C’est ce qu’il faut faire au-dessus des offres qui sont faites avec des intérêts au-delà de ceux proposés par Jésus, qui sont l’amour du prochain et le salut des âmes. De plus, il y a des dirigeants qui utilisent les textes bibliques de manière coercitive et menaçante envers ceux qui ne donnent pas la dîme ou les offrandes dans les églises, car ils intimident les fidèles avec des jurons comme l’a fait le prêtre Pasur, l’infâme “Terreur-sur-tout- côtés » (Jr 20:3). Combien de pâturages sont dispersés dans le monde « au nom de Dieu » ?!
Malafaia a dit à juste titre que “chaque graine a un temps de maturation”, et poursuit en demandant “Dans quel type de terre plantez-vous ?” Et il ajoute : « Planter dans la vie d’un escroc, de gens qui n’ont pas d’affection naturelle, misérable, mesquin, ça ne vaut rien, cette terre est aride, vous plantez dans un projet frauduleux, ça ne vaut rien. Allez voir dans qui vous plantez. C’est planter dans la vie de quelqu’un, mais allez voir qui est cette personne ; les gens qui haïssent Dieu, haïssent le peuple de Dieu, sont des terres avares, misérables et stériles. La question est donc : combien de chrétiens sèment dans la vie de faux pasteurs, de faux enseignants, de faux chefs religieux puisque les offrandes qu’ils reçoivent ne vont pas à l’église, mais dans leurs poches ? Comment connaître cette réalité si ce n’est pour une enquête approfondie basée sur des soupçons antérieurs à partir des faits qui surgissent contre ces individus ? C’est-à-dire qu’il est téméraire de parler ainsi de personnes dont le cœur et les intentions ne sont pas connus comme Dieu le sait. Cela revient à « respecter les personnes » (Rm 2, 11). Car? Parce que Dieu ne voit pas comme l’homme voit (1 Sam 16:7). L’homme voit les apparences, l’extérieur, mais il est incapable de voir l’âme, le cœur de l’autre.
4.3.3 ANALYSER LES MOTS « MALAFAICAS »[5]
Une personne de votre famille est une crapule, c’est-à-dire un personnage sans caractère ou, pour mieux dire, un mauvais caractère. Le fait qu’une personne soit une canaille ne signifie pas qu’elle ne peut pas être transformée par Dieu. Comme l’a dit Malafaia lui-même : « Que Dieu soit vrai et tout homme menteur », se référant à Romains 3 :4. Donc, s’il est écrit dans les Saintes Écritures que Dieu ne fait acception de personne, qui est l’homme pour dire que tel ou tel ne mérite pas de recevoir les moyens du salut ? Même un faux pasteur, lorsqu’il reçoit les offrandes et les dîmes dans son église, peut, en même temps, recevoir des exhortations sur la façon de les administrer fidèlement, et non avec du vol comme le fait un chef religieux de mauvais caractère – le vrai “voler Dieu” , c’est-à-dire ne pas obéir aux vertus morales qu’il commande à son peuple. Bientôt, il aurait l’occasion de se régénérer.
Comme personne n’a l’omniscience de Dieu pour savoir ce qui se passe dans le cœur d’autrui, il n’y a aucune raison de ne pas “planter” la graine de la grâce de Dieu dans la vie d’une personne. Planter, bibliquement parlant, ne se réfère pas seulement à l’argent, comme le préconise Malafaia, quelle que soit la spécificité du sujet dans ce contexte ; au contraire, planter dans sa vie est au-dessus des dons en offrandes à l’église (ou, plus exactement, aux dirigeants de l’église qui les rachètent par promiscuité pour eux-mêmes). La vision du « planter dans la vie de l’autre » ne peut se limiter à la seule question d’argent, à la question de l’offrande ou encore à la question de la dîme ; il faut penser plus au « prochain » qu’à « l’autre », car quand on pense au prochain, on pense comme Jésus quand, par exemple, il a sauvé la vie du voleur à côté de lui sur la croix.
Jésus ne faisait acception de personne à l’égard de cet homme; Jésus ne l’a pas condamné, ni ne l’a rejeté parce qu’il était un scélérat, misérable, frauduleux, mesquin, haïssant les choses saintes parce qu’il était empêtré avec les profanes ; non! Jésus a fait une radiographie de son cœur à ce moment où le candidat à la réprobation des hommes s’est vraiment repenti et Jésus, connaissant son cœur comme personne d’autre, était sûr de sa repentance, car, étant Dieu, il ne se trompe pas et est pas trompé ; il sait qui est qui. Jésus ne l’a pas condamné pour ses méfaits et ses défauts moraux. Précisément pour être sur cette croix, Jésus, sans erreurs ni péchés, payant pour un crime qu’il n’a pas commis, étant injustement condamné par des hommes religieux – ceux, oui, qui commettent normalement le péché d’accusation injuste et diffamatoire, de jugement imprudent, d’exclusion et du rejet, qu’ils déclarent agir au nom de Dieu -, a conduit le malfaiteur à comprendre qu’il y avait de meilleurs chemins que ceux qu’il avait parcourus jusque-là. Elle lui a donc donné, au dernier moment, l’occasion d’une sanctification, un acte de purification de caractère. C’est-à-dire qu’une fois purifiée par Dieu parce qu’elle s’est vraiment repentie de ses péchés, la personne jouit maintenant d’une nouvelle vie, “une nouvelle créature” (2 Co 5:17). S’il n’en était pas ainsi, comme il est écrit, Dieu serait un menteur et Malafaia serait vrai.
Par conséquent, tout homme est privé de la gloire de Dieu (Rom 3:23), à moins qu’il ne croie en Jésus et ne manifeste sa foi en lui (Rom 3:22,26) qui apporte avec elle la repentance et la délivrance conséquente des péchés. Il est connu, bibliquement, qu’il n’y a pas de juste sur la face de la terre parce que tous se sont égarés et ne font pas le bien, dont la gorge est un tombeau ouvert, avec des langues trompeuses, pleines de jurons qui renient leur prochain parce que ils ne connaissent pas leurs cœurs, qui sont sous la loi et non sous la grâce, même s’ils disent le contraire, qui font croire à leurs auditeurs que ceux qui ne donnent pas sont condamnables devant Dieu, mais eux, avec leurs discours tendancieux, ne le sont pas (Rom. 3).
“Car il n’y a pas de différence” (Rom 3:22). La justice de Dieu par la foi en Jésus-Christ est pour tous et sur tous ceux qui croient. Le voleur sur la croix a cru. Madeleine a cru. Rahab a cru. Zachée a cru. Paul a cru. Qui étaient ces gens avant qu’ils ne connaissent Dieu ? Étaient-ils tous parfaits, sans déviations de caractère, sans péchés, sans erreurs ? Pas. Tous étaient pleins de problèmes, qui sont bien connus dans la Bible, mais Dieu n’en a rejeté aucun parce qu’il a vu leurs cœurs sincères et prêts à se repentir. Il ne faisait pas acception de personnes, il ne manquait pas de s’occuper d’eux à cause de leurs péchés, mais il les assistait jusqu’à ce qu’ils soient régénérés. Rahab, une prostituée (Jos 2), fait partie de la lignée de Jésus-Christ (Mt 1 :5). Elle voulait aider les espions dans leur mission donnée par Dieu : une putain de foi que Dieu a justifiée. Qui, alors, n’est qu’un homme pour condamner les pécheurs à l’exclusion de la grâce de Dieu, comme le fait Malafaia de 26h29 à 26h55 dans la vidéo en question, puisque l’action de planter selon les principes bibliques n’est pas seulement liée à l’argent ? Ce ne serait pas le cas de donner à ces personnes (rappelant qu’elles ont, comme nous : « tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » – Rom 3:23) la bénédiction d’entendre la prédication du message du Christ qui génère la foi (Rom. 10:17) par la foi elle-même et l’espérance de la mission évangélique par laquelle « Dieu accepte tous par le Christ Jésus, qui les sauve ? (Rom 3:24).
Il ne s’agit pas de supporter les erreurs de l’autre, mais de voir les possibilités de régénération et de salut pour la vie du prochain ; il ne s’agit pas seulement d’une question sociale, mais d’une question spirituelle qui exige logiquement une prudence dans le traitement, ce qui n’implique pas l’abandon ou le rejet. On peut ne pas marcher physiquement ensemble, mais le cœur marche côte à côte à travers une prière sincère qui atteint les oreilles de Dieu lorsque nous implorons la délivrance de quelqu’un. Donc, ce n’est pas simplement de fulminer pleine de morale que l’autre est misérable, un scélérat et que, par conséquent, il faut l’abandonner. Cela ne correspond pas à la vérité de Dieu !!! Nous savons, par exemple, que certains ont accueilli des anges par l’hospitalité sans savoir qu’ils étaient des anges (Hé 13, 2 ; 1 P 4, 9) sans les juger ni leur reprocher leur apparition ou toute autre raison qui provoquait de la répulsion. Nous savons aussi que l’amour couvre une multitude de péchés (1 Pierre 4:8), c’est-à-dire qu’il ne place pas les erreurs, les défauts et les péchés au-dessus de la possibilité d’une régénération qui implique le pardon, car “c’est par Jésus-Christ lui-même que nos péchés sont pardonné. Et pas seulement les nôtres, mais les péchés du monde entier » (1 Jean 2 :2).
Alors, comment plaire à Dieu selon sa parole ? Demeurons amoureux les uns des autres comme des frères en Christ. Nous ne manquons pas d’accueillir ceux qui viennent chez nous, pour nous rencontrer, dont nous connaissons les histoires, et nous pouvons les aider pas nécessairement avec de l’argent, mais en investissant dans la prière, les conseils ou tout ce qui est nécessaire dans la limite de ce qui peut être fait pour leur vie. . Il faut toujours garder à l’esprit que personne n’est meilleur qu’un autre et cela supprimera toute répudiation qui va à l’encontre des principes divins de l’évangélisation, en tenant compte de ceux qui souffrent de maux différents, comme si nous souffrions des mêmes maux ( Heb 13:1- 3; 1 Pe 5:9), car aujourd’hui nous n’avons pas le même problème que les autres, mais nous avons d’autres problèmes; personne n’est à l’abri des ennuis, personne, pas même le meilleur pasteur de la meilleure église. L’Église du Christ est pour les malades et les misérables qui peuvent recevoir le salut et la délivrance de leurs problèmes.
Alors qu’en est-il de la «personne de la terre aride» contre laquelle il s’est prononcé, exhortant les auditeurs chrétiens à ne pas semer dans sa vie? Semer dans la Bible se réfère uniquement à l’offrande d’argent ? La prédication de l’évangile à ce type de personnes ne serait-elle pas aussi une « offrande d’amour » pour le salut de leur âme ? La prédication de l’évangile est-elle réservée aux bonnes personnes de bonne moralité ? Ou juste pour ceux qui offriront à l’église ? Jésus ne nous a-t-il pas avertis (Mt 5:46,47) de ne pas considérer (aimer) seulement les bons (qui nous aiment), mais aussi les mauvais, car ils ont besoin d’être délivrés ? Dieu ne fait-il pas lever le soleil pour les bons et les méchants, les justes et les injustes, ne fait-il pas pleuvoir sur eux, ne fait-il pas que cela arrive à tout le monde ? (Ec 9, 2 ; Mt 5, 45) Dieu ne méprise ni n’abandonne un individu, mais lui offre toujours une chance de se régénérer. Pourquoi pas nous ? Ne sommes-nous pas à l’image et à la ressemblance de Dieu qui est amour (Gn 1,26) ? Ne sommes-nous pas rendus capables par la puissance et la parole de Dieu de prêcher l’évangile (Marc 16:15) – la parole de salut et les fruits de la régénération et de la délivrance – jusqu’aux extrémités de la terre, c’est-à-dire à toutes les nations ?
Ci-dessous quelques textes de réflexion, partiellement transcrits de la vidéo précitée « Une vie de prospérité », dont les textes initiaux et les réfutations respectives se trouvent ci-dessus.
Image 4 – Extrait de la vidéo « A life of Prosperity » à 21:21m
O cristão é conhecido por aquilo que ele doa. |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
Pour quoi faire un don en offre monétaire ? ! Ou par amour mutuel ? Lisez comment un chrétien est connu : « A ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples (chrétiens), si vous avez de l’amour les uns pour les autres » (Jean 13:35). Comment un chrétien fidèle donne-t-il ? Avec quel coeur ? Ci-dessous, un texte explicatif sur la bonne voie et un cœur pur à offrir[6] :
Não é pra aparecer!
Doação de coração puro, sincero e fiel: jamais para aparecer, para aliviar-se de culpa ou por constrangimento de qualquer tipo.
Faça a sua missão como Deus lhe tem dado a fazer. Cada um tem a sua própria missão. Faça a sua como Deus a tem designado. E não se sinta culpado por não fazer o que outros estão fazendo; eles estão cumprindo cada um com a sua missão. E não queira jamais fazer para aparecer, fazer algo para mostrar sua ação para os outros.
Como ofertamos a Deus? Com que coração? Dar por dar, dar por qualquer outro motivo que não seja agradar a Deus, i.e., dar para agradar os outros, dar para nos sentirmos livres de culpa, dar por obrigação ou constrangimento…
De que maneira é feita uma oferta à casa de Deus ou a necessitados fora dela? As ações “ofertivas” são motivadas pelo quê? É para o modo como a oferta se realiza que Deus atenta, e não para a oferta em si. É para a disposição do coração que Deus olha.
Deus atentou para a oferta de Abel porque ele se preocupou em oferecer o melhor e assim o fez (Gn 4:4), diferentemente de seu irmão Caim (Gn 4:3). Nota-se nesse contexto o modo como a oferta foi realizada: a de Abel por gratidão e desejo de agradar a Deus, mas a de Caim por obrigação ou mero formalismo. Deus dá testemunho dos dons (Hb 11:4). Todavia, um pecado dá brecha para outros pecados (Gn 4:7,8).
É preciso ter muito cuidado com o modo pelo qual se faz uma oferta, pois, se for divergente dos princípios divinos, acarreta pecado que gera culpa diante de Deus. Logo, não há nenhuma vantagem em fazer ofertas que destoam da pureza do coração para com Deus, segundo o seu propósito, e para com os homens segundo a retidão do espírito (Sl 51:10; Lc 2:14).
L’offre ne doit jamais avoir pour but de faire connaître l’offrant. Ce n’est pas pour se faire connaître ! Rappelez-vous simplement la parole avec laquelle il est exhorté à agir selon la direction de Dieu dans Matthieu 6 : 2-4 :
Quando você der alguma coisa a uma pessoa necessitada, não fique contando o que fez, como os hipócritas fazem nas sinagogas e nas ruas. Eles fazem isso para serem elogiados pelos outros. Eu afirmo a vocês que isto é verdade: eles já receberam a sua recompensa. Mas você, quando ajudar alguma pessoa necessitada, faça isso de tal modo que nem mesmo o seu amigo mais íntimo fique sabendo do que você fez. Isso deve ficar em segredo; e o seu Pai, que vê o que você faz em segredo, lhe dará a recompensa.
Image 5 – Extrait de la vidéo « A Life of Prosperity » à 26:52m
A lei da semeadura vai funcionar pra você; se você plantar, você vai colher. É princípio de Deus. |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
Oui, c’est le principe divin. Il est écrit : « Tout ce qu’un homme sème, c’est ce qu’il récoltera aussi » (Gal 6:7) – comme se référant uniquement à la bonne partie de la plantation. Cependant, poursuivant la lecture, on note que le verset 8 explique le précédent : « S’il sème pour plaire à ses propres désirs mauvais, il plantera les graines du mal et récoltera logiquement une moisson de ruine spirituelle et de mort ; mais s’il sème les bonnes choses de l’Esprit, il récoltera la vie éternelle que le Saint-Esprit lui donne. Il est entendu que cette expression soulignée se réfère à la sphère spirituelle, et non matérielle ou financière ; par conséquent, cela révèle le résultat de l’exclusion du salut par ce qu’il a planté et la manière dont il a conduit les choses de Dieu. La semence dont parle le verset en question est spirituelle. Pourquoi ne lire que des versets isolés alors que toute la signification biblique est liée à un contexte global et non spécifique ?
Alors, la loi du semis serait-elle liée à l’aspect financier de l’offre ?! La loi des semailles est-elle liée au domaine matériel ou au domaine spirituel ? La loi des semailles implique-t-elle un investissement, une négociation de type « prenez-le, donnez-le » où il y a de bonnes affaires ? Est-il bibliquement garanti par Dieu que plus quelqu’un donne d’argent, plus il reçoit d’argent ?
Beaucoup de gens se tournent vers la parole de Dieu lorsqu’elle dit que si vous semez abondamment, vous récolterez abondamment, d’un point de vue intéressé – c’est une façon d’encourager les gens à donner beaucoup d’argent à l’église parce qu'”ils recevra beaucoup plus en retour.” Cependant, ce n’est pas ce que signifie 2 Corinthiens 9:6. Il est recommandé, par conséquent, une lecture des textes originaux afin de comprendre le sens réel de chaque mot dans les textes bibliques ; de cette façon, le danger de lectures biaisées cesse d’exister. Il faut aussi prédisposer le cœur à la parfaite compréhension de ce que Dieu veut dire, et ne pas vouloir en rester à ce que l’on préfère croire être la vérité.
Ce verset dit que « celui qui sème avec parcimonie moissonnera aussi avec parcimonie ; et celui qui sème abondamment moissonnera aussi abondamment. Dans l’original grec, le mot “εὐλογίαις” / eulogíais /, qui est généralement traduit par abondance ou abondance (bénédictions / louanges), n’est pas utilisé dans le but de bénir les choses, c’est-à-dire de bénir les offrandes afin que de plus grands dons soient obtenus, mais dans le but de louer, louer Dieu comme celui qui donne les choses, et pour cette raison même, il s’agit spécifiquement de l’abondante bénédiction de Dieu déversée sur la vie de celui qui a de la gratitude pour lui. Ainsi, le terme lui-même révèle les aspects de louange et de gratitude pour les bénédictions reçues de Dieu qui sont toujours abondantes en raison de leur grandeur indicible. Et c’est le vrai sens qui imprègne tout le texte de 2 Corinthiens 9 concernant la loi des semailles.
La croyance qu’il y a un retour financier pour ceux qui font des offrandes dans l’église ne devrait pas être encouragée. Cela se produit parce qu’il a été précédemment honoré par Dieu de pouvoir le faire avec un cœur généreux, c’est-à-dire désintéressé, ne recherchant pas d’avantages. Agir contrairement à cette compréhension revient à commercialiser la foi.
« En Christ, Dieu nous a bénis de toutes sortes de bénédictions spirituelles venant des cieux » (Eph 1 :3). Dieu promet des bénédictions spirituelles à ceux qui se soumettent à sa volonté qu’elles correspondent à ses attributs divins qui incluent une manière d’être libre de tout intérêt pour nos actions – de faire vos dons et de vous donner par amour, et de ne pas rechercher un retour financier ou tout autre avantage. .
Voici la preuve que Dieu donne ce qu’il veut à qui il veut comme il veut quand il veut combien il veut parce qu’il le choisit et le bénit : les termes s’amplifient, et ta main soit avec moi, et veille à ce que le mal ne soit pas affligé !… Et Dieu lui accorda ce qu’il demandait » (1 Chroniques 4 :10).
Et votre bienheureux élu n’a pas besoin de promettre quoi que ce soit à Dieu, n’a pas besoin de lui donner quoi que ce soit en retour, pour recevoir de lui ses bénédictions. Dieu n’est pas un « dieu marchand ». Il est le rémunérateur de ses fidèles qui le recherchent de tout leur cœur, et il prend plaisir à leur donner la sécurité, la paix, l’absence de souffrance et une abondance de bénédictions.
A 28h15 :
– Celui qui donne une offrande aura de la nourriture, aura des provisions, aura de l’approvisionnement dans le domaine matériel et spirituel. Les besoins spirituels seront satisfaits grâce à votre offrande. La grâce est la faveur de Dieu pour l’homme. C’est la grâce. La loi de provision signifie que lorsque vous plantez des offrandes, Dieu pourvoira aux besoins matériels et spirituels de votre vie.
Réponse:
Relisez ce qui est immédiatement écrit dans la réfutation ci-dessus. Dieu ne soutient-il que ceux qui font des offrandes dans l’église ? Combien de personnes dans le besoin ne donnent pas d’offrandes dans l’église et reçoivent de l’église ?! La grâce de Dieu est si grande qu’il pourvoit à la fois aux besoins matériels et spirituels non pas à cause des offrandes qui sont données dans l’église ; l’offrande aide à l’œuvre du royaume de toutes les manières, mais ce n’est pas à cause de l’offrande, mais à cause de la grâce.
La loi de provision signifie que Dieu pourvoit toujours aux besoins matériels et spirituels, pas seulement lorsque les offrandes sont plantées. Les bénédictions de Dieu ne se limitent pas aux actions des hommes ! Il donne à qui il veut, il a compassion de qui il veut, il a pitié de qui il veut, il bénit qui il veut ; cela n’a rien à voir avec l’offrande – Dieu ne dépend pas de l’offrande de quiconque pour accorder des bénédictions. (Rom 9:15,16).
Image 6 – Extrait de la vidéo « A life of Prosperity » à 28:32m
Necessidades espirituais da sua vida vão ser supridas por causa da sua oferta. |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
Non! Ces besoins seront satisfaits grâce à la miséricorde de Dieu sur la vie du croyant fidèle qui est en communion avec Lui. L’offrande serait inutile s’il n’avait pas fidélité et communion, car Dieu bénit qui veut et fait lever le soleil et pleuvoir sur tous, justes et injustes, bons et mauvais (Mt 5,45), qu’ils offrent ou non en son église ou pas. . La bonté de Dieu ne se limite pas à ce qu’ils offrent dans l’église, mais vient de leur volonté et de leur dessein ; par exemple, il peut bénir un incroyant pour favoriser un croyant ; vous souvenez-vous de l’histoire du macumbeiro qui apportait de la nourriture au croyant dans le besoin ? Donc tous les deux n’ont pas fait d’offrandes dans l’église, mais Dieu les a bénis – l’un pour donner et l’autre pour recevoir.
Cependant, à 38:59m de la vidéo, il donne une explication à cela, disant qu’il y a une différence entre la richesse et la prospérité, prévoyant déjà la question de tout auditeur qui n’a pas compris sa prédication ; c’est parce qu’il sait lui-même que sa prédication est chaotique.
Sur 2 Corinthiens 9:11 :
Image 7 – Extrait de la vidéo “A Life of Prosperity” à 29:11m
Para que em tudo enriqueçais para toda a beneficência”. Se tiver conhecimento correto do que é oferta, se você tiver atitudes corretas como eu te ensinei sobre oferta, é a lei da abundância. Sabe o que que é abundância? É a lei da sobra. Deus vai te dar não só pra suprir suas necessidades, mas pra sobrar pra você ajudar outro.” |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
C’est-à-dire que la personne va s’enrichir pour aider l’autre !!! Cela reflète une manière d’alimenter la cupidité sous le couvert d’une fausse vertu philanthropique. Cela sonne bien aux oreilles et aide à éviter les mauvaises interprétations des intentions. Ceux qui l’écoutent le reçoivent avec joie, pensant qu’ils feront un grand bien sans se rendre compte de l’intention réelle qui se crée dans leur esprit. Tout cela reflète le pouvoir de persuasion de l’émetteur du message qui camoufle avec des mots apparemment sages le véritable but de l’entreprise, le laissant caché (comme un message subliminal).
Face à ces mots, que dire alors du frère qui ne s’est jamais enrichi et a toujours aidé l’autre ? Cette compréhension ne serait-elle pas en accord avec le verset où il est dit : « Afin que vous soyez enrichis en toutes choses en toute bonté ». Notez qu’il y a une mauvaise exégèse de ce verset de la part de cet orateur, car, en considérant une personne qui ne s’est jamais enrichie financièrement, mais a toujours aidé l’autre, cela signifie qu’il s’est enrichi d’autres manières, n’étant pas riche en termes monétaires , mais ayant, au moins, au moins, le désir de donner de l’argent à ceux qui en ont besoin et de pouvoir le faire dans la mesure du possible ; De plus, il est nécessaire d’interpréter correctement le verset lorsqu’il dit “pour toute bienfaisance”, c’est-à-dire non seulement pour aider avec de l’argent, mais de diverses autres manières telles que le soutien moral, professionnel, familial, etc., l’intercession, parmi beaucoup d’autres choses intéressantes, d’égale importance.
Le plus important de tout cela n’a pas été dit par l’orateur – qu’au-dessus de la satisfaction des besoins des saints se trouve la gratitude envers Dieu pour toute sa provision à la fois pour celui qui donne et pour celui qui reçoit, car tous deux sont sous le pouvoir de Dieu qui bénit afin de le faire (2 Co 9.12-15).
Voici la véritable essence des versets qui complètent celui cité qui ne peut être séparé de ce dernier. Les versets bibliques ne sont pas lus séparément du contexte global dans lequel ils se trouvent. La lecture d’un seul verset isolé du contexte précédent et ultérieur devient un prétexte pour une hérésie, c’est-à-dire un faux enseignement de la vraie parole de Dieu, de ce que Dieu veut en fait transmettre à ceux qui cherchent à entendre sa parole et à suivre son orientation. . Cela fait référence aux déviations contre lesquelles Dieu avertit son peuple de ne pas être pris au piège par eux et engraissé par la fausse nourriture.
L’orateur dit : « si tu as les bonnes attitudes comme je t’ai appris sur l’offrande ». Qu’est-ce qui est le plus important : obéir à la voix de Dieu ou à la voix de l’homme ? Parce que c’est la voix de l’homme et non de Dieu. Si cela venait de Dieu, ce serait en accord avec la vérité de Dieu, que le texte ne se réfère pas à ce qui doit être reçu en échange de ce qui est donné, mais aux nombreuses expressions de gratitude envers Dieu pour tout, de toutes les manières, à l’intérieur. l’église, et d’elle à tous, sans respect de personnes, sans partialité. L’enseignement de Dieu sur les offrandes n’a rien à voir avec ce qu’il enseigne, comme cela a été expliqué ci-dessus ; il suffit de lire en entier chaque verset en question et de les interpréter correctement à travers une exégèse neutre, c’est-à-dire désintéressée, impartiale, qui ne vise qu’à apporter le pur enseignement de la parole de Dieu à ceux qui veulent en connaître la vérité.
Sur 2 Corinthiens 9:8 :
Image 8 – Extrait de la vidéo “A life of Prosperity” à 29:13m
Superabundeis em toda a boa obra. |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
Ce verset fait-il spécifiquement référence à l’offrande en espèces dans l’église ? ! Surabondance d’offres ?! Les ministères de l’église se résument à des offrandes ? ! Et les autres œuvres d’une église, ne seraient-elles pas aussi équivalentes à de bonnes œuvres ?! Abonder en toute bonne œuvre signifie non seulement aider les autres de diverses manières (et pas seulement donner à l’église), mais aussi s’efforcer de rechercher plus de connaissances sur Dieu et les choses qui lui sont liées et partager cette connaissance avec les autres sous la forme d’un don. l’évangélisation par des moyens possibles et adéquats. Le verset fait référence à « toutes sortes de bonnes œuvres » (2 Co 9 : 8).
Image 9 – Extrait de la vidéo « A life of Prosperity » à 30:01m
Meu irmão, vai ler a bíblia, meu filho! |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
Malafaia prononce ironiquement cette phrase comme si le chrétien auquel il s’adresse n’avait aucune connaissance de la Bible. Cela donne l’impression que lui seul a ce potentiel de connaissance, alors qu’en réalité, il n’a pas la pleine connaissance de la Parole de Dieu, comme personne d’autre ; l’amélioration de la connaissance biblique est quotidienne et inépuisable. Il semble n’y avoir aucun respect pour les autres en termes de leur expérience personnelle avec Dieu. Chacun reçoit de Dieu ce que Dieu veut lui donner et cela suffit (Rm 9.18). Se pourrait-il que Malafaia, dans sa limitation humaine et spirituelle présumée, comme le montre son discours, souhaite que des mots comme ceux-ci lui soient adressés, puisqu’il n’est différent de personne ou meilleur que quiconque sous les cieux ?! Où est l’humilité de Malafaia à travers l’avertissement divin ? Comme il est écrit : « Que le plus grand d’entre vous soit comme le moindre » (Luc 22 :26) ; « Que personne ne se trompe : si quelqu’un d’entre vous se croit sage dans ce monde, qu’il se fasse insensé pour être sage » (1 Co 3, 18) ; « Ne faites rien par intérêt personnel ou par désir insensé de recevoir des louanges ; mais soyez humbles et considérez les autres comme meilleurs que vous-mêmes » (Ph 2, 3). De plus, Dieu ne se limite pas à l’exégèse humaine. Il faut que chaque chrétien relise plusieurs fois chaque verset cité pour apprendre directement de Dieu qui révèle à son esprit la pure vérité telle qu’elle est et non entretenue par des interprétations biaisées. Si votre autonomie vous permet d’apprendre directement de Dieu, c’est vrai !
Sur Genèse 13:2,6 :
Image 10 – Extrait de la vidéo “A Life of Prosperity” à 30:38m
Deus da abundância que faz sobrar. José do Egito. Povo no deserto – maná. Multiplicação dos pães. Pesca maravilhosa!” |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
Beaucoup ont appris à profiter de la parole de Dieu en leur faveur au lieu de l’utiliser en faveur des autres, comme il se doit. Par conséquent, les textes miracles qui mettent l’accent, par exemple, sur des faits bibliques concernant le thème de la prospérité sont très utiles.
En ce sens, les textes les plus appropriés sont recherchés qui montrent comment un personnage particulier a évolué ou prospéré financièrement – c’est l’accent mis. Cependant, le plus important dans chacune de ces histoires ne se trouve pas dans le fait final de la prospérité, mais, principalement, dans le fait de la réalité vécue par le personnage : les luttes, la douleur, les pertes, l’apprentissage moral, la transformation du caractère, obéissance à Dieu au détriment de sa propre volonté, renoncement à ses propres désirs et souhaits, etc.
Ces faits, tous réunis, ont été décisifs pour que ce personnage atteigne la prospérité financière ou qu’un certain événement dénote une abondance de bénédictions. Par exemple, quand Job a-t-il atteint la prospérité ? Voyons : « Ils dirent combien ils étaient désolés de ce qui lui était arrivé, et ils le consolèrent de tous les malheurs que l’Éternel avait fait venir sur lui » (Job 42:11b).
Job a perdu sa santé, ses enfants, ses biens, sa réputation, sans jamais accuser Dieu, sans reconnaître sa souveraineté et sans l’adorer, et seulement après avoir subi tant de souffrances au milieu, cependant, d’un culte continu et d’une obéissance aux desseins de Dieu. , a atteint la prospérité financière, a retrouvé sa famille, a sauvé sa dignité sociale, a été récompensé par la longévité :
O Senhor abençoou a última parte da vida de Jó mais do que a primeira. Ele chegou a ter catorze mil ovelhas, seis mil camelos, dois mil bois e mil jumentas. Também foi pai de sete filhos e três filhas. À primeira deu o nome de Jemima; à segunda chamou de Cássia; e à terceira, de Querém-Hapuque. No mundo inteiro não havia mulheres tão lindas como as filhas de Jó. E o pai as fez herdeiras dos seus bens, junto com os seus irmãos. Depois disso, Jó ainda viveu cento e quarenta anos, o bastante para ver netos e bisnetos. E morreu bem velho (Jó 42:12-17).
La théologie de la prospérité prend-elle soin de mentionner de manière illustrative cette phase douloureuse de la vie de Job dans le but d’encourager le chrétien à obéir à Dieu, qu’il obtienne ou non des bénédictions ? Qui veut être comme Job et traverser ce qu’il a traversé avant de jouir d’une telle prospérité ? Ils veulent la prospérité de Job, mais ils ne veulent pas la souffrance de Job. Cela révèle un sentiment mesquin proche de l’envie qui ne se nourrit que des bonnes choses dans la vie des autres sans même vouloir imaginer ce que l’autre traverse pour être ou avoir ceci ou cela, car beaucoup ont beaucoup, mais Dieu seul sait comment ! Cette partie dont personne ne veut – la partie cachée de ces vies qui englobe divers types d’adversité, mais la partie exposée qui montre leurs réalisations libère la face cachée d’autres vies – la manifestation de sentiments sombres comme le gros œil.
Aujourd’hui, nous voyons des gens dans les églises qui veulent seulement être récompensés sans payer le prix de la soumission à la volonté ou aux desseins de Dieu. Ils veulent aller à l’église et n’entendre que des paroles qui massent leur ego, qui encouragent leur âme, qui nourrissent leur appétit de grandeur ; ils ne sont pas intéressés à regarder à l’intérieur d’eux-mêmes et à reconnaître qu’ils ont besoin d’être transformés dans certains aspects du caractère, de la personnalité, car ils ne comprennent pas ces changements comme un signe de prospérité morale, émotionnelle, sentimentale, qui coopèrent pour la bénédiction d’une vie saine esprit et un esprit sain. Malheureusement, ils ne comprennent la prospérité que d’un point de vue financier qui leur procure des bénéfices et des avantages matériels.
Image 11 – Extrait de la vidéo « A Life of Prosperity » à 33:37m
Colegas pastores que estão assistindo esse programa, pegue esse DVD, aluga um telão na tua igreja e bota pro povo ouvir o que eu tô falando aqui. Não tenha medo de ensinar a verdade da bíblia. |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
La vérité de la Bible ou la sienne ? Pourquoi n’encourage-t-il pas ses collègues pasteurs à étudier la Bible afin qu’ils puissent donner des instructions divinement inspirées par le Saint-Esprit et non par lui, un simple être humain ? Qui est cet homme? La parole de Dieu dit : « Qu’il (le Christ) croisse et que moi je diminue » (Jn 3,30), mais ici en ce moment de prédication il prêche le contraire !
Image 12 – Extrait de la vidéo « A Life of Prosperity » à 33:58m
Deus quer que a lei da semeadura, a lei da provisão, a lei da multiplicação (2 Co 9:10). |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
Qui est qui pour affirmer ce que Dieu veut ? Qui sait ce que Dieu veut ? Qui peut mettre des mots dans la bouche de Dieu ? Comment la loi des semailles s’applique-t-elle dans la vision de Dieu ? Lisez les versets bibliques suivants : a) « Le prophète qui s’enorgueillit de prononcer en mon nom une parole que je ne lui ai pas ordonné de prononcer » (Dt 18, 20) ; b) « N’écoutez pas les paroles des prophètes qui prophétisent parmi vous ; enseignez-vous des vanités et parlez de la vue de leur cœur, non de la bouche du Seigneur ». (Jr 23:16); c) « Ils voient la vanité et la divination mensongère qui disent : Le Seigneur a dit ; quand le Seigneur ne les a pas envoyés; et faire attendre l’accomplissement de la parole. Ne voyez-vous pas une vision de vanité, et ne prononcez-vous pas une divination mensongère, quand vous dites : Le Seigneur dit, même si je n’ai pas parlé ? (Eze 13:6, 7).
Malafaia conseille aux auditeurs ce qui suit :
Image 13 – Extrait de la vidéo « A life of Prosperity » à 36:25m
Não dá pra copiar? Depois tu leva um CD, não é pra comprar CD, não é porque eu tenho que vender CD, não é nada disso. Mas pra você, a repetição, uma coisa, pra você gravar na sua memória, no seu coração, você tem que ouvir pelo menos 17 vezes pra guardar 90%; você tem que ouvir 17 vezes uma mesma coisa pra tentar guardar 90%. Isso aí é pesquisa científica correta que eu tô falando. |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
C’est-à-dire qu’il demande aux gens d’écouter son CD 17 fois, au lieu de leur demander de lire la Bible autant de fois que nécessaire pour apprendre de Dieu, et non de lui. C’est à peu près quand la matérialité l’emporte sur la spiritualité ! Intéressant est la date de cette prédication – 24/09/2018 – concomitante avec le moment politique que traversait le pays à cette époque !!! Encore un air de message subliminal ! J’utiliserai ici deux hashtags bien connus en temps voulu : #understandsunderstands #ficaadica
Conjuguer l’utile à l’agréable. Pourquoi « apparemment utile » et pas utile ? Qu’est-ce qui est vraiment utile, entendre la voix de Dieu ou la voix de l’homme ? Lire la bible avec l’esprit spirituel pour recevoir la révélation directe de la parole de Dieu ou écouter les interprétations humaines qui sont faites au nom de Dieu ou l’usurper ? Quoi de plus viable en réalité pour Malafaia, vendre des CD ou faire écouter ses enseignements sur CD au détriment des enseignements acquis par la lecture directe de la Bible ? Subliminal, mon cher Watson, subliminal !
Il défend la théorie de la “répétition”, la confirmant au nom d’une recherche scientifique dans laquelle les pédagogues David Ausubel et Mohamed Youssef affirmaient qu’un élève aurait besoin d’être exposé 17 fois à un mot avant de l’apprendre. D’autre part, la même source de cette nouvelle[7] précise que d’autres recherches pointent vers une moyenne qui varie entre 15 et 20 fois. À son tour, Catherine Snow, professeur d’éducation à l’Université de Harvard (États-Unis), affirme qu’il existe différentes conditions pour apprendre, il suffit d’entendre le mot une fois pour l’apprendre. Catherine Snow déclare qu’en moyenne, une exposition de 15 à 20 fois suffit pour apprendre un mot », pas 17 spécifiquement.[8]
Pour en revenir, cependant, à la dimension contextuelle malafaïque concernant l’apprentissage biblique, tout ce qui est lié à la sphère scientifique ne s’applique pas dans la sphère biblique. Ainsi, lorsque l’intention parle plus fort, l’individu a tendance à s’en tenir à ce qui l’intéresse, sans évoquer les autres possibilités. C’est ce qu’on appelle la partialité, qui est totalement contre la vérité biblique. Il est temps de se souvenir des versets bibliques qui reflètent cette compréhension : « N’utilisez pas de vaines répétitions » (Mt 6 :7). « Dans la multitude des paroles ne manquent pas les transgressions » (Pr 10, 19). “De l’excès de paroles viennent les promesses d’un insensé” (Eccl 5:3).
Écouter d’innombrables fois un sermon particulier enregistré par un homme, aussi célèbre soit-il comme pasteur, n’est pas conforme aux enseignements de Jésus, qui prend une position contraire aux actions mécaniques. De plus, cela est similaire à la répétition de mantras ou de prières, et dans ce cas, la pratique est effectuée par les oreilles et non par la bouche. Quoi qu’il en soit, tout aboutit à la répétition. Ces types de pratiques ne montrent pas une approche de Dieu, mais une distance par rapport à lui en raison du dévouement accordé à l’apprentissage de formules au détriment du contact direct avec lui.
Par une telle pratique, la personne est incapable de recevoir sa révélation, sa direction, ses conseils directement de Dieu, puisqu’il n’y a pas de recherche de Dieu et de ses vérités révélées dans les Écritures ; il n’y a donc aucune harmonie avec la volonté et les enseignements divins. Il n’y a qu’une recherche d’obéissance à la voix d’un homme de renom, qu’ils pensent pouvoir croire, comme si c’était Dieu parlant par sa bouche, et ils commencent à l’écouter afin de remporter les grandes victoires promises par lui. . De cette façon, la personne est piégée dans un conditionnement donné par l’homme et, sans s’en rendre compte, s’éloigne de Dieu dont les promesses sont effectivement tenues.
En plus de tout cela, la personne la plus savante sera toujours incapable de comprendre la parole de Dieu, sa vérité, sa volonté, sa direction, si ce n’est l’Esprit Saint qui enrichit l’esprit humain de sagesse, puisque l’intelligence et l’intellectualité ils ne peuvent pas accéder aux mystères de Dieu. Par conséquent, il est nécessaire de lire la Bible à travers la spiritualité donnée par Dieu pour atteindre la communion avec lui, et non à travers des charnalités, telles que les diverses ressources humaines et technologiques qui se sont infiltrées dans l’église aujourd’hui. Ceux-ci usurpent la place de Dieu et beaucoup se laissent emporter par eux et leurs parrains.
Il déclare :
Image 14 – Extrait de la vidéo “A Life of Prosperity” à 37:10m
Eu não vou deixar ninguém aqui confundido nem sair com minhoca atrás da orelha. Eu quero falar algumas verdades… |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
Cependant, seul Dieu a le pouvoir de ne laisser personne perplexe : « Ceux qui espèrent en toi ne seront pas confus » (Ps 25, 3a). Personne n’a le droit de s’approprier la parole de Dieu. Pourquoi n’a-t-il pas dit, comme ceci : Dieu [ou le Saint-Esprit ou l’Esprit de révélation] ne vous laissera pas confus.? Ou qui utilisait la parole directe : “Et l’Esprit de révélation, le Saint-Esprit dit : Je ne laisserai personne ici confus ni sortir avec des vers derrière l’oreille…” Bientôt, quand un dit serviteur de Dieu assume la parole de Dieu comme si c’était la sienne, il revendique pour lui une autorité que Dieu ne lui donne pas, car ce que Dieu lui donne ne le fait pas se sentir propriétaire du pouvoir.
Image 15 – Extrait de la vidéo « A Life of Prosperity » à 37:53m
Tem um monte de bilionários no mundo que nunca deram nada pra Deus, que nem acreditam em Deus, são riquíssimos, e tem até crente dentro da igreja que eu conheço que não dá dízimo, não dá oferta, não dá nada e é rico. |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
Mauvaise comparaison ! Il semble que Malafaia ait oublié les versets qui disent : « Il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes » ; “Y a-t-il quelqu’un sur qui ta lumière ne brille pas ?” (Mt 5:45 ; Job 25:3). Pour être riche, vous n’avez rien à donner à l’église ou à croire en Dieu, que vous soyez croyant ou non. Une personne est déjà riche ou devient riche parce que c’est ainsi que Dieu lui a accordé d’être ou de devenir. Que dirons-nous alors ? Que Dieu est injuste ? Pas du tout! Car il dit à Moïse :
Terei misericórdia de quem eu quiser; terei pena de quem eu desejar.” Portanto, tudo isso depende não do que as pessoas querem ou fazem, mas somente da misericórdia de Deus. Porque, como está escrito nas Escrituras Sagradas, Deus disse a Faraó: “Foi para isto mesmo que eu pus você como rei, para mostrar o meu poder e fazer com que o meu nome seja conhecido no mundo inteiro.” Portanto, Deus tem misericórdia de quem ele quer e endurece o coração de quem ele quer (Rm 9:14-18).
Il en est de même pour les pauvres. Il est écrit : « Les pauvres ne cesseront jamais dans le pays » et « Quant aux pauvres, vous en aurez toujours avec vous » (Dt 15 :11 ; Jn 12 :8).
Dieu est juste. Dans sa justice, il donne, il ne donne pas ou il reprend. « Le Seigneur donne la pauvreté et la richesse ; il abaisse et élève » (1 Samuel 2 : 7). Qui peut contester l’action de Dieu ? “Quand j’agis, qui peut le défaire?” (Esa 43:13c). Dieu sait tout. Mais “Vous dites, ‘Je suis riche, j’ai acquis des richesses, et je n’ai besoin de rien.’ Mais il ne reconnaît pas qu’il est misérable, misérable, pauvre, aveugle et nu’ » (Ap 3:17) – les premières sont les paroles des insensés et des orgueilleux qui ne reconnaissent pas la souveraineté de Dieu.
De plus, la bénédiction de Dieu est indépendante des dîmes et des offrandes qui sont données dans l’église ou de ce qui est fait au nom de Dieu, car ces actions ne révèlent pas toujours une adoration sincère de Dieu ; ils peuvent même représenter une attitude mesquine comme l’intérêt de récupérer le double ou le triple ou… ou… ce que vous avez donné. A entendre tant de prédications sur la prospérité, disons en passant, financière, des dons dans l’église, beaucoup finissent par le croire, laissant de côté le vrai don qui plaît à Dieu, et qui a été négligé au nom des théologies qui déforment la vérité de Dieu – l’offrande de sa vie en sacrifice vivant à Dieu afin de le servir avec humilité et fidélité à travers les dons d’une nouvelle vie :
Irmãos, Deus mostrou por nós uma grande misericórdia. Por isso, peço-lhes que ofereçam a ele as suas vidas em sacrifício, isto é, um sacrifício vivo, puro e que lhe seja agradável. Esta é a maneira espiritual de vocês o adorarem. Não sejam mais moldados por este mundo, mas, pela nova maneira de vocês pensarem, vivam uma vida diferente. Então vão descobrir a vontade de Deus, isto é, o que é bom, agradável a ele, e perfeito. (Rm 12:1,2)
Cependant, au lieu d’offrir leur vie au Christ, c’est-à-dire d’accomplir Ses enseignements tels que a) aimer l’ennemi, b) pardonner à l’offenseur, c) admettre ses erreurs, d) être miséricordieux envers les autres, e) couvrir la nudité du frère , etc., beaucoup de ceux qui crient “Seigneur, Seigneur” sortent de leur bouche ces mots qui ne correspondent pas à ce qu’ils ressentent réellement pour le Seigneur. Le « Seigneur » dans leur bouche est un simple vocatif pour montrer le service : « Pourquoi m’appelez-vous « Seigneur, Seigneur » et ne faites-vous pas ce que je dis ? » (Luc 6:46). Ils sont égoïstes, pas généreux. Tout ce qu’ils faisaient était pour leur propre bien. Voici la différence et les résultats : « Il y a ceux qui donnent généreusement, et voient leurs richesses augmenter ; d’autres retiennent ce qu’ils devraient donner et tombent dans la pauvreté. Les généreux prospéreront ; celui qui soulage les autres recevra du soulagement » (Pr 11, 24-25). La générosité implique une action désintéressée et détachée !
Image 16 – Extrait de la vidéo « A life of Prosperity » à 38:20m
Eu vou começar a te explicar com um texto, mas até o texto não é a coisa mais importante da explicação, mas é o começo da explicação. |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
Il récite le Psaume 115:16, sans lecture directe de la Bible comme il le fait normalement. Il connait la bible par coeur et sauté. Connaître par cœur ne signifie pas connaître en esprit et en vérité. Combien de fois nous souvenons-nous d’un verset, nous citons le verset, et cela ne nous touche pas profondément, mais lorsque nous ouvrons la Bible et lisons le même verset, la sagesse de Dieu se révèle si puissamment qu’à ce moment-là, nous apprenons ce que nous n’avions jamais compris le mot auparavant! C’est comme si nous lisions quelque chose de nouveau, parce que la parole de Dieu se renouvelle à chaque lecture, à chaque moment de la vie ; le même verset s’adapte à des situations infinies avec la provision de Dieu pour chacun.
Alors, pourquoi ne pas lire la bible, les versets, même si vous êtes dans une prédication passionnée qui ne veut pas d’interruptions ? Car un texte biblique dans une prédication ne sera jamais quelque chose d’insignifiant, et ce ne sera jamais que le début d’une explication humaine, comme le disait Malafaia : « Même le texte n’est pas la chose la plus importante dans l’explication, mais c’est le début d’une explication humaine. l’explication » (se référant au Psaume 115).
L’intégralité du texte biblique, de la Genèse à l’Apocalypse, est toujours indispensable ! Sa lecture est essentielle pour une parfaite compréhension de ce que Dieu veut communiquer aux personnes qui sont là précisément pour entendre ce qu’il a à dire sur leur situation de vie. Aucun homme, quelle que soit sa connaissance par cœur des textes bibliques, ne pourra jamais subvenir aux besoins spirituels du peuple de Dieu ; Souvenez-vous : peuple de Dieu ! Le peuple de Dieu a besoin de Dieu, de sa parole, de sa providence, de son aide. Les hommes au service de Dieu doivent en être conscients. Tout ce qui concerne Dieu doit être au-dessus de tout ce qui est en dessous de Dieu. Par conséquent, le texte biblique est la meilleure explication, en soi, et la chose la plus importante dans l’explication, contrairement à ce que Malafaia voulait dire avec ses paroles sans fondement biblique. En fait, il n’a pas mentionné que la parole de Dieu est la vérité absolue qui se révèle d’elle-même à l’auditeur fidèle qui la reçoit dans son esprit sans autre explication parce qu’elle est reçue par l’Esprit de Dieu. Des explications des textes bibliques peuvent être nécessaires, mais elles seront toujours secondaires par rapport à la voix de Dieu dans le « cœur » de l’homme.
Image 17 – Extrait de la vidéo “A Life of Prosperity” à 39:11m
Você tá confundindo riqueza com prosperidade. Riqueza é possuir bens!!! |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
Par conséquent, beaucoup ne considèrent la prospérité que comme un statut financier, professionnel, social, etc. Ils confondent prospérité et richesse matérielle : acquisition de biens, grosses sommes d’argent, avancement professionnel, etc. Malafaia ne cite que le terme « richesse », omettant le sens de matérialité, et confond richesse matérielle et prospérité. Il y a, par exemple, le fait qu’une personne est financièrement riche et non prospère, et qu’une personne pauvre est financièrement prospère. La prospérité implique des richesses, oui, mais des richesses immatérielles qui peuvent ou non générer des richesses matérielles ; la prospérité ne dépend pas des matérialités pour exister. Voici un aperçu simple de la richesse matérielle et de la prospérité :
Ce verset biblique résume l’explication ci-dessus : « Bien-aimé, je prie Dieu que tu prospères en toutes choses et que tu sois en bonne santé, comme prospère l’état de ton âme » (3 Jean 1 : 2).
La confusion sur le sens véritable du terme réside dans le malentendu sur son origine, qui implique une attribution erronée de valeurs ; par exemple, quelqu’un qui pense qu’il est prospère parce qu’il a reçu une promotion au travail et une augmentation de salaire conséquente. Ce n’est pas la prospérité; c’est le résultat de la reconnaissance des autres pour les services fournis et aussi une tendance économique naturelle dans le domaine professionnel qui peut être liée aux compétences exercées qui présentent un développement constant dans cette fonction particulière. La prospérité, à son tour, se révèle dans la satisfaction résultant de ces réalisations qui procurent un sentiment de contentement capable de fournir une stabilité à l’être intérieur.
Dans le cas spécifique du peuple chrétien, la prospérité est comprise dans cette optique comme le résultat de l’obéissance aux enseignements de Dieu concernant les questions de comportement et d’actions qui reflètent l’honnêteté et le caractère digne de confiance. C’est-à-dire qu’une personne qui va assidûment à l’église, donne la dîme et les offrandes, remplit toutes ses obligations ecclésiastiques, se soucie de plaire à ses chefs, mais n’est pas présente au sein de la famille, ne donne pas d’argent à la maison, n’offre pas aider les membres de sa famille, ne remplit pas ses diverses obligations domestiques, ne se soucie pas de plaire à son conjoint ou à ses enfants, tombe dans la condition de quelqu’un qui ne correspond pas à la justice de Dieu, puisque celle-ci ne s’obtient pas par les œuvres, mais par un cœur contrit (Ps 51:17).
Comment, alors, recevoir la récompense attendue de Dieu, telle que la prospérité, considérant que le terme lui-même signifie « réaliser ce que vous espérez », selon l’étymologie du mot [du latin « pro » = « en faveur » + « spes » = « espoir »], si cette personne n’a pas fait ce que Dieu attendait de lui ? Comment une personne peut-elle être récompensée pour quelque chose qu’elle n’a pas fait ? Ainsi, donner à l’église ne signifiera pas toujours recevoir en retour la prospérité si d’autres actions plus importantes, comme aider la famille, sont reléguées au second plan, contrairement à ce qui est écrit : « Apprends d’abord à prendre soin de ta propre famille » (1 Tm 5 :4). C’est-à-dire que si vous n’obéissez pas à Dieu qui est satisfait de ceux qui sont satisfaits de lui et de sa parole, il n’y a aucun moyen d’avoir la prospérité ; on peut, tout au plus, avoir des richesses matérielles, beaucoup d’argent, acquérir beaucoup de biens… – « Ah, mais c’est tout ce qu’on veut ! ». Mais est-ce le « tout » dont une personne a besoin ? Remarque : « Âme, vous avez de nombreux biens en magasin depuis de nombreuses années ; se reposer, manger, boire, se faire plaisir. Mais Dieu lui dit : Insensé, cette nuit on te demandera ton âme ; et qu’as-tu préparé, pour qui ce sera ? Ainsi en est-il de celui qui amasse un trésor pour lui-même, et qui n’est pas riche devant Dieu » (Luc 12:19-21). Un jour, quand elle réalisera qu’elle a tout et rien, elle comprendra qu’elle n’a jamais eu la prospérité ! Alors peut-être sera-t-il un peu tard. Réveille-toi, ô toi qui dors dans les paroles des prétendus maîtres !!! Dieu est satisfait de ceux qui le cherchent et les récompense selon sa volonté pour laquelle, quoi qu’ils reçoivent, ils doivent lui en être reconnaissants.
Plus qu’un enseignement sur la théologie de la prospérité, en se basant sur des versets bibliques par des interprétations biaisées, tout « homme de Dieu », au sens le plus large de l’expression, doit être à la hauteur du sens réel du texte scripturaire concernant la notion de transformation de la vie des personnes. vit dans le sens ontologique dont il est entendu, et il faut le préciser, que les richesses matérielles peuvent être obtenues ou non, mais il y aura certainement des richesses intérieures qui fourniront tout le meilleur dont une âme a besoin, ce qui n’équivaut pas à gains monétaires. Metanoia n’a rien à voir avec la transformation de la condition économique des gens.
Image 18 – Extrait de la vidéo « A life of Prosperity » à 40:55m
Sempre deram migalhas, sempre pensaram que podiam enganar Deus, a igreja e o pastor (…) As atitudes de um cristão em relação ao dinheiro determina [ipsis verbis] a qualidade da sua vida espiritual porque é impossível separar dinheiro de certas virtudes fundamentais da vida cristã. |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
“Dieu, l’église et le pasteur”, a déclaré Malafaia. Serait-ce la trinité de la Théologie de la Prospérité dont Malafaia fait partie ?! Cela serait-il possible?! Les expressions font allusion à un jeu de mots avec des arguments potentiellement persuasifs qui provoquent un échange de sens. Et peut-être que cela passe inaperçu pour certains, ou qu’ils préfèrent ne pas comprendre. Dans l’un de ses articles sur la dîme publié sur son site Web, Malafaia dit que ne pas donner la dîme démontre le matérialisme et l’avarice ; que cela équivaut à un attachement à l’argent qui démontre un matérialisme exacerbé et même l’avarice, un péché d’idolâtrie, invoquant Colossiens 3:5 pour défendre son interprétation.
Voyez donc ce que signifie réellement ce verset, en considérant les variables du terme « cupidité » comme « cupidité ou convoitise » dans différentes versions bibliques. Le sens dénotatif de l’avarice renvoie à un attachement extrême à l’argent, à une préoccupation de collecter plus d’argent, à un manque de générosité, à une avarice ; celui de la cupidité renvoie à une recherche incessante du profit, à une ambition immodérée pour les biens et les richesses, à un désir ardent et permanent de posséder ou de gagner bien plus qu’il n’est nécessaire ; la convoitise fait référence à un désir démesuré de pouvoir, de possessions matérielles, d’argent, de statut.
a) Contentez-vous de votre salaire (Luc 3:14).
b) Ne convoitez pas les choses élevées, mais accommodez-vous des humbles (Rom 12:16).
c) J’ai appris à me contenter de ce que j’ai (Phil 4:11).
d) Libère-toi de l’amour de l’argent et contente-toi de ce que tu as, car Dieu lui-même a dit : Je ne t’abandonnerai jamais, je ne t’abandonnerai jamais (Héb 13:5).
Il semble que ces versets ne soient pas adaptés à la théologie de la prospérité, du moins pas souvent entendus dans les églises qui la préconisent. Le contentement dont il est question dans les versets ci-dessus est précisément le comportement que Dieu ordonne à ses fidèles. Le contentement révèle la foi en Dieu qui pourvoit à tous les besoins. Le contentement vous dispense de la précipitation à recevoir ce dont vous avez besoin. Attendez-vous donc au Seigneur (Ps 27:14). Le contentement ne vous pousse pas à faire de grosses offres pour gagner beaucoup plus.
Mais comment exprimer du contentement si l’on entend sans cesse qu’il faut donner plus pour recevoir encore plus ? Il est urgent que les églises fidèles à Dieu développent le traitement du renouvellement de l’esprit par la parole de Dieu afin d’extirper le mal de la cupidité dont souffrent les mendiants de dîmes et d’offrandes.
Il n’est même plus question de parler de dîme car cette appellation a déjà été supplantée par le terme d’offrandes précisément à cause du sens péjoratif que la dîme a subi, étant passé au second plan. Ainsi, parlant plus spécifiquement des offrandes dans la manière dont elles ont été traitées, elles ne correspondent pas au dessein de Dieu dont les paroles dans la bouche des dirigeants avides sont évitées à tout prix afin de ne pas détourner le troupeau nécessiteux et nécessiteux de l’argent. contributions. Alors ils ne recherchent que les versets qui parlent de donner de l’argent et de donner en abondance pour assurer un gain encore plus grand. Ceux qui ont, donnent et ceux qui n’ont pas, donnent aussi. Cependant, « Celui qui a recevra plus ; mais celui qui n’a pas, on lui enlèvera même le peu qu’il a » (Mc 4, 25).
Rappelant les paroles de Malafaia – que ne pas donner la dîme démontre le matérialisme, l’avarice, l’attachement à l’argent équivalent au péché d’idolâtrie -, on peut voir le revers de la médaille dont l’effigie représente le non-reçu de la dîme, ce qui provoque une attente de perte de la part de ceux qui propagent une idolâtrie déguisée par la parole de Dieu. D’où l’insistance véhémente à instiller dans les esprits sans méfiance (ou même égoïstes) le manque de subordination à Dieu qui limitera par conséquent les bénédictions. Ainsi, on passe de la théologie de la prospérité à la théologie de la peur.
Tout cela révèle une obstination pour les idées mêmes qui ne correspondent pas aux idéaux de Dieu – l’évangélisation pour le salut, qui n’a rien à voir avec la prospérité financière – ou pour les pensées mêmes qui ne correspondent pas aux pensées de Dieu : « Mes pensées ne sont pas comme vos pensées, vos pensées » (Ésaïe 55 : 8).
Malafaia poursuit son discours en disant qu’il y a des riches qui ne craignent pas Dieu et qui sont misérables :
Image 19 – Extrait de la vidéo “A Life of Prosperity” à 41:31m
Vai ver a vida deles, vai ver o que está por trás da cortina (…) Aos 42:59m – Eu conheço história de crentes ricos que não dão dinheiro, não dão oferta, e da noite pro dia perdem milhões, crente na igreja!, porque nunca contribuíram, sempre deram migalhas, sempre pensaram que podiam enganar Deus, a igreja e o pastor. |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
Job craignait Dieu, était riche, payait la dîme et du jour au lendemain, il a perdu des millions ! « Le Seigneur a donné, le Seigneur a repris ; louez son nom ! (Job 1:21b), dit Job.
Fait intéressant, Malafaia crée une trinité dans laquelle il agit comme un membre à part entière : « ils ont toujours pensé qu’ils pouvaient tromper Dieu, l’église et le pasteur » – c’est-à-dire qu’il se met sur un pied d’égalité avec Dieu et l’Église !!! Cela nous rappelle l’Église apostolique Santa Vó Rosa, dont la fondatrice se met sur un pied d’égalité avec Dieu, le Saint-Esprit, Jésus, et elle en tant qu’Esprit Consolateur, formant une quaternité – la quatrième personne de la Trinité qui viendra avec Jésus pour arracher son Église. !!! Et aucun membre de ce culte n’a réalisé une telle absurdité qu’elle s’est révélée dans l’orgueil, la vaine gloire, l’ostentation de la puissance divine – un homme-dieu qui se vantait d’une condition inexistante et impossible. Cette attitude caractérise une action de division par laquelle se divise la fidélité entre Dieu et l’organisation[9] qui, dans le cas en question, surtout, ne semble pas se référer à l’Église pure, sainte et immaculée du Christ, mais à l’église physique dirigée par un homme religieux, car elle fait référence à l’église où les dîmes sont reçues ou, plus précisément, où elles ne sont plus reçues selon le contexte mis en évidence. Et les membres de cette église, en plus de ne pas prêter attention au comportement autoritaire de leur chef, n’ont pas perçu le ton menaçant de ses paroles, comprenant qu’ils devaient lui obéir, car sinon, ils pourraient subir une sorte de punition – théologie de la peur dont le chef détient le pouvoir sur les croyants sans méfiance.
C’est pourquoi les croyants sont toujours avertis de prêter attention aux paroles prononcées et entendues car elles pénètrent l’esprit et le cœur et peuvent causer de grands dommages spirituels en conduisant à des malentendus sur la position d’un chef religieux devant Dieu. Il faut observer ce qui se passe entre les lignes qui normalement ne sont pas perçus, ne restant que dans sa superficialité. Un croyant qui est croyant doit avoir un discernement spirituel pour différencier les termes, les phrases et les intentions, et les réfuter lorsqu’ils sont perçus comme un affront à la gloire de Dieu puisque le Seigneur ne partage sa gloire avec personne (Is 42:8). Visiblement, Malafaia est allée trop loin dans ses paroles pour qu’elle se rétracte immédiatement avec Dieu pendant qu’il en est encore temps (Is 55, 6). Et quant aux croyants imprudents, s’ils ne jouissent toujours pas du discernement spirituel dû et nécessaire, il est urgent qu’ils le demandent immédiatement à Dieu. Malafaia et ses disciples manifestent un besoin urgent d’être corrigés par la puissance de Dieu afin que ce jour-là (Mt 7, 21-23) le Seigneur puisse les reconnaître.
De plus, quant à la compréhension malafaïque des croyants riches qui ne donnent pas d’argent, n’offrent pas, et qui perdent des millions à cause de cela, à cause de ce « péché contre le pasteur et son église », on se demande face à cette affirmation contradictoire : comment beaucoup de croyants qui ne sont pas riches subissent aussi diverses pertes ?! Se pourrait-il qu’ils aient traversé tout cela parce qu’ils n’ont jamais contribué financièrement à l’église ou parce qu’ils ont donné des miettes ?! Paradoxe sans cause ! Il est écrit que Dieu veut la miséricorde et non le sacrifice (Osée 6 : 6 ; Matt 9 : 13 ; 12 : 7). Et combien de faux convertis font des dons dans le but principal de recevoir plus en retour et comme un simple rituel extérieur afin de plaire à leurs dirigeants au détriment de l’obéissance qu’ils doivent à Dieu, comme la priorité à la miséricorde – loyauté, vraie consécration et sincère conversion – au-dessus du sacrifice ?
Le Seigneur sait toutes choses. Qui peut sonder les voies du Seigneur, les pensées du Seigneur, les desseins du Seigneur (1 Co 2.16) ? Se pourrait-il que les événements dans la vie des gens ne soient pas la providence de Dieu pour l’accomplissement de ses desseins, comme perdre pour gagner ou perdre quelque chose pour que la gloire de Dieu se manifeste comme cela s’est produit avec Job ?
Par conséquent, les paroles du pasteur Malafaia ne correspondent pas au texte sacré car sa compréhension biblique est déformée et, arbitrairement, pointe son doigt littéralement (vers la télévision, ceux qui le regardent, les accusant) vers les serviteurs de Dieu qui le font. pas à la hauteur des enseignements dans les églises où il prêche sa théologie de la prospérité.
Comment perdre pour gagner ? Ou comment perdre pour la gloire de Dieu comme Job ? Tout le monde a ses raisons de recevoir des gains et des pertes de Dieu, et il ne s’agit pas de faire des offrandes ou de ne pas faire d’offrandes, car faire des offrandes – selon la façon dont vous donnez, avec quel cœur – peut ou non plaire à Dieu, mais cela ne fonctionne pas sa justice; ce n’est pas parce que quelqu’un fait des offrandes qu’il est exempt des maux de la terre. Si c’était le cas, il ne tomberait jamais malade et vivrait éternellement.
Et pourquoi le pasteur entre-t-il sur un pied d’égalité avec Dieu et l’église ?! Il semble que le croyant doive craindre le pasteur !!! Les valeurs s’inversent. La plupart des pasteurs aujourd’hui n’imitent pas Jésus : Jésus ne se vantait pas d’être égal à Dieu :
Tenham entre vocês o mesmo modo de pensar que Cristo Jesus tinha: Ele tinha a natureza de Deus, mas não tentou ficar igual a Deus. Pelo contrário, ele abriu mão de tudo o que era seu e tomou a natureza de servo, tornando-se assim igual aos seres humanos. E, vivendo a vida comum de um ser humano, ele foi humilde e obedeceu a Deus até a morte — morte de cruz. (Fp 2:5-8).
Quel chef, pasteur, révérend, évêque, apôtre ou quiconque qui détient son titre ecclésiastique-religieux indépendamment de la soumission due à Dieu, s’efforce d’imiter Jésus dans son humilité ? Lequel? Qui?
Image 20 – Extrait de la vidéo « A Life of Prosperity » à 43:42m
As atitudes de um cristão em relação ao dinheiro determina (ipsis verbis) a qualidade da sua vida espiritual porque é impossível separar dinheiro de certas virtudes fundamentais da vida cristã tais como… generosidade… dar ofertas é tão espiritual quanto cantar hinos, dar glória a Deus…” |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
Il existe une devise spirite kardéciste, “Hors de la charité il n’y a pas de salut”, qui caractérise le salut par les œuvres : aumônes visibles de tous, dîmes et offrandes par obligation, imposition, accomplissement de la fonction et/ou pour des raisons mesquines comme la recherche récompenses. Les travaux ne sauvent personne ! Nous apprenons de Dieu par le texte sacré que le salut est par grâce, et que la récompense est selon la volonté de Dieu : s’il veut, il donne ; si vous ne voulez pas, vous ne pouvez pas, quoi que quelqu’un d’autre fasse en votre nom. En ce sens, quand quelqu’un donne des offrandes à l’église pour son propre intérêt, comme devenir digne de la faveur divine pour recevoir des bénédictions encore plus grandes, comme “Donnez 100,00 $ et recevez 10 000 $”, est-ce que cette offrande est spirituelle ou une pratique légaliste ou un marché avec Dieu ?
Le pharisien était légaliste. Notez son cœur dans ce chapitre intitulé “Le pharisien et le collecteur d’impôts” dans Luc 18:9-14 :
Jesus também contou esta parábola para os que achavam que eram muito bons e desprezavam os outros:
— Dois homens foram ao Templo para orar. Um era fariseu, e o outro, cobrador de impostos.
O fariseu ficou de pé e orou sozinho, assim: Ó Deus, eu te agradeço porque não sou avarento, nem desonesto, nem imoral como as outras pessoas. Agradeço-te também porque não sou como este cobrador de impostos.
Jejuo duas vezes por semana e te dou a décima parte de tudo o que ganho.
— Mas o cobrador de impostos ficou de longe e nem levantava o rosto para o céu. Batia no peito e dizia: Ó Deus, tem pena de mim, pois sou pecador!
E Jesus terminou, dizendo:
— Eu afirmo a vocês que foi este homem, e não o outro, que voltou para casa em paz com Deus. Porque quem se engrandece será humilhado, e quem se humilha será engrandecido.
Toute pratique légaliste ou tentative de négociation est condamnée par Jésus, le propriétaire de l’Église. Qui a respecté le Propriétaire de l’Église ? Ou qui a dominé leurs critères de salut, de bénédictions et de jugement par la loi des semailles ? Quand une offrande est-elle spirituelle ? Quand quelqu’un le fait par générosité spontanée (Mc 12:41), et non forcé ou par contrainte, obligation, ou pour montrer un service, etc. « Cet homme, fixant ses yeux sur lui, et très effrayé, dit : Qu’y a-t-il, Seigneur ? Et l’ange lui dit : Tes prières et tes aumônes sont montées en mémoire devant Dieu » (Actes 10 :4).
En lisant ce verset, je me suis jugé, me rendant coupable de ne pas toujours faire l’aumône. Mais qu’est-ce que l’aumône ? Est-ce donner 1,00 R$ ou 2,00 R$ à un mendiant dans la rue, à un enfant de la rue ? Ou a-t-il pitié de ceux qui sont dans le besoin ? Cette compassion ne se limite pas à l’argent, à la nourriture et aux autres dépenses avec la personne, mais principalement à la générosité du cœur, à vouloir aider parce que vous vous souciez de vous, car si ce n’était pas le cas, ce serait comme les riches qui donnent un beaucoup d’argent, mais n’en donnez pas une once d’amour et ils n’ont même pas le moindre souci l’un pour l’autre puisque donner de l’argent c’est déjà beaucoup, c’est déjà faire votre part. « L’ange répondit : Vos prières et vos bonnes œuvres sont montées en offrande devant Dieu » (Actes 10 :4).
Parfois, on pense que l’aumône n’est que de l’argent et de la nourriture donnée aux pauvres, mais il y a des pauvres qui ont d’autres besoins et qui peuvent être aidés par l’amour que Dieu met dans chaque cœur. Cet amour englobe tout ce qui est bon : vouloir voir l’autre heureux, ne pas vouloir lui faire de mal, ne pas se réjouir de son malheur, tout faire pour qu’il se porte bien – prier pour lui, intercéder pour lui, penser à lui avec tendresse, être fidèle à lui. Tout cela révèle cet amour qui vient de Dieu et apporte la paix tant désirée pour nous deux grâce à la réponse du Seigneur de nos vies. La véritable aumône est celle qui vient du cœur pour combler toutes sortes de besoins, pouvant se matérialiser ou simplement rester dans un état spirituel que, souvent, seul Dieu connaît. Dieu remplit ses enfants de son amour, leur donnant la paix et la joie.
« Vous ne faites pas l’aumône ?! Et qu’as-tu fait hier, te faire du mal pour aider un autre ? Ce que fait votre ami n’est-il pas le même que ce que vous faites ? Comment ne faites-vous pas l’aumône ? ! Je vous ai vu tout cela et cela m’est revenu en mémoire. Je vous permets de faire ce que j’approuve. Par la révélation de Dieu à l’esprit, on entend : si le Seigneur n’approuve pas (certaines aumônes), le Seigneur ne permet pas de le faire. Et donc il ne le fait pas parce qu’il n’est pas habilité par Dieu à le faire. C’est pourquoi vous arrêtez de le faire. Cela a à voir avec la révélation divine, pas la révélation humaine ; vient de Dieu et non de l’homme. Quand quelqu’un ne fait pas quelque chose au sujet de l’église, Dieu le sait et sait pourquoi parce que cela vient de lui. Les offrandes sont des sacrifices qui ne sont pas toujours pratiques selon Ésaïe 1:11a,13a,e,16c,17a-c. Quand Dieu les rejette-t-il ?
O Senhor Deus diz: Eu não quero todos esses sacrifícios que vocês me oferecem. Não adianta nada me trazerem ofertas, pois os pecados de vocês estragam tudo isso. Parem de fazer o que é mau e aprendam a fazer o que é bom. Tratem os outros com justiça; socorram os que são explorados.
En d’autres termes, Dieu dit clairement que le peuple doit être aidé et non exploité. Il y a beaucoup de purs croyants dans la foi qui ont été exploités au nom de Dieu en vue d’un gain quelconque, notamment financier correspondant aux bénéfices des dîmes et offrandes – qui pour eux sont au-dessus du bien-être d’autrui ; il s’agit donc de bénéfices monétaires au détriment de la question salvifique qui correspond au salut des âmes pour lequel Jésus a ordonné que l’évangile soit prêché. Contrairement à cet ordre, les mercenaires du Royaume qui commercialisent la foi chrétienne ne visent que les synonymes de profit abusif au sein de l’Église : faveurs, avantages, perks, privilèges, récompenses et autres bénéfices connexes.
Par exemple, lorsqu’il y a une pandémie et que l’ordre est que personne ne quitte la maison, certains mauvais serviteurs peuvent surgir en guidant les gens comme suit : “Ils disent à personne de quitter la maison à cause de la pandémie causée par le virus, mais la vérité est qu’ils veulent arrêter l’Église, ils veulent que vous cessiez de venir à l’église parce qu’alors le diable prendra le contrôle de votre vie ; ils veulent supprimer l’église. N’écoutez pas la voix du diable ! Combattons-les. Allons à l’église oui car Dieu est plus grand ! Rien ne nous arrivera. » Et suivez donc leurs arguments biaisés qui vont à l’encontre de deux vérités bibliques :
1) “Tu aimeras le Seigneur ton Dieu… de toute ta pensée” (Luc 10:27). Que signifie toute compréhension ? Comprendre signifie raisonner, c’est-à-dire sans fanatisme. Ce genre de prédication révèle un fanatisme irrévérencieux parce qu’il méprise les enseignements de Dieu sur le fait d’être un croyant rationnel qui ne se laisse pas emporter par l’insouciance, car cela vous tuera et le faux bien-être des insensés conduira à la destruction (Pr 1:32);
2) « Toute âme est soumise à des autorités supérieures ; car il n’y a pas d’autorité qui ne vienne de Dieu ; et les autorités qu’il y a ont été ordonnées de Dieu. Par conséquent, quiconque résiste à l’autorité résiste à l’ordonnance de Dieu ; et ceux qui résisteront attireront le jugement sur eux-mêmes » (Rom. 13:1, 2). En désobéissant aux ordres des autorités de rester à la maison, comme illustré, que font les membres de l’église ? Les deux dirigeants qui occupent des postes sous la désignation de pasteurs, révérends, apôtres, évêques, missionnaires et leurs disciples ne suivent pas l’exhortation divine. Les dirigeants suivent leurs propres compréhensions qui génèrent des conseils erronés à transmettre à leurs partisans. Ceux-ci, à leur tour, écoutent la voix de ceux au détriment de l’obéissance à la voix de Dieu. De cette façon, ils deviennent des disciples des hommes, croyant qu’ils sont des disciples de Dieu. “Mon peuple ne se soucie pas de moi et c’est pourquoi ils sont détruits. Et vous non plus, vous les prêtres, vous ne vous souciez pas de moi, et vous avez oublié mes lois » (Osée 4 : 6).
Le comportement égoïste de certains chrétiens est en contradiction avec le comportement des chrétiens fidèles : la veuve a donné deux petites pièces de peu de valeur, mais elles ne sont pas allées à l’homme ; c’était pour Dieu, c’est-à-dire qu’elle était disposée à obéir à ce en quoi elle croyait – la loi de Dieu à l’époque (Luc 21:1-4). Ce n’est pas le cas lorsque quelque chose est donné à l’homme – au prêtre, par exemple – en vue d’un retour quelconque. C’est une attitude pharisaïque, car son fondement plaît aux hommes tandis que celui des chrétiens plaît à Dieu. Qui est le pharisien et qui est le chrétien ? Tous deux sont des sujets qui se soumettent au service de la plantation : « Je servirai ». Par conséquent, ils deviennent dignes de la récolte des fruits respectifs. Par conséquent, il n’y a aucun moyen pour le sujet de planter des épines et de vouloir récolter des pommes; il n’y a aucun moyen de planter de la galle et de vouloir récolter du miel ! Épine de fiel, un mélange qui nie le ciel. (Mt 27:29,34).
On entend parler d’un scandale ici, d’un autre là, d’une église ou d’une autre dont les administrateurs ont détourné des sommes reçues en dîmes et offrandes, sommes qui sont même blanchies. Les valeurs sont emportées, mais l’âme ne l’est pas. À cause de leur avarice, ils ne répondent pas aux actions de Jésus qui lave l’Église avec de l’eau et la purifie par sa parole, la débarrassant de toute tache ou défaut, la rendant irréprochable. L’Église est tout chrétien baptisé et régénéré : « Il a fait cela pour vouer l’Église à Dieu, la laver avec de l’eau et la purifier avec sa parole. Et il a fait cela afin d’amener aussi près de lui l’Église dans toute sa beauté, pure et parfaite, sans tache ni ride ni aucune autre tache » (Eph 5:26,27).
Pourtant, on se demande : vont-ils détourner ou laver l’offrande de la veuve ou la laver pour apprendre à donner plus ?!
Il y a une différence entre faire des offrandes à Dieu par des hommes dignes, avec un œil vers Dieu, et faire des offrandes aux hommes au nom de Dieu, avec un œil vers les intérêts humains. Alors, comment ces offres sont-elles faites, avec quelle pensée ou intention ? C’est comme si Dieu demandait : « Selon vous, qu’est-ce qui est le mieux : faire des offrandes pour plaire à l’homme qui n’en est pas digne ou pour me plaire, moi qui suis digne de toute adoration ? Dieu est juste. Dieu est fidèle à sa parole : « Tout ce qu’un homme sème, il le moissonnera aussi » (Ga 6:7).
Il y a encore un autre point à considérer : si le Seigneur dit une chose, cette chose doit être obéie. Aider sans conditions, c’est manquer de prudence ; rappelez-vous simplement la parabole des vierges – les cinq sages et les cinq folles (Mt 25: 1-13). Jésus n’a pas raconté cette parabole par accident. Il l’a fait afin que nous puissions apprendre de lui, de peur qu’un pire mal ne nous arrive ; par exemple, faire des offrandes sans avoir d’argent, en comptant sur la provision de Dieu qui arrivera après cela ; ou retirer de l’argent de votre carte de crédit pour donner des dîmes et des offrandes ; ou emprunter; ou utiliser tout autre moyen autre que votre propre source de revenus est un conseil de fou ! Et ceux qui le suivent deviennent tout aussi fous d’avoir abandonné la raison et la prudence dont Dieu les instruit. Jésus n’a jamais ordonné à ses disciples de le faire, mais les a avertis ainsi : « Celui qui n’a pas, même le peu qu’il a lui sera ôté » (Mt 13, 12b). Mais pourquoi vous sera-t-il enlevé ? Parce qu’ils écoutent la voix des théologiens de la prospérité au lieu d’écouter la voix de Dieu, parce qu’ils n’ont pas le cœur tourné vers Dieu.
Dans une conversation avec Dieu, une sœur inquiète de vouloir aider un frère dans le besoin, et traversant des difficultés financières, pleure pour lui avec une infinie pitié dans son cœur :
– Dieu : Rappelez-vous ce que j’ai dit plus tôt : Aidez-le parce qu’il en a besoin, mais ne le plaignez pas parce qu’il ne le mérite pas. (Comprendre : faites ce que vous pouvez faire ; agissez autant que vous le pouvez, ne dépassez pas votre budget, ne prenez pas là où vous n’avez pas, soyez prudent.) Il a planté de mauvaises choses et continue de planter et plantera des choses encore pires. Et ça ne va pas changer et ça va aller de mal en pis.
– Sœur : Est-ce le Seigneur lui-même qui parle ?
– Dieu : Et tu ne crois pas ce que je dis ?! Ne rendez pas ma parole commune ; Je suis celui qui parle.
Immédiatement, il se souvint de ce verset : « Et une voix lui parvint : Lève-toi, Pierre ! Tuez et mangez. Mais Pierre dit : Pas du tout, Seigneur, car je n’ai jamais rien mangé de souillé et d’impur. Et la voix lui dit une seconde fois : Ne fais rien de commun avec ce que Dieu a purifié » (Actes 10 :13-15). Même pour aider quelqu’un, la sagesse est nécessaire, et elle nous vient directement de Dieu lorsque nous le cherchons avant d’écouter différents « pasteurs », croyant que ses paroles sont vraies et garantissent la prospérité dans n’importe quel domaine. Si les actions ne sont pas guidées par les instructions de Dieu, elles ne généreront jamais de bons résultats.
Lisez la Bible avant de faire aveuglément confiance aux paroles de certains pasteurs simplement parce qu’ils ont la renommée et l’argent, semblant être les meilleurs exemples de la façon d’atteindre la prospérité. Examinez verset par verset, croisez les versets pour savoir si les choses sont vraiment comme elles le prêchent, car la bible elle-même s’explique quand on la lit en esprit et en vérité, c’est-à-dire avec le cœur tourné vers Dieu, libre de toute convoitise. « Or ceux de Bérée étaient plus nobles que ceux de Thessalonique, car ils recevaient la parole avec empressement, sondant chaque jour les Écritures pour voir si ces choses étaient ainsi » (Actes 17 : 11). Agissez comme les Béréens : analysez vos paroles par rapport au texte sacré pour vous assurer qu’elles y correspondent. Examinez toutes choses pour voir si elles viennent vraiment de Dieu (1 Thes 5:21).
Le vrai serviteur de Dieu ne commet pas d’actes pharisaïques. Par exemple, les pharisiens exaltaient Corban (une offrande au Seigneur faite dans le temple) au-dessus des valeurs fondamentales telles que le zèle pour ses parents :
Vocês, porém, ensinam que alguém pode dizer a seus pais: Não posso ajudá-los. Jurei entregar como oferta a Deus aquilo que eu teria dado a vocês. Com isso, desobrigam as pessoas de cuidarem dos pais, anulando a palavra de Deus a fim de transmitir sua própria tradição. E esse é apenas um exemplo entre muitos outros (Mc 7:11-13).
Non! Bien sûr! Ils ne gagneraient rien à prendre soin des personnes dans le besoin ou à apprendre aux autres à prendre soin d’eux. Si une action n’était pas rentable, si elle n’offrait aucun avantage, “pourquoi est-ce que je le fais ?” En effet, l’offrande qui était pour le Seigneur était pour eux, qui se sont enrichis aux dépens de la foi des autres ; quant aux infidèles dans la peau des fidèles, cette offre devint un prétexte pour échapper à certaines obligations comme négliger la responsabilité de soins due aux parents. En ce sens, cette offrande devenait un exercice religieux contre la parole de Dieu avec le consentement de ceux qui agissaient comme représentants de son peuple ; en effet, une abomination aux yeux de Dieu. Les donneurs de l’offrande et les destinataires méprisaient l’enseignement de Dieu sur la piété filiale, de sorte qu’une telle religiosité violait le commandement de Dieu d’honorer son père et sa mère.
Ces personnes comme elles, à cette époque et aujourd’hui, surmontent la loi d’amour et de miséricorde qui est au-dessus de toutes les pratiques légalistes contraires en faveur de leurs propres entrailles. « Le Seigneur est plus content quand nous faisons ce qui est droit et juste que quand nous lui offrons des sacrifices » (Pr 21, 3), mais ils ne mettent pas l’accent sur cet enseignement parce qu’il ne leur est pas profitable. C’est-à-dire qu’ils manipulent la parole de Dieu à volonté pour leur propre bénéfice.
Dans Luc 21:1-4, la pauvre veuve a placé deux petites pièces[i] dans la boîte à offrandes du temple. Qui apprécierait une si petite offre ? ! Jésus. Qui peut dire qu’il suit son exemple à la lettre, valorisant une offre sans valeur aux yeux des hommes ? Si la théologie de la prospérité est biblique, comme le prônent ses parties intéressées de donner abondamment pour recevoir encore plus, qu’en est-il de la réaction de Jésus face à l’offre faite par la veuve ? Jésus ne connaissait-il pas cette théologie ? Oui, il est omniscient !!! Il connaît les intentions des hommes. A l’époque, cette terminologie telle qu’on l’entend aujourd’hui n’existait pas encore, mais ce qui la concerne a toujours existé dans le cœur et dans l’esprit de l’homme, quelque chose que Jésus savait parce qu’il connaît chacune de ses créatures, car il sonde leurs pensées qui conduisent à des ou des actes répréhensibles. La prospérité est un don divin indépendant des actions humaines, car il est connu que Dieu donne et prend selon sa miséricorde et sa justice. Par conséquent, Jésus savait et sait que ce n’est pas combien une personne donne, mais comment, avec quel cœur, avec quelle intention, elle le fait.
Cette illustration d’un fait biblique a été enregistrée afin que tous ceux qui la lisent sachent ceci, que Dieu regarde au cœur, l’intention digne, louable devant lui. Les deux pièces que la pauvre veuve offrait au temple (et non dans la poche des prêtres, qui, d’ailleurs, n’en voudraient même pas pour leur « apparente » inutilité) avaient bien plus de valeur pour Dieu que les deniers offerts au temple , ou plutôt, dans les poches des prêtres. En d’autres termes, la théologie de la prospérité qui met l’accent sur « donner plus pour recevoir plus » n’est pas conforme à la pensée de Dieu ; donc, ce n’est pas biblique !
4.3.4 LA VRAIE VALEUR D’UNE PIÈCE À JÉSUS
Le denier était la monnaie principale à l’époque de Jésus. C’était la monnaie sous laquelle la valeur dénotait les grosses sommes offertes pour la réalisation des marchés échangés entre les prêtres et les infidèles qui pourvoyaient à leurs affaires, c’est-à-dire la richesse des prêtres et les profits et avantages de ceux qui les offraient – une corruption au sein de le temple de Dieu ! Ces offrandes peu sincères qui s’étaient infiltrées dans le temple du Seigneur étaient approuvées par les hommes (religieux) mais désapprouvées par Dieu. Son offre intéressée n’a pas plu au Maître du Temple, le Seigneur de la foi authentique.
Le lepton était la plus petite pièce à l’époque, équivalant à 1/128 de denier :
Pourquoi Jésus, en témoignant de la petite offrande de la veuve, l’exalte-t-il au lieu de louer ceux qui donnent abondamment ? Le Seigneur a apprécié l’humble offrande de la pauvre veuve parce qu’elle a offert avec son cœur et non avec un esprit égoïste qui vise à gagner beaucoup plus que ce qu’elle donne, qui offre déjà en attendant le retour, qui offre non par foi, mais par avidité. Aux yeux de Jésus, une offrande du cœur, une offrande d’amour, est au-dessus des offrandes abondantes des religieux ambitieux qui ne se préoccupent pas du bien-être des autres, mais de leur propre ventre. Il l’a bénie pour son altruisme, pour son dévouement, au milieu de toutes ses difficultés. Les deux leptons offerts par la pauvre veuve dénotaient la valeur incommensurable d’une offrande sainte, digne du Seigneur. A tel point que Dieu parle, et il semble que certaines personnes choisissent de ne pas écouter. Dieu dit que ce qui lui plaît, ce ne sont pas les sacrifices, les holocaustes, les offrandes, mais le cœur brisé, le vrai culte, l’obéissance, la miséricorde. Lisez et voyez si ce n’est pas vrai :
“Ó Deus, o meu sacrifício é um espírito humilde; tu não rejeitarás um coração humilde e arrependido” (Sl 51:17).
“Os verdadeiros adoradores vão adorar o Pai em espírito e em verdade. Pois são esses que o Pai quer que o adorem” (Jo 4:23).
“Porque eu quero misericórdia e não sacrifício; e o conhecimento de Deus, mais do que holocaustos” (Os 6:6)
“O que o Senhor pede de ti, senão que pratiques a justiça, e ames a beneficência, e andes humildemente com o teu Deus?” (Mq 6:8).
“O que é que o Senhor Deus prefere? Obediência ou oferta de sacrifícios? É melhor obedecer a Deus do que oferecer-lhe em sacrifício as melhores ovelhas” (1 Sm 15:22).
Par conséquent,
a) Quel est l’intérêt d’offrir de grosses sommes en offrandes ou même de ne pas avoir à donner et de penser que c’est un grand sacrifice de prendre de l’argent sur sa carte de crédit ou de contracter un emprunt pour offrir ou donner la dîme dans les églises ? C’est une façon de décimer la foi et, par conséquent, la poche !
b) Quel est l’intérêt d’offrir de grosses sommes en offrandes dans les églises si vous n’avez pas l’humilité devant Dieu de reconnaître votre dépendance envers lui, et non envers les fausses promesses de faux pasteurs qui promettent de l’argent en abondance si vous donnez de l’argent en abondance ? C’est une façon de décimer la foi et, par conséquent, la poche !
c) A quoi bon offrir de grosses sommes en offrandes dans les églises si elles n’offrent pas à Dieu un vrai culte qui implique l’obéissance à sa voix et non à la voix des hommes qui parlent en son nom, proclamant la prospérité financière au détriment de la de quelles vertus spirituelles plaît-il à Dieu ? C’est une façon de décimer la foi et, par conséquent, la poche !
d) À quoi bon offrir de grosses sommes en offrandes dans les églises si elles ne pratiquent pas la justice et la bonté qui équivaut à connaître Dieu dans l’obéissance à sa parole qui exhorte à ne pas devenir serviteur de Mammon (Mt 6,24) et à ne pas avoir l’amour de l’argent parce que cet amour de l’argent est la racine de tout mal ; c’est-à-dire que ce n’est pas l’argent qui est la racine de tous les maux, mais l’amour, l’attachement à lui, comme à cause de lui faire des choses inconvenantes, commettre des actes d’impiété, ne pas faire le bien sans voir à qui, et tant d’autres attitudes qui déplaire à Dieu et qu’il désapprouve. “L’amour de l’argent est la racine de tous les maux. Certains, en convoitant l’argent, se sont détournés de la foi et se sont tourmentés de beaucoup de souffrances » (1 Tm 6, 10). C’est une façon de décimer la foi et, par conséquent, la poche !
Ils devraient accorder plus d’attention à ces versets bibliques : « N’entravez pas l’action du Saint-Esprit. Éloignez-vous de toutes les formes de mal. Que Dieu vous rende pure et entièrement dévouée à lui. (1 Thes 5:19,22,23).
Dans tout cela on voit que les mercenaires de la foi se servent d’une mauvaise exégèse sur la loi des semailles dans laquelle :
a) Ils soulignent que plus l’offre est importante, plus la récolte est importante ;
b) Ils mettent l’accent sur l’abondance de l’offrande avec la vision cupide de recevoir encore plus.
Qu’est-ce que cela a à voir avec le royaume de Dieu ?! Quiconque lit la Bible avec l’intention fidèle de mettre en pratique exactement ce qui est écrit, même s’il rencontre de grandes difficultés pour le faire en raison de la faiblesse de son humanité, est un croyant digne et approuvé par le Seigneur, car Dieu regarde à l’homme cœur et sait exactement ce qu’il contient. Qui est fidèle, Dieu sait qu’il est fidèle ; qui n’est pas fidèle, Dieu sait qu’il n’est pas fidèle. C’est simple. Par conséquent, il n’y a pas d’offre importante qui puisse couvrir les mauvaises intentions du cœur. Dieu n’est pas moqué ! — ce qu’un homme en sème, il le récoltera (Ga 6:7). Dieu ne peut être trompé, car il est omniscient et voit les profondeurs de l’âme que l’homme lui-même ne connaît pas : ” Alors Pierre demanda : ‘ Ananias, comment as-tu permis à Satan de remplir ton cœur, de sorte que tu as menti au Saint-Esprit ? et gardez-vous une partie de l’argent que vous avez reçu pour la propriété ? » (Actes 5:3).
Quelle est la différence entre Ananias et ce type d’offrande dans l’église actuelle dont on parle maintenant ? Aucun, car le problème de chacun réside dans la mauvaise intention de rechercher le profit d’une manière ou d’une autre. Mais Dieu sonde les motifs du cœur et rend à chacun selon ses actions.
La stratégie ecclésiastique pour atteindre la prospérité terrestre la fait tomber du côté de la matérialité financière, la rendant éphémère et contredisant tout le sens de la prospérité dans la perspective biblique. Des privations et des difficultés qui ne cesseront d’affecter une personne, chrétienne ou non, qui lui enlèvent souvent sa paix, c’est comme si elles n’existaient pas pour les parleurs de la théologie de la prospérité, un sujet si important qu’il est négligé dans le Église de Jésus dont l’objectif principal tombe dans l’oubli au profit d’entrées fructueuses en son sein.
Qui se soucie de prêcher comme ceci : « Sont-ils ministres de Christ ? Moi encore plus : dans les dangers parmi les faux frères ; dans le travail et la fatigue, dans les veilles, souvent, dans la faim et la soif, dans le jeûne, souvent, dans le froid et la nudité. En plus des choses extérieures, les soucis de toutes les églises m’oppressent chaque jour » (2 Co 11, 23-28). Qui se soucie de transmettre ces paroles à l’Église pour qu’elle connaisse la persévérance de l’Apôtre Paul au milieu de tant d’adversité afin de lui inspirer le même don et la même attitude comme forme de prospérité spirituelle ? Non, ce genre de prédication apporte la paix et le réconfort aux membres de l’Église en termes de foi, mais il n’est pas rentable en termes d’offrandes en espèces. C’est-à-dire que l’objectif de l’Église de Jésus a été changé par ceux qui la voient comme une machine à gagner de l’argent.
Cependant, ils devraient accorder plus d’attention au texte sacré dans 1 Thessaloniciens 5:19,22,23 afin que a) ils n’entravent pas l’action du Saint-Esprit, b) ils évitent toutes les formes de mal et c) Dieu les rend pur et entièrement dévoué à Lui.
Asaph le Lévite n’était pas du tout à l’aise avec la prospérité de l’homme impie face aux privations du peuple de Dieu comme nous lisons ci-dessous, mais, de même, ce même homme impie se dresse dans l’Église de Jésus avec un visage juste – loup dévorant les poches en peau de mouton, les robes, les titres et tout ce qui ressemble aux pharisiens usurpateurs de l’Église du Seigneur Jésus-Christ. Cependant, à la fin, Asaph lui-même réalise la misère des infidèles à Dieu par sa justice : « J’ai compris ce qui arrivera à la fin avec les méchants. Vous les mettez dans des endroits où ils glissent et les faites tomber morts. Ils sont détruits en un instant et connaissent une fin horrible » (Ps 73, 17-19).
Image 21 – Extrait de la vidéo “A Life of Prosperity” à 47:36m
Em todas as épocas da existência (da história) humana, toda a adoração a Deus foi o oferecimento de alguma dádiva em reconhecimento à soberania e à misericórdia de Deus. (…) A oferta é uma semente que honra a Deus. |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
De quelle offrande parle ce pasteur ?! Offre en espèces “seulement” ? Et qui n’a pas d’argent, comment fait-il ? Empruntez-vous de l’argent pour donner à l’église, en omettant de mettre en pratique la parole de Dieu qui indique clairement à notre compréhension que nous prêterons à beaucoup, mais que nous n’emprunterons pas ? « Vous prêterez à plusieurs nations, mais vous n’emprunterez à personne » (Dt 28, 12b). Ou ne devrions-nous pas avoir assez d’argent pour obtenir de l’argent sur notre carte de crédit à donner à l’église ? Ne se souvient-il pas du verset qui dit qui est une offrande au Seigneur ? Il est écrit : « Offrez vos corps à Dieu. Qu’ils soient un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu » (Rm 12, 1). Et l’offre de « lip louange », ne compte pas ?! « O Seigneur, reçois l’offrande de louange de mes lèvres et enseigne-moi tes ordonnances » (Ps 119:108).
Si c’est pour parler d’offrandes qui plaisent à Dieu, pourquoi ne pas citer ces versets pour que le peuple de Dieu connaisse toutes les façons d’offrir à Dieu en plus des dons monétaires ?! Pourquoi ne pas endoctriner le peuple de Dieu avec tous les versets pertinents à la vérité révélée et à la volonté de Dieu, selon le thème de la prédication respective, et pas seulement des versets séparés du contexte général d’un certain chapitre avec l’intention de mettre l’accent sur des intérêts mesquins basé sur la parole de Dieu pour paraître juste, correct et approuvé par Dieu, alors qu’en fait ce n’est rien comme ça ?! Le seul culte acceptable est l’offrande de toute sa vie à Dieu. Et cela implique une adoration inconditionnelle, car Dieu reste Dieu indépendamment de quoi que ce soit dans la vie du croyant fidèle. Dieu est Dieu quelles que soient les circonstances. Souvenez-vous de Job. Que le Seigneur permette à chaque croyant d’avoir une foi inébranlable.
“Aveugle! Car quel est le plus grand, l’offrande ou l’autel qui sanctifie l’offrande ? (Matthieu 23:19). Lorsque l’offrande est valorisée au-dessus de l’Autel de Dieu, il y a place pour une véritable négation de la personne divine, puisque l’Autel du Seigneur est précisément sa représentation. Et comment cette surévaluation de l’offre s’opère-t-elle au détriment de la reconnaissance que Dieu est au-dessus de l’offre ? Quand on ne parvient pas à avoir la communion avec Dieu en négligeant les commandements les plus importants de la loi tels que la justice, la miséricorde, la fidélité, la bienveillance et l’humilité devant Dieu (Mt 23 :23 ; Mi 6 :8).
Les vanités des donneurs d’offrandes :
Combien de donneurs d’offrandes dans les méga temples et aussi dans les églises plus humbles sont remplis de vanité parce qu’ils ont donné leurs offrandes, grandes ou petites, pour que le pasteur voie plus que pour que Dieu voie, mais ils ne pratiquent pas la justice de Dieu quand ils affligent leur conjoint à l’intérieur de la maison où la congrégation n’a pas accès, omettant de pratiquer le serment fait sur l’autel de Dieu qu’il prendrait soin de ce conjoint?
Combien de donneurs d’offrandes dans les méga temples et aussi dans les églises plus humbles sont remplis de vanité parce qu’ils ont donné leurs offrandes, grandes ou petites, pour que le pasteur voie plus que pour que Dieu voie, mais ils ne pratiquent pas la miséricorde envers un frère qui a besoin d’une aide financière ou alimentaire ou d’un pardon pour toute faute commise ou tout autre soin qui plairait à Dieu, en se souvenant de ce que Jésus a dit : « J’ai eu faim et vous m’avez donné à manger ; j’ai eu soif, et tu m’as donné à boire; J’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; j’étais nu, et tu m’as vêtu; j’étais malade et vous m’avez rendu visite; J’étais en prison, et vous êtes venus me voir » (Mt 25, 35, 36). Cependant, ils agissent comme le prêtre et le lévite, ces hommes qui se disaient hommes de Dieu, mais qui n’ont rien manifesté de Dieu, car ils n’ont pas aidé l’homme déchu dans le chemin qu’ils passaient, et, s’il n’y avait pas le bon Samaritain , l’homme serait mort (Luc 10:30-37).
Combien de donneurs d’offrandes dans les méga temples et aussi dans les églises plus humbles sont remplis de vanité parce qu’ils ont donné leurs offrandes, grandes ou petites, pour que le pasteur voie plus que pour que Dieu voie, mais ils ne pratiquent pas la fidélité à Dieu qui est liée à l’accomplissement de ses commandements comme aimer Dieu par-dessus tout – ce qui équivaut à laisser tout le reste au second plan -, et au prochain comme lui-même : deux commandements qui résument tous les commandements (Mt 22, 36-40). Pratiquent-ils cet amour ? Obéissent-ils à cette ordonnance de Dieu ? Lorsqu’une personne ne donne pas l’assistance due et possible à un frère dans le besoin ou nourrit de la haine pour lui en raison d’une offense subie en plus de ne pas lui pardonner, elle n’obéit pas à Dieu (1 Jean 4: 8), car, ayant dans son mains ou en étant capable, il ne le fait pas : « Chaque fois que vous le pouvez, aidez les nécessiteux. Ne dis pas à ton voisin d’attendre à demain si tu peux l’aider aujourd’hui » (Pr 3:27,28).
Combien de donneurs d’offrandes dans les méga temples et aussi dans les églises plus humbles sont remplis de vanité parce qu’ils ont donné leurs offrandes, grandes ou petites, pour que le pasteur voie plus que pour que Dieu voie, mais ils ne pratiquent pas la bienfaisance qui implique d’aider les autres sans sens, sans voir à qui, libres d’intérêts personnels comme de ne pas “donner d’une main et montrer de l’autre”, comme il est écrit : “Quand tu aides quelqu’un dans le besoin, fais-le de telle manière que même ton ami le plus proche sache ce que tu as fait » (Mt 6, 3) ; ou libres d’intérêts égoïstes, comme valoriser les ressentiments qui inhibent le pardon, qui se placent au-dessus du bien que l’on peut faire aux autres : « Nous qui sommes forts devons supporter les faiblesses des faibles et ne pas nous plaire. Que chacun donc plaise à son prochain dans ce qui est bon pour l’édification » (Rm 15,1,2), suivant l’exemple de l’abnégation du Christ et aussi de l’apôtre Paul : « Imitez-moi, comme moi aussi , du Christ » (1 Co 11, 1).
Faire de bonnes choses pour rendre service ou se montrer ainsi que ne pas faire de bonnes choses pour des raisons égoïstes telles que l’orgueil blessé, se laisser contaminer par le poison des autres, ne reflète pas une aide digne de confiance pour les autres, mais un avantage pour soi-même, action pour son propre bénéfice ; par conséquent, ce n’est pas de la bienfaisance, même si elle peut servir les autres. Ces mauvaises attitudes éloignent le chrétien des normes bibliques parce qu’elles révèlent le désir de la personne de se promouvoir devant les dirigeants et les autres frères, ce qui est non biblique, quelle que soit la motivation – religieuse, politique, ecclésiastique, etc. – parce qu’il détourne l’attention de l’objectif biblique-évangélique qui devient entravé par le manque de spiritualité nécessaire au soutien de l’église – le peuple de Dieu dans le besoin – en ce qui concerne la sphère financière dans laquelle l’argent est impliqué. Ainsi, un environnement commercial commence à exister dans l’église et non un espace spirituel dédié à la pratique de la bienfaisance.
Combien de donneurs d’offrandes dans les méga temples et aussi dans les églises plus humbles sont remplis de vanité parce qu’ils ont donné leurs offrandes, grandes ou petites, pour que le pasteur les voie plus que pour que Dieu les voie, mais ils ne pratiquent pas l’humilité devant Dieu parce que ils ne reconnaissent pas que Dieu seul est digne de toute exaltation et louange. Ils agissent comme s’ils essayaient de retirer Sa propre gloire à Dieu. « Ne pense pas que tu vaux mieux que tu ne l’es vraiment. Au contraire, pensez humblement à vous-mêmes » (Rm 12, 3). Le manque d’humilité présuppose l’égoïsme, car il reflète un comportement mesquin qui fait que l’on ne pense qu’à soi et jamais aux autres, et pire, jamais à Dieu ! Parce qu’ils disent suivre Jésus, mais ils n’imitent pas son comportement humble en se dépouillant de leur divinité pour devenir une personne ordinaire :
Nada façam por ambição egoísta ou por vaidade, mas humildemente considerem os outros superiores a si mesmos. Cada um cuide, não somente dos seus interesses, mas também dos interesses dos outros. Seja a atitude de vocês a mesma de Cristo Jesus, que, embora sendo Deus, não considerou que o ser igual a Deus era algo a que devia apegar-se; mas esvaziou-se a si mesmo, vindo a ser servo, tornando-se semelhante aos homens. E, sendo encontrado em forma humana, humilhou-se a si mesmo e foi obediente até à morte, e morte de cruz! (Fp 2:3-8).
Le prédicateur a dit :
Image 22 – Extrait de la vidéo “A life of Prosperity” à 48:23m
Como é que nós nos atrevemos a não dar nada para o reino de Deus? |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
Deux questions : 1) Oser ne rien donner : ce « rien » signifie-t-il de l’argent dans le contexte respectif ? 2) Qu’est-ce qui sera donné à Dieu ?
Ainsi la parole de Dieu qui est vraie lui répond : « Que rendrai-je à l’Éternel pour tous ses bienfaits envers moi ? (Ps 116:12). Dieu parle-t-il ici de « donner de l’argent » dans son Église ? Une exégèse parfaite de ce verset prouve que rien de ce que nous faisons ou ferons ne peut surpasser les bienfaits de Dieu : offrandes en argent, offrandes matérielles diverses, bonnes œuvres, sacrifices, vie religieuse, etc. ; de plus, le texte révèle que la seule façon de donner à Dieu ce qui lui plaît comme forme de gratitude pour les bienfaits reçus est de prendre la coupe du salut, c’est-à-dire de reconnaître le sacrifice par procuration de Jésus et le salut qu’il nous offre.
Par conséquent, la foi que l’on reçoit de Dieu est la seule chose que l’on doit rendre à Dieu en remerciement pour le bien qu’il a fait pour lui, et non l’argent. Même dans l’Ancien Testament, la dîme, dont le contenu était « la nourriture et l’assistance aux Lévites » (Nb 18 :21 ; 28 ; 27 :30,32), correspondait à la loi, une obligation, une responsabilité devant Dieu, quelle qu’en soit la preuve. gratitude, et qui, au sens d’obligation, a cessé d’exister avec l’arrivée de la Grâce dans le NT. Cependant, de nombreux chefs religieux abusent aujourd’hui des dîmes et des offrandes, alors ce que Jésus a déjà prédit l’a amené à prononcer l’exhortation suivante : ” Il est écrit : ‘ Ma maison sera appelée une maison de prière, mais vous l’avez transformée en un repaire de voleurs ‘” (Mt 21:13). Celui qui prend la coupe du salut comme l’a dit David – l’homme selon le cœur de Dieu, et pas n’importe quel homme religieux – invoque toujours le nom du Seigneur comme une manière de déclarer sa totale dépendance de lui parce qu’il reconnaît sa Seigneurie sur sa vie ; aucun argent ne peut être au-dessus de cela. Il faut reconnaître que, selon son applicabilité, la dîme biblique peut devenir un mal (Eccl 5 :1) tant pour les donneurs que pour les bénéficiaires si elle n’est pas fondée sur Jésus et ses enseignements (Mt 23 :23 ; 2 Co 9 :7 ). Il est nécessaire une clarification sérieuse et appropriée sur les dîmes et les offrandes au sein de l’Église à travers des études consacrées à la vérité biblique.
Dieu est satisfait de la personne qui croit en lui, quand il croit qu’il est capable de faire beaucoup plus qu’il ne demande ou ne pense (Eph 3:20), quand il croit qu’il n’y a pas de limites ou d’impossible pour lui (Luc 1: 37) et , par conséquent, ne dépend pas de vos offres pour faire quelque chose pour elle quand elle est une croyante fidèle. Dieu n’est pas satisfait des offrandes des insensés (Eccl 5:1), c’est-à-dire ceux qui croient à tort, pensant qu’il s’agit de faire des offrandes qui plairont à Dieu sans tenir compte de la nécessité de se soumettre à sa volonté et au culte qui lui est dû.
Vous pouvez donner une offrande en argent comme contribution au royaume de Dieu pour la question de conscience envers les nécessiteux, et aussi agir comme l’apôtre Paul – qui était un exemple pour ceux qui peuvent travailler dans l’église sans “l’obligation” de recevoir un salaire, jusqu’à ce qu’il reçoive des offrandes, comme l’apôtre Paul en a reçu. Mais qui veut imiter l’apôtre Paul ? Cependant, lui-même a dit qu’il appartenait à chacun de l’imiter (1 Co 11:1), sans recevoir de salaire – mais jamais avec la pensée que faire des offrandes “dans l’église” (car cela pouvait se faire de plusieurs autres manières) . plaire à Dieu, dont aucun pasteur “professionnel” ne parle) c’est agir avec une vraie gratitude, car donner de l’argent à l’église, en grosses sommes, ne veut pas dire que Dieu en est content, il suffit d’observer comment Jésus agit par rapport aux dîmes et les offrandes dans le temple et tout ce qu’il dit à ce sujet. Que celui qui a des oreilles pour entendre entende ce que l’Esprit dit aux Églises (Mt 11, 15), et non ce que « les religieux » disent aux Églises ! La seule chose qu’ils disent pour écouter et chercher à pratiquer est le texte biblique qui est la volonté exprimée de Dieu (Mt 23:3), le message de croire.
Pour tout cela, comment un prédicateur de la parole de Dieu peut-il demander :
– Comment osons-nous ne rien donner au royaume de Dieu ?!
N’importe quoi?! Faut-il que ce soit de l’argent ? Et si vous n’avez pas d’argent, il n’y a plus rien à donner à Dieu ?! Et la foi, que Dieu a donnée à ses enfants qui la pratiquent fidèlement jour après jour, ne vaut-elle rien ?! Pour autant qu’il semble biblique, ce discours n’est pas biblique, car il présente un scandale contre lequel Jésus s’est manifesté : « Malheur à celui par qui viennent les scandales » (Luc 17 :1). Il est nécessaire que chaque pasteur se souvienne de ce que Dieu dit du scandaleux (Mt 18,7) et se détourne de la mauvaise exégèse.
Qu’est-ce qui, en effet, plaît à Dieu ? Voir:
Holocaustos e oblações pelo pecado não te agradaram (Hb 10:6). Tem porventura o Senhor tanto prazer em holocaustos e sacrifícios, como em que se obedeça à palavra do Senhor? Eis que o obedecer é melhor do que o sacrificar; e o atender melhor é do que a gordura de carneiros (1 Sm 15:22). O Senhor diz: Eu não quero todos esses sacrifícios que vocês me oferecem. Estou farto de bodes e de animais gordos queimados no altar; estou enjoado do sangue de touros novos, não quero mais carneiros nem cabritos (Is 1:11). Ora, atentou o Senhor para Abel e para a sua oferta, mas para Caim e para a sua oferta não atentou (Gn 4.4,5).
Pourquoi Dieu n’a-t-il pas prêté attention à l’offrande de Caïn ? Combien sont dans l’église faisant des offrandes à Dieu avec le cœur et l’esprit de Caïn ? Pourquoi le pasteur de l’église n’enseigne-t-il pas à ses membres qu’avant de faire des offrandes (ou d’offrir leurs sacrifices) il est nécessaire de se purifier de leurs mauvais cœurs et de corriger leurs péchés, et seulement ensuite retourner au temple et faire les offrandes ? A quoi bon faire des offrandes à Dieu avec un cœur plein de haine, d’amertume, de ressentiment contre un frère ? La bonne chose est d’être guidé pour chercher d’abord à corriger vos erreurs et vos péchés et, ensuite seulement, à procéder aux offrandes dans l’église afin qu’elles soient approuvées et acceptées par Dieu ; sinon ce ne seront que des formalités et une démonstration de service, comme il est écrit : “Vos holocaustes ne sont ni agréables ni satisfaisants, et vos offrandes ne sont pas non plus acceptables !” (Jr 6:20).
Mais, non, ils laissent les gens l’offrir de toute façon, quel que soit l’état émotionnel, spirituel, sentimental dans lequel ils se trouvent, tant qu’ils font l’offrande en argent. Ils effacent de mémoire le verset qui dit : « Que l’homme s’examine » (1 Co 11, 28) avant d’accomplir des actes au nom de Dieu. Quelle sainteté, quelle louange, quelle obéissance à Dieu il y a là-dedans, dans cette mauvaise conduite des pasteurs qui instruisent les gens de donner de l’argent, et de ne pas donner leur vie en sacrifice, c’est-à-dire de se donner à Dieu comme Il veut , dans l’obéissance à sa parole, avant de faire des dons en argent, car donner de l’argent est facile, mais donner la vie purifiée, se donner à Dieu par l’autocorrection des erreurs et des péchés assumés est très difficile, et cela entraverait l’augmentation des dons en argent dans l’Église, vu le temps de ces autocorrections ! Quel pasteur pharisien voudrait perdre du temps là-dessus ?! Le temps presse et votre poche est pressée !
Éveille-toi, ô dormeur, peuple insensé qui apprend des bergers la cupidité qu’ils prêchent et eux-mêmes prêchent que ce n’est pas être cupide. Un vrai paradoxe : ne soyez pas gourmand, donnez ; mais soyez gourmand, donnez beaucoup pour recevoir beaucoup plus. Cela vient-il de Dieu ? Arrêtez-vous et réfléchissez avec un cœur et un esprit désireux d’apprendre la vérité sur la volonté de Dieu afin de faire des offrandes dans l’Église qui appartiennent à Dieu, c’est-à-dire vers des causes nécessaires comme aider les pauvres, prendre tout l’argent des dîmes et des offrandes. la nourriture, les soins de santé et l’hygiène, etc., et laisser de côté la question du salaire de l’église puisque, Dieu merci, ils ont déjà un bon travail avec un bon salaire ; pourquoi ne pas travailler de cette manière originale dans l’église du Seigneur Jésus ? C’est pour cela qu’il a fondé l’Église et non pour d’autres fins visant le gain personnel et le gain financier !
4.3.5 CEUX QUI ONT DES OREILLES ÉCOUTENT CE QUE L’ESPRIT DIT AUX ÉGLISES !
A bas l’opportunisme au sein de l’Eglise Sainte et Immaculée de Jésus ! Assez d’offrandes dans l’église qui en viennent à appartenir à des religieux fanatiques, qui ne sont donc pas pour Jésus, mais pour d’autres intérêts qui n’ont rien à voir avec leur proposition de salut par son sacrifice. Demandez à un pasteur de la même manière que vous demanderiez à un politicien s’il travaillerait gratuitement, s’il n’accepterait qu’une modeste allocation (et ce serait beaucoup !). Quel pasteur est prêt à servir une église où il n’y a pas de dîme ou de salaire pastoral, comme l’apôtre Paul, et où les offrandes sont distribuées publiquement pour répondre aux besoins de son peuple dans le besoin ? Seul un pasteur vraiment détaché de l’amour de l’argent ! Je connais au moins une telle église et son pasteur.
Voyez les exemples dans les pays de Saint-Marin et de Suède, dont les politiciens sont les plus frugaux de la planète, comme l’a déclaré le député Per-Arne Håkansson, du parti social-démocrate, à BBC News Brazil[10] dans son bureau au Parlement suédois :
Somos cidadãos comuns. Não há sentido em conceder privilégios especiais a parlamentares, uma vez que nossa tarefa é representar os cidadãos e conhecer a realidade em que as pessoas vivem. Também pode-se dizer que é um privilégio em si representar os cidadãos, uma vez que temos a oportunidade de influenciar os rumos do país.
Valentina Rossi, docteur en histoire de l’Université de Saint-Marin[11], affirme que le système de diarchie par lequel deux chefs d’État sont élus, qui se partagent leurs responsabilités, tous deux étant capitaines-régents – le poste le plus élevé du pays – est une tradition héritée de la République romaine selon laquelle l’un exerce un contrôle sur l’autre afin que le pouvoir ne soit pas concentré entre les mains d’une seule personne.
Pendant ce temps, au Brésil, en 2020, le salaire d’un député fédéral est de 33 763,00 R$ (décret législatif n° 276/14 – art. 1)[12] en plus d’innombrables autres avantages, et les personnes qui ont voté pour eux sont celles qui paye les factures du pays !!! Prenez ce salaire et payez un député fédéral comme reçoit un politicien suédois ou samaritain. Acceptera-t-il ? Va-t-il manifester le don de représenter les citoyens brésiliens dans tous leurs besoins privés de cet énorme salaire ?! Agir dans ce seul but, uniquement pour le bénéfice du peuple, suffira-t-il pour qu’il reste dans ce rôle ?
Il en va de même pour de nombreux prédicateurs chrétiens de la foi en l’argent de Mammon et non de la foi en l’Évangile de Jésus. Enlevez le salaire et vous découvrirez qui est un vrai pasteur et qui est un vrai politicien ! Être un politicien et un pasteur avec des salaires élevés et des millions d’abonnés à des chaînes Internet où vous obtenez encore plus de profits, c’est facile ! Enlevez tout et fondez une église de secours à but non lucratif où c’est Jésus qui apparaît et non le célèbre pasteur de haut rang social (Jean 3:30); enlevez tout et agissez, politiquement, sans but lucratif. Vous y trouverez un pasteur et homme politique sérieux. On dit qu’un homme est vraiment connu quand on lui donne le pouvoir.
Malafaia racontant un dialogue symbolique suivi d’une complémentation :
Image 23 – Extrait de la vidéo « A Life of Prosperity » à 51:52m
– Pastor, eu dou oferta simplesmente pelo ato de dar.
– Sim, trouxa, ok trouxa, eu respeito você trouxa. (…) A bíblia faz uma analogia da oferta com a semente pra que você entenda que todo agricultor que planta quer colher. Você deve dar oferta na expectativa que você vai colher na sua vida (..) porque se você vim [ipsis verbis] com essa pseudossantidade, essa falsa santidade, você tá equivocado com essa sua plantação porque eu nunca vi agricultor dizer: ‘Olha, eu plantei maçã aqui, mas se não der, não tem problema, não; tá plantado ai’. É ruim, meu irmão, eu plantei laranja e quero colher laranja, eu plantei oferta na casa de Deus e vou colher bênçãos materiais na minha vida e espirituais também. |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
Il est écrit dans 1 Corinthiens 9:9-10, “Dans la loi de Moïse, il est écrit : ‘Ne muselez pas un boeuf quand il foule le blé.’ Dieu s’intéresse-t-il aux boeufs ? Ou était-ce à propos de nous qu’il a dit ça ? Bien sûr, cela est écrit en notre faveur ! La personne qui plante et la personne qui récolte font leur travail dans l’espoir de recevoir leur part de la récolte. Cependant, cela ne signifie pas qu’une personne ne peut pas ou ne fera pas ses offres de manière désintéressée. Il est crédible que quelqu’un fasse quelque chose pour quelqu’un d’autre juste par envie de faire le bien sans voir qui et sans arrière-pensées. Beaucoup de gens le font même par amour, sans aucun intérêt à recevoir quoi que ce soit en retour, sans rechercher de profits ou d’avantages à venir.
Aux versets 11 et 12, il est entendu comme un droit que celui qui travaille pour Dieu reçoive une récompense matérielle ; cependant, l’apôtre Paul précise qu’il n’utilise pas ce droit pour ne pas perturber l’évangile du Christ. Pourquoi « déranger » au sens de nuire ? Parce que tout type de paiement qu’il recevait pourrait devenir un obstacle à la propagation de l’évangile en raison du jugement négatif et de la mauvaise impression que les disciples en viendraient à avoir et cela finirait par les détourner du chemin de Christ. Sachant que son travail dans le royaume était un devoir que Dieu lui avait donné à remplir, il ne voyait aucune raison de recevoir un paiement en argent ou en nourriture, mais il comprenait que son paiement était la satisfaction de proclamer l’évangile sans rien facturer et sans exiger son droits en tant que prédicateur de l’évangile (vv. 15-18). Il avait sa propre profession qui lui garantissait un salaire pour subvenir à son entretien et à d’autres nécessités ; il ne profiterait jamais du service chrétien ou de la position d’un prédicateur pour recevoir le paiement de son travail. Quel pasteur aujourd’hui suit à la lettre cet exemple de l’apôtre Paul ?
Notez 1 Timothée 5:17,18 : « Les anciens qui font du bon travail dans l’église méritent une double rémunération, en particulier ceux qui travaillent dur pour prêcher l’évangile et enseigner les chrétiens. Digne est l’ouvrier de son salaire.
Dieu exige que les ministres soient payés pour leur travail.
A ceux qui prêchent l’évangile, qu’ils vivent selon l’évangile.
Fournir aux ministres de l’évangile ce dont ils ont besoin est un commandement donné par Dieu.
Tout comme les prêtres en Israël étaient soutenus par leur travail, les ministres du Nouveau Testament devaient être soutenus.
Le texte signifie l’ouvrier pour que Dieu reçoive, pas l’offrant pour gagner plus parce qu’il fait des offrandes. En fait, ce discours en faveur d’une large collection d’offrandes lors de l’offertoire en services vise à ceci : plus il y a d’offrandes, plus il y a de profits. De plus, le droit garanti par la parole de Dieu à ceux mis en évidence ci-dessus ne leur donne pas le droit de se prévaloir de leur droit de continuer à demander de plus en plus d’offrandes, forçant la remise de dîmes pour augmenter leur salaire et déformant le texte biblique pour garantir le rendement financier. .
En d’autres termes, un prédicateur égoïste signifie ceci : “Faire des offrandes dans l’intérêt de le récupérer, et non par pur intérêt à donner sans attendre de retour.” Il ne s’agit pas d’avoir le droit donné par Dieu de recevoir le fruit de la plantation, mais la théologie de la prospérité enseigne spécifiquement le don en vue du retour – cet objectif erroné bouleverse le sens du texte biblique concernant les dîmes et les offrandes qui sont exploitées dans une telle contraire à la vérité exprimée de Dieu. Les choses de Dieu ne doivent pas être ainsi, mais donner par amour désintéressé, désintéressé ; donner d’une main sans regarder l’autre.
Pseudo-sainteté ? ! Fausse sainteté ?! (à 52:20m) – Malafaia utilise un argument de quasi-persuasion contre ceux qui offrent de façon désintéressée, entendant faire croire à ses auditeurs que le bien et le vrai est d’offrir en vue d’un retour profitable, et que le croyant qui agit à l’encontre de cette compréhension est feinte, faux croyant – déformation des significations, proposition antithétique. Il faut être conscient de ses paroles qui omettent le vrai sens qu’elles proposent et confondent les esprits insouciants : « Car comme Eve a été trompée par les mensonges du serpent, je crains que votre esprit ne soit corrompu et que vous abandonniez la dévotion sincère et pure au Christ » (2 Co 11, 3).
Combien font une offre sans rien vouloir en retour, pour le simple fait qu’ils veulent aider, sans aucun intérêt, et puis ne se souviennent même pas qu’ils ont aidé, ils ont offert ?! Combien font l’œuvre de Dieu, louant, enseignant, prêchant, sans rien faire payer pour cela ? Combien de ministres littéraires écrivent pour la gloire de Dieu par simple désir de transmettre ce qu’ils ont reçu par inspiration divine dans l’espoir de voir le lecteur converti au Christ, et si gagner de la vente des livres n’est qu’une conséquence, mais jamais la raison principale? Voyez ce qu’il a dit :
Image 24 – Extrait de la vidéo « A Life of Prosperity » à 53:06m
Não está aqui alguém que quer contar uma vantagem pra vocês; não está aqui alguém que quer contar uma coisa pra dizer que eu sou bam-bam-bam na área: Por favor, irmãos, eu sei tudo de semente. Tudo de plantação é comigo mesmo. |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
Alors maintenant, c’est au tour de quelqu’un de répondre que ce n’est pas bam-bam-bam non plus, et ils ne peuvent pas dire que c’est bam-bam-bam parce qu’en fait, cela fait l’œuvre de Dieu sans aucun intérêt financier. S’il ne croit pas que l’on puisse faire du bien aux autres sans intérêt, c’est qu’il ne le fait pas lui-même. Il ne croit pas que les gens puissent faire du bien aux autres sans intérêt car lui-même ne croit pas à cette possibilité !
Par conséquent, il a déclaré avec véhémence : « Je sais tout de la semence. Savez-vous même?! Considérant les différentes versions de la Bible pour comparer deux versets de la Bible, voyez ce qui est écrit à propos de quelqu’un qui se comporte comme un je-sais-tout :
Tableau 25 – Comparaison entre les versets mis en évidence dans différentes versions
1 Timothée 6:4 | 1 Corinthiens 8:1b,2 |
A21 – “É arrogante e não compreende nada, mas delira em questões e discórdias acerca de palavras”.
|
A21 – “O conhecimento dá ocasião à arrogância, mas o amor edifica. Se alguém supõe conhecer alguma coisa, ainda não conhece até o ponto em que é necessário conhecer.” |
ARA – “É enfatuado, nada entende, mas tem mania por questões e contendas de palavras.”
|
ARA – “O saber ensoberbece, mas o amor edifica. Se alguém julga saber alguma coisa, com efeito, não aprendeu ainda como convém saber.” |
ARC – “É soberbo e nada sabe, mas delira acerca de questões e contendas de palavras.”
|
ARC – “A ciência incha, mas o amor edifica. E, se alguém cuida saber alguma coisa, ainda não sabe como convém saber.” |
NAA – “Esse é orgulhoso e não entende nada, mas tem um desejo doentio por discussões e brigas a respeito de palavras.” | NAA – “O conhecimento leva ao orgulho, mas o amor edifica. Se alguém julga conhecer alguma coisa, ainda não conhece como deveria conhecer.” |
NBV-P – “é orgulhoso e nada entende. Esta pessoa tem um interesse doentio, provocando discussões acerca de palavras, que acabam em inveja e cólera, e que só conduzem à difamação, a acusações e suspeitas malignas.” | NBV-P – “Esse tipo de conhecimento traz orgulho, mas o amor edifica. Se alguém pensa que sabe todas as respostas, está apenas mostrando sua própria ignorância.” |
NTLH – “Essa pessoa está cheia de orgulho e não sabe nada. Discutir e brigar a respeito de palavras é como uma doença nessas pessoas.”
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NTLH – “Esse tipo de conhecimento enche a pessoa de orgulho; mas o amor nos faz progredir na fé. A pessoa que pensa que sabe alguma coisa ainda não tem a sabedoria que precisa.” |
NVI – “é orgulhoso e nada entende. Esse tal mostra um interesse doentio por controvérsias e contendas acerca de palavras, que resultam em inveja, brigas, difamações, suspeitas malignas.” | NVI – “O conhecimento traz orgulho, mas o amor edifica. Quem pensa conhecer alguma coisa, ainda não conhece como deveria.” |
NVT – “é arrogante e sem entendimento. Vive com o desejo doentio de discutir o significado das palavras e provoca contendas que resultam em inveja, divisão, difamação e suspeitas malignas.” | NVT – “O conhecimento traz orgulho, enquanto o amor fortalece. 2Se alguém pensa que sabe tudo sobre algo, ainda não aprendeu como deveria.”
|
TB – “este é cheio de orgulho e nada sabe, mas delira acerca de questões e contendas de palavras, das quais se originam invejas, brigas, calúnias, suspeitas injustas.” | TB – “A ciência incha, mas a caridade edifica; se alguém pensa que conhece alguma coisa, não a conhece ainda como convém conhecer.” |
VFL – “essa pessoa está cheia de orgulho e não sabe nada. Ela tem mania de discutir e brigar por causa de palavras. E destas coisas surgem inveja, desavenças, insultos, desconfianças.” | VFL – “O conhecimento nos enche de orgulho, mas o amor fortalece. Se alguém pensa que sabe alguma coisa, de fato ainda não sabe como deveria saber.” |
Source : Bible YouVersion. 1 Corinthiens 8 et 1 Timothée 6.
Faites donc attention à tout ce texte dans 1 Timothée 6:3-10 (A21) sous le titre “Les dangers de la convoitise”, en réfléchissant à d’autres titres dans différentes versions de la Bible comme “Les faux docteurs et les dangers des richesses” ; « Exhortations et conseils généraux » ; « Faux enseignements et vraie richesse » ; “L’amour de l’argent”:
Se alguém ensina alguma outra doutrina e discorda das sãs palavras de nosso Senhor Jesus Cristo e da doutrina que é de acordo com a piedade, é arrogante e não compreende nada, mas delira em questões e discórdias acerca de palavras; dessas coisas nascem invejas, brigas, calúnias, suspeitas maliciosas, disputas de homens de entendimento corrompido e privados da verdade, que imaginam que a piedade é fonte de lucro. De fato, a piedade acompanhada de satisfação é grande fonte de lucro. Porque nada trouxemos para este mundo, e daqui nada podemos levar; por isso, devemos estar satisfeitos se tivermos alimento e roupa. Mas os que querem ficar ricos caem em tentação, em armadilhas e em muitos desejos loucos e nocivos, que afundam os homens na ruína e na desgraça. Porque o amor ao dinheiro é a raiz de todos os males; e por causa dessa cobiça alguns se desviaram da fé e se torturaram com muitas dores.
Image 26 – Extrait de la vidéo « A Life of Prosperity » à 53:39m
Se você obedecer os princípios que você acabou de aprender… [ipsis verbis] |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
Juste appris de qui ? Obéissez aux principes que vous venez d’entendre de qui ? Principes exégètes[ii] par l’homme de Malafaia, intronisant la théologie de la prospérité. Lorsque les principes bibliques ne sont pas compris littéralement, il y a une forte tendance à leur donner l’interprétation la plus commode.
De plus, pour ne pas être trompé par de faux prophètes (Mt 24:24), les principes auxquels il faut tenir compte sont : a) se garder des manipulateurs de la parole de Dieu, c’est-à-dire des faux prophètes en tant que prédicateurs de qui n’ont aucune base biblique (Mt 7:15; Col 2:8), et b) apprendre à discerner les esprits. Donc, plus important que de négocier avec Dieu pour une vie financière solide, demandez à Dieu de vous donner la sagesse et le discernement spirituel qui se réfèrent aux principaux dons qu’un chrétien devrait rechercher de Dieu (1 Cor 12:8,10).
Les manipulateurs de la foi font croire aux fidèles que “c’est en donnant qu’on reçoit”, contrairement au principe biblique selon lequel Dieu fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes et fait lever le soleil sur les méchants et les bons (Mt 5 :45), aie pitié de qui il veut (Rom 9:18) et bénit qui il veut, quelles que soient les actions de l’homme. Personne n’a à donner pour recevoir; si Dieu veut bénir, il le fera sans condition, car il n’est pas limité aux caprices humains comme le déclarent de nombreux dirigeants d’église : « Je détermine le miracle de la prospérité financière dans votre vie ; donnez la dîme, faites des offrandes abondantes et vous verrez votre succès financier. Qu’en est-il des riches et des millionnaires qui ne sont pas chrétiens, ne croient pas en Dieu et ne donnent pas de dîmes ou d’offrandes dans les églises ? Cependant, il est écrit : « Ne te fâche pas à cause de celui qui réussit dans sa voie, à cause de l’homme qui produit des artifices » (Ps 37:7 – King James). De plus, qui détermine tout, c’est Dieu ; aucun homme n’a le pouvoir de déterminer quoi que ce soit au-delà de ses limites. Lorsque l’homme agit en se sentant comme un dieu, la détermination devient une lourde charge que seul Jésus peut porter, l’en libérant (Mt 11,30). Cette détermination humaine est très dangereuse lorsqu’elle implique des aspects spirituels. Il est urgent d’être très prudent avec ce « je détermine !
4.3.6 QU’EST-CE QUI VIENT D’EN HAUT ?
Ce prédicateur renommé dans les médias, qui a l’art de la rhétorique, a présenté ces principes avec une grande aisance, d’une manière apparemment indiscutable, basée sur la théologie de la prospérité qui, soit dit en passant, est en hausse, mais ne correspond pas à ce que vient d’en haut, c’est-à-dire de Dieu. Car? Voir:
1) La Bible parle-t-elle de prospérité ?
Ouais! Voici quelques versets : Ps 1:3 ; 23:1 ; 128:2 ; Pr 28:25 ; Jr 29:11 ; 2Co 9:8.
2) La Bible dit-elle que c’est Dieu qui vous donne la force et la capacité de générer de la richesse ?
Ouais! — Deutéronome 8:18.
La particule emphatique « est… cela » signifie que c’est Dieu qui fortifie et permet à une personne d’acquérir des richesses et non des dîmes, des offrandes, des aumônes, etc. C’est-à-dire que l’acquisition de la richesse dépend de la libéralité de Dieu en la donnant à l’homme, et non de la libéralité de l’homme en la donnant à l’église ou à quelqu’un d’autre. Voyez-vous comment un jeu de mots change le sens des phrases ? C’est ainsi que les théologiens de la prospérité arrangent leurs discours, qui ne sont pas des prêches !
3) La Bible dit-elle que la bénédiction du Seigneur est ce qui enrichit ?
Ouais! — Proverbes 10:22.
Encore une fois, la présence de la particule emphatique “est cela”, ce qui signifie que la bénédiction du Seigneur est ce qui enrichit la personne et non les dîmes, les offrandes, les aumônes, etc. Autrement dit, pour qu’une personne devienne riche dépend de la bénédiction de Dieu et non des actions ou des ressources humaines. Malafaia a utilisé tout un culte pour enseigner comment s’enrichir au prix d’offrandes volumineuses alors que l’Église du Christ devait s’efforcer de prêcher l’Évangile et ses saines doctrines pour l’édification spirituelle des fidèles ; L’enseignement de la Bible ne doit jamais être remplacé par d’autres moyens qui nuisent au dessein divin du salut pour toute l’humanité. La vérité scripturaire à tous égards et à toutes fins est irremplaçable. Il n’y a pas de ressources qui peuvent remplacer les moyens de Dieu pour donner à son peuple ce qu’il sait correspondre à ses besoins réels. Cette technique consistant à “attirer l’attention du peuple de Dieu” basée sur des textes bibliques mal expliqués, comme l’abondante récompense par les dîmes et les offrandes dont le véritable contenu n’est pas correctement enseigné dans les églises, est antichrétienne, non biblique, et peut conduire de nombreuses personnes à s’écarter du Chemin et se laisser tromper : « Malheur à eux ! Parce qu’ils ont marché dans la voie de Caïn, avides de gain, ils se sont jetés dans l’erreur de Balaam, et ont été engloutis par la mort dans la rébellion de Koré » (Jude 1:11).
La question en évidence ici concerne l’encouragement d’une foi anthropocentrique au détriment d’une foi christocentrique, donc au lieu d’amener les gens à se convaincre de leur nature pécheresse et à rechercher la régénération pour atteindre le salut, ils utilisent les églises comme sources de revenus. profits et avantages tant financiers que sociaux (quand on parle de bienfaits spirituels c’est seulement pour atténuer le poids de cette vérité), amenant les fidèles aux mêmes intérêts, les détournant de l’objectif principal pour lequel Jésus a donné sa vie ; celle-ci est reléguée au second plan.
4) Lorsqu’une personne croit au Seigneur Jésus et est transformée par l’évangile, cette personne prospère-t-elle ?
Ouais! – Ph 4:11-13.
La Bible dit que celui qui aime Dieu est prospère, car il apprend de lui à se contenter de n’importe quelle situation, ayant beaucoup ou peu, étant grand ou petit. Être prospère n’est pas être financièrement riche. Avoir la prospérité n’est pas avoir de la richesse financière. Il y a beaucoup de confusion dans l’utilisation de ce terme et de ses dérivés.
Tous les croyants ne seront pas riches en argent, mais il sera certainement riche de la grâce abondante de Dieu sur sa vie, car Dieu promet de donner à ceux qui l’aiment, lui obéissent et lui font confiance tout ce dont ils ont besoin, c’est-à-dire . Ce n’est pas nécessairement tout ce que vous voulez, mais tout ce dont vous avez besoin qui peut répondre aux besoins, c’est la prospérité. Les partisans de la théologie de la prospérité utilisent même ces mots, mais leur application pratique diverge de ce qu’ils disent parce qu’ils mettent toujours l’accent sur le rendement financier.
Comment appréhender la prospérité sans être exclusivement d’un point de vue financier ? Par exemple, au lieu de dépenser de l’argent dans des boissons alcoolisées qui ne mènent qu’à des pièges, au lieu d’investir de l’argent dans des addictions, dans la compulsion, dans des actes de plaisir momentané aux conséquences durables et néfastes comme le sexe perverti ou l’adultère, au lieu de se livrer à des choses inutiles, un personne, chrétienne ou non, prospérera en agissant contrairement à ces comportements. Comme ça?
Une personne qui investit son salaire dans des choses rentables, qu’elles soient grandes ou petites, sera prospère, car elle agit avec rationalité en investissant son argent à bon escient, sans le gaspiller dans des choses futiles ou nuisibles. Cette attitude ouvre la porte à la voie de la prospérité – assurance de la paix intérieure, de la paix familiale, de la paix spirituelle, de la paix émotionnelle, de la paix dans tous les sens. C’est la prospérité !
Donc, si la prospérité est quelque chose de bénéfique, où est le problème avec la théologie de la prospérité ? La réponse réside dans la question : la théologie de la prospérité prêche-t-elle les principes bibliques exactement tels qu’ils sont décrits ? Par exemple:
a) Est-ce que quelqu’un devient riche parce qu’il est devenu évangélique, puisque beaucoup de miracles se trouvent dans l’évangile ?
Beaucoup confondent la prospérité avec la bénédiction de Dieu, comme si elle limitait la vérité biblique, car il y a des riches-pauvres et des riches-pauvres. Jésus était-il riche-pauvre ou pauvre-riche ? L’apôtre Paul était-il riche-pauvre ou pauvre-riche ? Le fait d’être pauvre financièrement n’empêche pas une personne d’être riche en vertus, d’être riche spirituellement, de sorte qu’elle pourra jouir de nombreux dons de Dieu avec peu de ressources financières.
La mesure de la pauvreté ou de la richesse d’une personne n’est pas dans ses possessions matérielles, dans les biens qu’elle possède, dans son compte en banque, mais dans ce qu’elle est, dans ce qu’elle fait, et, plus encore, dans combien elle craint Dieu. . Un pasteur riche financièrement qui ne craint pas Dieu puisqu’il n’explique pas le texte sacré selon la vérité biblique, même avec le facteur aggravant d’influencer négativement ses auditeurs – brebis du royaume de Dieu qui peuvent se perdre au milieu de la bergerie – est un pasteur pauvre spirituellement, pauvre en communion avec Dieu.
Contrairement à l’apôtre Paul qui, au milieu de sa pauvreté financière, a influencé le monde entier avec ses paroles de foi basées sur la vérité de l’Évangile tel qu’il est, exempt d’exégèse intentionnelle. S’il devait passer par le tamis de la théologie de la prospérité, il serait certainement réprimandé pour être considéré comme un raté qui n’a pas grandi financièrement parce qu’il “a fait quelque chose de mal, n’a pas suivi correctement ce qui a été enseigné dans l’église par le pasteur” qui, soit dit en passant, réussit financièrement. « C’est sa faute et non celle du pasteur, ni la doctrine reçue. Lui qui n’a pas su appliquer correctement les enseignements reçus ».
C’est la rhétorique des orateurs de la théologie de la prospérité pour ceux qui ne peuvent pas cesser d’être financièrement pauvres, peu importe combien ils donnent à l’église, peu importe combien ils contractent des prêts à offrir à l’église, peu importe combien ils retirent des montants de carte de crédit à offrir à l’église, peu importe combien ils prélèvent sur leur propre salaire pour offrir dans l’église les sommes dont ils auront besoin plus tard, peu importe combien ils font vœu d’offrir de grandes quantités et de les accomplir, peu importe combien ils obéissent aux instructions de leurs pasteurs faire des offrandes à l’église. Est-ce cela que Dieu enseigne dans sa parole ? La parole de Dieu soutient-elle l’herméneutique fallacieuse de la théologie de la prospérité ?
b) Est-ce que quelqu’un devient riche en donnant à l’église une grande offrande en espèces, basée sur l’argument que plus une personne donne, plus elle recevra ?
Si vous donnez peu, vous recevrez peu ; si tu donnes beaucoup, tu recevras beaucoup », comme le prêchent de nombreux pasteurs (pasteurs ?!), profitant sans scrupules du texte sacré où il est écrit : « Qui sème peu, récolte peu ; qui sème beaucoup, moissonne beaucoup » (2 Co 9, 6).
Dieu rend, mais il ne faut pas faire les choses avec cet intérêt. Que la réception de Dieu soit quelque chose de naturel et non prémédité. Que la personne soit généreuse et non calculatrice ! C’est pourquoi il est écrit : « Le Seigneur regarde au cœur » (1 Samuel 16 :7). Quel est le cœur des adeptes de la théologie de la prospérité face à cette vérité biblique ?
Comprenez la véritable interprétation du texte sacré dans 2 Corinthiens 9. Contribuer équivaut à semer des graines : si vous plantez 3 graines, vous récolterez 3 fruits. Lors de la plantation ou de l’offrande, la personne reçoit plus de Dieu pour pouvoir offrir encore plus car Dieu est satisfait de son attitude d’abnégation, de détachement total, de libéralité (Ps 112:9). Cette attitude révèle que la personne n’a d’autre intérêt que d’aider ceux qui en ont besoin, d’aider l’église à aider ceux qui en ont besoin ; recevoir de Dieu sera quelque chose de naturel et non basé sur la compréhension que donner recevra. A partir du moment où une personne va offrir, sachant qu’elle recevra encore plus, elle n’est plus libérale et est devenue intéressée. Elle a déjà perdu la vertu d’offrande désintéressée, elle a déjà perdu le sens de la libéralité (2 Co 9, 13).
La libéralité ne consiste pas à donner avec l’intention de rendre, mais à donner sans intention de rendre, de sorte qu’elle ne correspond pas à l’orientation malafaïque selon laquelle « si vous donnez généreusement, vous gagnerez encore plus ; si vous donnez beaucoup, vous gagnerez encore plus » – le sens de la clause subordonnée adverbiale conditionnelle perd de sa vertu par rapport au sens donné par la clause principale. Où est la libéralité là-dedans ? La libéralité signifie la générosité, c’est-à-dire le détachement de l’argent qui se révèle dans l’attitude d’une personne qui offre quelque chose ou une offrande dans l’église « sans rien attendre en retour » ; ne fait pas d’offre visant à obtenir un meilleur rendement financier.
Par conséquent, la question n’est pas nécessairement le retour financier, mais la vision de ce retour, l’intention de cette offre, la motivation pour faire ce don dans l’église. C’est le problème!!! Où y a-t-il de la prospérité là-dedans ? Où y a-t-il du détachement là-dedans ? Où y a-t-il de la libéralité là-dedans ? En d’autres termes, les contresens du texte biblique sont clairs, face à une exégèse erronée et biaisée, très loin de ce que le texte veut vraiment signifier. Ne te trompes pas!!! Le vrai chrétien peut demander à Dieu le don de discernement des esprits afin de ne pas être trompé par de faux prophètes, qui utilisent à volonté la parole de Dieu à leur convenance, usurpant le vrai sens des textes scripturaires.
c) Les donateurs d’église peuvent-ils faire l’expérience de la multiplication de leur argent en négociant avec Dieu ?
Ce n’est pas parce que Jésus a multiplié les pains et les poissons qu’il doit multiplier son argent !!!
Dans ce contexte religieux, non de pure foi, mais de petits intérêts, les miracles de la multiplication (2 R 4, 42-44 ; Mt 14, 20-21 ; 15, 36-38) dont beaucoup profitent pour fortifier la théologie de prospérité que tant défendent avec des clous, des dents et des arguments fallacieux ne s’expliquent jamais à la lumière du véritable but biblique : le salut de l’humanité par la puissance de Dieu qui, en tant que Logos incarné – Jésus, est le Pain de vie (Jn 6 :33-35) qu’il met fin à la faim physique, spirituelle, émotionnelle – il donne la vie au monde qui le reçoit comme nourriture vivante qui satisfait tous les besoins par la foi. Les besoins ne sont pas des vanités ; sont des besoins. C’est ce que beaucoup sont incapables de comprendre et comptent encore sur de mauvais interprètes pour les tromper quant aux véritables pratiques de Jésus, ses raisons et ses buts. Pourquoi donc n’enseignent-ils pas cette vérité, qu’étant en communion avec Dieu, on a tout ce dont on « a besoin », rien que le nécessaire ; ce qui est nécessaire est ce qui est nécessaire et il faut s’en contenter (1 Tm 6, 8) ; cependant, qui est prêt à entendre cette vérité et à se sentir pleinement béni par Dieu ?!
La vérité est que si Dieu veut donner plus, au-delà de ce que quelqu’un a déjà, il le fera indépendamment des offrandes ou de tout service rendu dans son royaume avec des arrière-pensées. De plus, Dieu n’est pas un agent d’assurance investi dans un but lucratif, ni un serveur prêt à nous servir en un claquement de doigts. Dieu n’est pas obligé de multiplier l’argent de quiconque pour faire des offrandes grandes ou petites. Dieu bénit qui Il veut, quelles que soient ses actions (Rm 9.18 ; Mt 5.45).
Enfin, si quelqu’un est dans l’église avec ces pensées de recevoir et de recevoir de plus en plus, celui qui va à l’église pour des bénédictions au lieu d’aller chercher le Propriétaire de la bénédiction, n’a en fait aucune intention d’être avec Dieu, mais seulement de explorer Dieu. Celui qui poursuit ces misérables buts a déjà reçu sa récompense (Mt 6, 2) : ceux qui font des offrandes devant les hommes « religieux » (ceux qui prétendent être des serviteurs de Dieu, mais qui sont des serviteurs de la poche ; des esclaves du métal vil , mais pas du Christ [1 Co 7:21-23]) et ceux qui font des offrandes avec l’intention dérisoire d’augmenter les bénéfices des offrandes – et vous ne pouvez pas servir Dieu avec cet esprit et ce cœur, car cela n’est pas dans en accord avec les desseins divins, mais avec l’idolâtrie de Mammon (Mt 6:24).
La foi biblique, c’est faire confiance à Dieu et ne pas recevoir de dons (Jer 17:7). Être béni est une conséquence de la foi et de la communion avec Dieu.
Image 27 – Extrait de la vidéo « A Life of Prosperity » à 1:00:17h
Panhei um dinheiro emprestado (CDC) pra trazer pra igreja porque eu não tinha… na campanha que nós fizemos aqui. (…) [Deus falou para ele:] A sua semente frutificou na sua vida. |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
D’abord, il dit qu’après avoir offert rien de bon ne lui est arrivé sauf une dette qui a duré jusqu’à l’année suivante, et après un certain temps, elle a commencé à porter ses fruits, car ce n’est que plus tard qu’il a appris que ce qui est planté aujourd’hui a un temps de maturation . Autrement dit, vous offrirez aujourd’hui, mais il ne garantit pas que vous récolterez demain ; il n’y a qu’une promesse de prospérité, mais aucune garantie de prospérité immédiate. Vous n’avez pas d’argent à donner ? Contractez un prêt pour ce faire, car avec le temps, vous en récolterez les fruits. Bien qu’avec lui cela se soit passé différemment selon le rapport de la deuxième expérience ci-dessous :
Malafaia se remémorant une expérience :
Image 28 – Extrait de la vidéo « A Life of Prosperity » à 1:03:25h
Mas lá no meu coração disse assim: ‘Dê a maior oferta que você já deu até hoje’. Tá amarrado, Satanás. Diabo, tu ta falando aqui dentro da igreja?! (ele ri) Capeta, sai!!! Aqui no meu coração: ‘Dê a maior oferta que você já deu até hoje na sua vida’. Eu falei: Não, não posso. ‘Você ouviu a palavra? A fé vem pelo ouvir e ouvir a palavra. Você pode crer. Você não tá apertado? Então essa é a melhor hora de você semear’. Vou fazer uma maluquice aqui. E aí eu fui me lembrar qual foi a maior oferta que eu já tinha dado no meu ministério e me lembrei que foi R$100.000,00. Eu tô ficando maluco; a minha oferta tem que ser maior do que R$100.000,00. ‘Uma vozinha disse: Você tem trinta dias pra efetuar a oferta’. Não, tem que ser agora. Peguei meu talão de cheque (…) R$ 120.000,00; tinha que ser maior do que R$100.000,00. Fui lá na frente, botei o envelope, o pastor orou. (…) Uma irmã me pegou pelo braço e disse assim: ‘Eu e meu marido decidimos mandar R$60.000,00 pro seu ministério’. Ela (a oferta) não demorou um minuto depois da oração. No outro dia de manhã, (…) eu abri o bilhete e tava escrito assim: ‘Mês que vem, eu vou enviar R$87.000,00 pra ajudar na compra da propriedade’. Em menos de doze horas (…) soma, irmão, R$60.000,00 com R$87.000,00 são R$147.000,00 e o Espírito Santo falou ao meu coração: ‘Isso é só o princípio’. Irmãos, em nome do Senhor Jesus, receba aqui essa palavra porque Deus quer fazer isso na tua vida. Deus quer que a tua semente frutifique.” (1:08:47 – palmas, mas nem todos). |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
Lors de la première expérience, il a contracté une énorme dette pour avoir décidé de faire une offre basée sur un prêt bancaire. L’esprit est déjà préparé pour celui qui n’offre et ne reçoit rien en retour comme celui dont la dette s’étend jusqu’à l’année suivante ; c’est-à-dire que l’auditeur pensera: «Oh, si cela lui est arrivé, cela m’arrivera; Je persévère juste. Donc, je vais proposer, je vais faire de même, prendre un prêt… ». Cependant, lors de la deuxième expérience, il a récupéré 147 000 jusqu’au lendemain. Quel exemple ! Voilà un oxymore qui prépare le cœur à ne pas recevoir et à recevoir. c’est-à-dire qu’il n’y a aucune garantie de quoi que ce soit, comme si tout votre discours antérieur ne pouvait pas confirmer le rendement rentable qu’il suggère. Avec lui, c’est arrivé juste après l’offre, et le lendemain, il restait, mais avec d’autres, cela peut être demain ou longtemps plus tard, ou jamais, selon que la personne fait les choses correctement ou non. En fait, a-t-il fait ce qu’il fallait dans les deux expériences ? C’est exactement ce que Dieu exige de l’offrant, faire un CDC ou donner un chèque dont le compte ne couvre pas le montant déterminé “avec l’œuf dans la poule”, c’est-à-dire compter sur quelque chose d’incertain, dans l’attente que plus tard “Dieu fournira” la valeur du compte ? Ne serait-ce pas tenter Dieu (Mt 4:7) ? Chaque fois que quelqu’un agit délibérément avec la conscience qu’il ne peut pas répondre à une demande à laquelle il se soumet, mais la met néanmoins en pratique dans l’espoir que Dieu y répondra et pardonnera son incursion dans les ténèbres, il tente Dieu. . Tenter Dieu pourrait-il être synonyme de foi ?!
Dieu fait vraiment des miracles, prospère, récompense. Dieu est celui qui connaît toutes choses ; les gens imaginent. Mais il est certain que Dieu agit avec chacun d’une manière personnelle et spéciale selon son omniscience et sa justice. L’expérience avec Dieu ne sera jamais une “recette de gâteau”. Là-dessus, il semble être d’accord, car à 59 min 48 s il dit : « Je ne dis à personne de faire ça ; Je dis ‘Moi, Silas Malafaia’ ». Par conséquent, rien de mieux que d’être attentif à la voix de Dieu sur la façon dont il parlera à votre cœur pour faire une certaine offre dans votre église. Aussi utile et instructif qu’un témoignage soit, il ne peut pas être suivi par une autre personne également, à moins que Dieu ne le révèle à votre cœur.
Vous ne pouvez pas essayer d’imiter le succès des autres, car ce qui fonctionne pour l’un n’est pas toujours bon pour l’autre ou ce que Dieu vous a dit parlera de la même manière pour l’autre. Par conséquent, même s’il a supposé que c’était sa position, c’est toujours inductif. La vérité est que Jésus n’a pas utilisé une méthode inductive, mais a fait que les gens regardent en eux-mêmes et non sur les autres. Malafaia s’est protégé en disant qu’il n’ordonnait à personne de faire comme lui, mais qu’il aurait pu faire mieux, guidant l’église pour qu’elle agisse comme suit : « C’est mon expérience, mais vous devez écouter ce que Dieu va vous dire. à ton cœur après ce message que j’ai envoyé ; ne vous contentez pas de le garder à l’esprit, non. Priez et écoutez la voix de Dieu, car il se peut qu’il vous dise qu’il ne veut pas que vous offriez de l’argent dans l’église, mais que vous avez une autre façon de lui offrir votre service dans l’église ou même à l’extérieur en son nom ; par exemple, faire du travail de rue comme prêcher, aider dans les hôpitaux, les prisons, les communautés, etc. On ne sait pas exactement quel travail Dieu veut que nous fassions jusqu’à ce que nous recevions directement de lui, Dieu lui-même, la direction que nous devons suivre, la manière d’agir, la bonne chose à faire.
Il est bon que chaque témoignage se termine par la précision qu’il s’agit d’une réponse divine à une manifestation de foi ; Que ce soit toujours pour encourager la foi. Que chacun cherche Dieu et reçoive de lui des instructions sur ce qu’il faut réellement faire dans son royaume et dans certaines circonstances de la vie personnelle (Ps 32, 8). Sinon, chacun quittera une église en voulant faire la même chose qu’il a entendue et le résultat ne sera pas toujours satisfaisant car il ne correspondra pas toujours à ce qui était attendu. De là à la désillusion et à un éloignement conséquent de Dieu, il y a un saut :
Quanto a estes pequeninos que creem em mim, se alguém for culpado de um deles me abandonar, seria melhor para essa pessoa que ela fosse jogada no lugar mais fundo do mar, com uma pedra grande amarrada no pescoço. Ai do mundo por causa das coisas que fazem com que as pessoas me abandonem! Essas coisas têm de acontecer, mas ai do culpado! (Mt 18:6,7).
Les petits : non seulement les enfants, mais aussi les autres disciples de Jésus qui étaient « faibles dans la foi », c’est-à-dire des personnes dont la foi n’était pas encore forte et mûre (1 Co 8, 9). L’église de Jésus est pleine de personnes dans cet état de fragilité spirituelle et d’immaturité chrétienne, de sorte que toute déception résultant d’un manque de compréhension est une raison suffisante pour quitter l’église, non pas le bâtiment physique, mais l’église spirituelle qui correspond à l’Epouse du Christ. qu’elle est soutenue par la foi et non par les ressources humaines.
À propos de 2 Chroniques 20:20 :
Image 29 – Extrait de la vidéo “A Life of Prosperity” à 1:12:07h
“Crede nos seus profetas e prosperareis”. Eu sou profeta de Deus para tua vida aqui essa noite. (…) vc vai pedir um dinheiro emprestado… e vai plantar na tua igreja (…) não vou dizer pra você que vai ser na semana seguinte… você vai colher. |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
Je suis le prophète de Dieu pour votre vie.
Quel effet cette déclaration d’auto-droit peut-elle avoir sur un auditeur ? Il est naturel de se sentir contraint d’obéir à la voix de votre interlocuteur, surtout lorsqu’il s’agit d’un pasteur prêchant la parole de Dieu au sein de l’église au milieu d’un service. Naturellement, la tendance de l’auditeur dans ce cas sera de chercher à obéir au pasteur dans toutes ses instructions de peur de devenir un rebelle contre la parole entendue car il croit que de telles instructions viennent directement de la bouche de Dieu dans la bouche du prophète autoproclamé.
Cependant, le faux prophète a toujours tendance à blâmer ses disciples pour ses échecs. Ils déclarent catégoriquement que la faute de ne pas obtenir les choses est toujours le croyant qui ne croit pas assez, que sa foi est faible, car les paroles et les directives du pasteur sont toujours parfaites. L’argument de Malafaia est intéressant (à 3 et 6 minutes de la vidéo précitée) : « La seule façon pour vous d’avoir une vie de prospérité (…) de ne pas manquer et même d’épargner, c’est d’être libéral. ‘Hé, pasteur, pourquoi ça ne marche pas pour moi ? Pourquoi est-ce que je fais une offre et que ça ne marche pas?» Peut-être que vous n’avez pas les bonnes attitudes; c’est peut-être la raison. Aujourd’hui, vous apprendrez ce qu’est vraiment l’offre. Quelles sont vos attitudes ? Peut-être que vous vous trompez ici : vous faites même une offre, mais vos attitudes ne sont pas des attitudes réelles et correctes comme le dit la Bible dans l’acte de donner et c’est pourquoi vous n’avez aucun résultat. Es-tu prête, chérie ?!”
La rhétorique habituelle ! La faute revient toujours à l’offrant qui est « accusé » d’avoir fait quelque chose de mal !!! Jésus accuse-t-il quelqu’un ? Qui porte généralement des accusations ?
De plus, une personne sait quand elle reçoit un appel de Dieu, et c’est vrai ; une expérience personnelle que personne ne peut connaître, seulement moi et Dieu, et donc personne ne peut la réfuter. Cependant, c’est quelque chose dont une personne ne se vante pas, remplissant sa bouche pour déclarer au monde qu’il est un prophète de Dieu, qu’il a un appel divin, parce que celui qui l’a, Dieu le sait et n’importe qui comprend sans avoir à dire n’importe quoi. . Alors pourquoi continuer à essayer de l’instiller dans l’esprit des autres si c’est quelque chose qui se produit spontanément par la puissance de Dieu ?
Image 30 – Extrait de la vidéo « A Life of Prosperity » à 1:13:10h
Eu vou emprestar pra quinze de vocês, R$20,00, pra quem quiser, pra cada um de vocês que levantaram a mão que tá desempregado, e quando essa semente frutificar, você vai me devolver. Eu vou emprestar pra vinte, quer? Então, vem. Não tô dando; tô te emprestando. Você vai plantar essa semente (palmas). Vou diminuir pela quantidade. Tome; é pra plantar. Você não é membro dessa igreja, então não dê isso aqui agora; se você é membro daqui vai plantar agora; se não é membro daqui, vai plantar lá na sua igreja. O capeta vai arrumar mil coisas pra tu gastar esses dez conto. To avisando pra vocês: o capeta vai arrumar mil coisas pra você gastar esses dez conto. Não to dando nada pra ninguém; to emprestando. E a quem eu to dando você vai contar o que Deus vai fazer no tempo de Deus, (palmas). Eu vou emprestar pra vinte, pra quinze. Você vai plantar essa semente (aplaudem-no ao dar dinheiro para a igreja). Não to dando nada; to emprestando. |
Source : Extrait de la vidéo « Une vie de prospérité ». Silas Malafaia Officiel (2018)
Réponse argumentative :
S’il encourageait les gens à emprunter de l’argent, il serait louable qu’il ait eu la brillante idée de prêter lui-même de l’argent à ses auditeurs. Ils faisaient ce pacte « avec lui, pour lui, c’est sur lui » – Malafaia –, un pacte, un accord avec lui pour le lui rendre après la récolte ; un accord avec un homme et non avec Dieu.
Se vocês emprestam somente para aqueles que vocês acham que vão lhes pagar, o que é que estão fazendo demais? Até as pessoas de má fama emprestam aos que têm má fama, para receber de volta o que emprestaram. Façam o contrário: amem os seus inimigos e façam o bem para eles. Emprestem e não esperem receber de volta o que emprestaram e assim vocês terão uma grande recompensa e serão filhos do Deus Altíssimo (Lc 6:34,35).
Il prête de l’argent à l’église pour qu’elle puisse planter et, après avoir fructifié, lui rendre ce qu’il lui a prêté. Ceci en soi contredit le texte biblique ci-dessus. De plus, c’est un investissement stratégique petit et soudain pour atteindre un objectif beaucoup plus grand, quelque chose d’imperceptible à l’oreille nue. Il faut être attentif, ce que beaucoup préfèrent ne pas prendre la peine de faire : il est plus facile de rester négligent car on préfère croire que l’on fera bien quelque chose que d’activer et d’exercer l’écoute spirituelle qui révèle la vérité même s’il n’est pas compatible avec une attente momentanée.
Pourtant, contrairement au texte sacré, « Tu n’emprunteras pas. Et le Seigneur fera de toi la tête et non la queue ; et tu ne seras qu’au-dessus, et non au-dessous, quand tu obéiras aux commandements de l’Éternel, ton Dieu » (Dt 28:12,13), a incité beaucoup d’entre le peuple de Dieu à se lever et à s’abaisser devant l’assemblée afin d’emprunter l’argent parce qu’ils n’ont pas été guidés selon cette parole d’exhortation divine, se plaçant hors de la parole de Dieu. Même s’il y a du péché ou de l’erreur dans la vie d’un croyant, il n’est pas nécessaire de s’exposer à quelqu’un qui ne peut aider que Dieu. L’un a offert de prêter, mais l’exposition était devant beaucoup de gens qui n’avaient rien à voir avec l’entreprise. La prédication qu’il aurait dû faire, il ne l’a pas fait. « Nous ne sommes pas comme beaucoup qui font de la parole de Dieu un article de commerce, qui délivrent le message de Dieu comme s’ils faisaient des affaires. Au contraire, c’est Dieu qui nous a envoyés, et c’est pourquoi nous prêchons sa parole en sa présence comme messagers du Christ avec sincérité et avec l’autorité du Christ, sachant que Dieu nous regarde » (2 Co 2, 17).
Comme il est déduit du texte biblique que la foi vient de l’ouïe, il faut être prudent avec ce qui est entendu, car, à travers l’ouïe, il est enregistré dans l’esprit et dans le cœur qui n’a pas toujours à voir avec le message qui est proclamé par le commandement du Christ (Rom 10:17). Cela peut avoir des conséquences néfastes pour la vie spirituelle devant Dieu. À quoi cela ressemblerait-il d’écouter la voix de l’homme plutôt que la voix de Dieu ? Ce serait ne pas recevoir la bonne direction ou orientation qui reflète la parole révélée de Dieu, c’est-à-dire un discours évangélique basé spécifiquement sur le texte biblique sans interventions humaines puisque la foi ne vient pas de l’homme, mais de Dieu. Les astuces argumentatives ne reflètent pas l’essence de la parole de Dieu. Cependant, les brebis vigilantes et prudentes connaissent la voix du berger et savent la discerner d’une voix qui sonne étrangement. (Jean 10:14). Leurs oreilles spirituelles comprennent ce que l’Esprit leur dit, elles ne sont donc pas confuses.
5. RÉSULTATS
Compte tenu des doctrines chrétiennes, il faut se demander si elles sont conformes aux enseignements contenus dans les Saintes Écritures, en se basant sur la cohérence des arguments proposés par rapport aux textes bibliques ; il doit y avoir une harmonie entre ce qui est compris et ce qui est réellement écrit afin de ne pas nuire à la prédication de la Parole de Dieu. Si un enseignement est basé sur un texte biblique, même si son interprétation n’inspire pas confiance parce qu’elle contredit les principes scripturaires, le seul fait qu’il ait une base biblique suffit à étayer les propos de son émetteur. Il est vrai que la Parole de Dieu enseigne de grandes vérités telles que la guérison, la satisfaction des besoins, la foi et l’autorité des croyants, mais elle exige également que l’esprit chrétien soit discipliné en ce qui concerne la structure de l’enseignement total de l’Écriture, et non des contextes séparés. ou des versets de la Bible dans son ensemble, comme une application de textes hors contexte, ce qui peut conduire à des abus concernant les grandes vérités de la Parole de Dieu et cela causera de sérieux problèmes. (CONSEIL GÉNÉRAL DES ASSEMBLÉES DE DIEU, 1980, p. 9).
Les résultats obtenus indiquent que les données observées présentent des divergences entre ce qui est prôné en faveur de la Théologie de la Prospérité et ce qu’elle suppose comme bibliquement accepté alors qu’en fait, il existe des conflits d’interprétations concernant les textes bibliques. Il existe un degré de discordance entre ces deux facteurs qui révèle les difficultés d’interprétation des textes étudiés. Cela implique la nécessité de poursuivre l’analyse de ce sujet puisqu’il ne se limite pas au cas spécifique de la vidéo analysée et des textes étudiés ici.
6. CONSIDÉRATIONS FINALES
Pourquoi la théologie de la prospérité n’est-elle pas bibliquement acceptée ? Théologie de la prospérité ?! De quelle prospérité parle cette théologie ? Il ne traite que de la prospérité matérielle, qui implique des gains financiers, des richesses et d’autres réalisations similaires, au détriment de la prospérité morale – qui implique l’amélioration du caractère et de la personnalité, la prospérité émotionnelle – qui implique la sagesse de faire face aux circonstances qui ébranlent les émotions, la prospérité sentimentale – qui implique la disposition mentale à bien gérer les sentiments par des réactions positives. Le texte biblique, dans son intégralité, cherche à guider ses lecteurs dans ce sens d’amélioration de l’être au-dessus des valeurs matérielles, car ce ne sont pas les richesses matérielles qui dignifient la personne, mais ce qu’elle est et comment elle réagit aux intempéries de la vie, quelque chose qu’aucun argent au monde ne peut offrir à personne. Comme le dit Rossi (2015), ce type de théologie produit un type de société dans laquelle les seules valeurs sont la commodité et le profit, où les gens connaissent le prix de tout mais ne connaissent la valeur de rien, où les choses sont aimées et personnes manipulées. La Bible incite les gens à appliquer la loi d’être plutôt qu’avoir, mais la théologie de la prospérité va à l’encontre de ce principe.
La théologie de la prospérité n’est pas bibliquement acceptée car, comme décrit dans Biblical Answers (2022), la théologie de la prospérité est une hérésie qui promet beaucoup de richesse et de succès matériel à ceux qui ont foi en Dieu; cependant, contrairement à cette affirmation, selon la Bible, il y a des choses beaucoup plus importantes que les biens matériels. Cette théologie enseigne qu’être croyant implique un échange commercial de sorte que si l’on investit en Dieu, Dieu rend plus. En plus de ces paroles qui ne sont pas en harmonie avec le texte sacré, elles ne s’appliquent pas à la réalité pratique de la vie chrétienne, connue de tous. Parmi les diverses idées fausses trouvées par Vinicius (2021) dans la théologie de la prospérité, considérer que la prospérité est une priorité de l’évangile contredit la vérité biblique selon laquelle le message principal de l’évangile est de présenter le plan de salut de Dieu à l’humanité corrompue par le péché. Le texte biblique lui-même corrobore cette vérité lorsqu’il souligne que si un homme perd son âme, elle ne vaudra rien pour gagner le monde entier (Mc 8, 36). Ainsi, Vinicius (ibid.) dit que s’il est nécessaire que quelqu’un traverse des difficultés terrestres pour obtenir la vie éternelle, Dieu ne les empêchera pas de se produire. Par conséquent, il est conclu que la théologie de la prospérité est une théologie non biblique.
Il est facile de parler de la prospérité d’Abraham comme le dit Malafaia dans la vidéo étudiée à 38:20 m, et de vouloir profiter des bénédictions matérielles et des richesses abrahamiques, mais très peu de gens veulent vivre l’expérience d’Abraham lorsqu’il a reçu de Dieu l’ordre de tuer son propre fils (Gn 22, 2). Combien ne peuvent livrer ne serait-ce qu’une petite marchandise, un bien éphémère, encore moins un être aussi précis qu’un enfant !
Il est facile de parler de la prospérité de Job, mais presque personne ne veut vivre l’expérience de Job de résistance et de persévérance dans la foi en Dieu malgré toutes les souffrances et toutes les angoisses et toutes les douleurs et toutes les pertes qu’il a subies.
Beaucoup de prédicateurs désirent avoir le respect et l’admiration des prophètes de Dieu, les apôtres de Jésus, les vrais hommes de Dieu pour les révélations et l’autorité qu’ils ont reçues de lui, ainsi que beaucoup d’autres en plus des personnages bibliques, mais personne ne veut payer le prix qu’ils ont payé pour être ce qu’ils étaient (et ce qu’ils sont).
Il est très facile de souhaiter le bonheur que l’on voit maintenant dans la vie de quelqu’un, mais personne ne veut traverser ce qu’il a traversé pour y arriver.
La théologie de la prospérité se préoccupe de parler de la prospérité et des joies qui en découlent, mais pas des souffrances qui la précèdent. Être chrétien suppose naturellement l’acceptation de conquêtes, mais aussi d’expériences douloureuses, car l’homme ne vivra pas seulement de pain, comme l’a dit Jésus-Christ, en qui tout chrétien devrait regarder comme le premier exemple, en plus d’être guidé pour rendre grâce pour tout, c’est-à-dire pour toutes les circonstances de la vie (Mt 4, 4 ; 1 Th 5, 18).
Les récompenses de la plantation peuvent se produire en relation avec cette vie présente, la vie éternelle ou les deux. Ce que l’apôtre Paul veut souligner à propos de la loi des semailles, c’est que les croyants du Christ donnent gratuitement, ce qui signifie ne pas être liés à une quelconque action égoïste comme donner pour recevoir beaucoup plus en retour, ce qui serait un acte de convoitise. , quelque chose qui s’écarte des commandements divins. Par conséquent, il n’a pas l’intention de manipuler les croyants pour qu’ils donnent beaucoup afin de recevoir beaucoup plus, mais il entend établir la vérité que vous récoltez ce que vous semez et dans la même proportion en ce qui concerne le retour de ce que vous pratiquez. Ce n’est pas spécifiquement lié aux questions de donner de l’argent à l’église, mais principalement à ce qui est fait pour la moisson dans le royaume de Dieu concernant ce qui est donné ou offert comme les vertus décrites tout au long du texte sacré pour atteindre les âmes. . . , et cela n’implique pas seulement de l’argent, mais un soin spirituel, émotionnel, à travers le don volontaire de la parole de Dieu au cœur dans le besoin.
Le vrai croyant a besoin de se donner sans réticence, avec bonne volonté, son offrande étant un acte volontaire (2 Co 9, 7), et non par pression, contrainte ou compulsivement dans la mentalité charnelle qu’il doit donner pour recevoir. Dieu lui-même n’est pas satisfait d’une telle attitude. Combien en ce moment d’offrande dans l’église n’ont pas à donner et se sentent contraints par la honte, le sentiment d’infériorité ? Combien doivent donner et le font uniquement pour gagner encore plus ? Combien le font par peur des citations bibliques de Malachie 3 : 11, Joël 1 : 4, etc. dont profitent de nombreux prédicateurs qui défendent la dîme, qui effraient les fidèles en les menaçant de voler Dieu, méprisant ses commandements, s’ils ne le font pas ? Ils n’enseignent pas correctement la différence dans l’application de la dîme dans l’Ancien Testament et dans le Nouveau Testament, un sujet si vaste et si riche pour discuter des vertus et des inconvénients découlant de la manière dont sa pratique est développée.
Lorsque l’argent est versé dans l’église sous cette mauvaise orientation, c’est une forme involontaire de don, d’abandon, quand votre cœur voudrait le faire d’une autre manière comme donner directement aux pauvres de la communauté, à un parent dans le besoin , mais finit par y donner ce qu’il voulait donner à un autre, ce qui aurait le même effet devant Dieu ; ce faisant, vous feriez certainement plus à Dieu et plairez à votre cœur que de donner de force à l’église pour plaire aux pasteurs par culpabilité ou par peur de la condamnation – embarras élucidé dans 2 Corinthiens 9: 7. La vérité dans tout cela est qu’aucun chrétien croyant en Christ ne devrait succomber aux paroles falsifiées de pasteurs qui déforment l’enseignement biblique sur la question des dîmes et des offrandes pour l’intérêt personnel parce qu’ils ciblent l’église comme une source de profit. C’est la voix de Dieu qu’il faut écouter et non la voix des hommes religieux guidés par les traditions, la religiosité et le légalisme. Ces choses ne correspondent pas à la grâce salvatrice et libératrice de Jésus qui n’asservit pas le croyant par peur de la condamnation comme l’insinuent des pasteurs qui ressemblent à certains égards à ce que Dieu a appelé la Terreur-de-tout-part (Jr 20 : 1).
Qu’est-ce qui a été planté avec l’intention de récolter quoi ? Dieu connaît les intentions de tout cœur (Pr 21, 2 ; Rm 8, 27) et n’est pas moqué : celui qui sème pour la chair récolte ce qui vient de la chair (Ga 6, 7-9). Comment se développe l’ensemencement des pasteurs évangéliques, à travers des discours, correspondant à quelles doctrines ? De nombreux discours sont basés sur des doctrines non bibliques telles que la théologie de la prospérité qui ne traite pas de la fidélité au texte biblique en termes de son vrai sens selon ses contextes, compte tenu des différences d’application concernant les temps de la loi et de la grâce ; ils entendent continuer à pratiquer la loi religieuse de la dîme au détriment de l’évangile de la grâce – la pratique de l’obéissance à la loi comme conséquence et non comme cause – dans le vil but de l’enrichissement matériel au détriment du spirituel.
Cependant, quiconque pourrait enseigner correctement ces dispenses ne le fait pas pour son propre bénéfice : le nouveau profite de l’ancien dans ce qui lui convient, au mépris du principe de légalité selon lequel tout n’est pas convenable (1 Co 6, 12) comme le la dîme qui est biblique, en ce qui concerne le temps de la loi, mais qui n’est pas appropriée au temps de la grâce, puisque le Christ a déjà accompli la loi dans tous les sens, c’est-à-dire dans ses aspects cérémoniels, civils et moraux . Continuer à prêcher l’obligation de la dîme revient à crucifier Christ dans tous les services qui procèdent à sa levée. Ne pas enseigner correctement la dîme revient à commettre le péché d’omission en omettant de faire ce que la parole de Dieu demande de faire ; ils accomplissent les préceptes cérémoniels de la loi, négligeant d’être fidèles aux règles de l’amour, de la justice et de la miséricorde de Dieu qui sont éternelles, justes et indispensables (Mt 23, 23 ; 2 Co 9, 7). Malheureusement, beaucoup se montrent obéissants au Christ, mais, en fait, ils n’acceptent pas ses paroles de bénédiction et, par conséquent, ils ne sont pas guéris et restent dans l’erreur et le péché, risquant leur propre salut et menaçant le salut des autres qui sont incapables de discerner ses enseignements.
Le chrétien fortifié par la grâce de Dieu persévère à être pieux par une parole bonne et utile dont la vertu peut fortifier et guérir le croyant de divers maux, toujours prêt à faire ce qui convient selon le texte sacré dans sa plénitude basée sur la sagesse, la puissance et l’autorité de Dieu par les approvisionnements incessants de sa grâce. Ainsi, en véritables chrétiens spirituels dont les attitudes correspondent fidèlement aux ordonnances divines, ils prêchent la parole de Dieu aux nécessiteux, aux faibles, aux amers, comme un acte médicinal qu’aucun argent ne peut acheter. Leurs divers dons et ministères donnés par Dieu offrent l’espoir d’une provision abondante aux croyants en l’évangile vivifiant de Jésus.
Dieu a des griefs contre son peuple qui tolère au milieu d’eux des doctrines qui s’écartent de sa vérité, conduisant son peuple à trébucher dans divers types de péchés : adorer des dieux étranges comme des images, attachement à des objets mystiques comme amulettes protectrices, cupidité pour l’argent au sein de l’église elle-même. comme la collecte des dîmes et des offrandes pour alimenter la propre poche du chef, l’immoralité sexuelle comme la fornication et l’adultère et des actions similaires (Ap 2:14). Par certaines actions, ils provoquèrent la colère du Seigneur, et c’est pourquoi un fléau se déversa sur eux (Ps 106:29). Ceux qui ne croient pas au message selon la volonté de Dieu pour eux trébuchent, qui y désobéissent, qui ne tiennent pas compte de la parole de Dieu, car c’est à cela qu’ils étaient destinés (1 Pierre 2:7,8). Dieu est Dieu et de lui émane toute puissance, ainsi sa justice tombe sur quiconque fait le bien ou le mal. Et il faut comprendre que cette justice s’établit selon les actions de chacun qui est responsable de ses propres actions (Ez 18).
Les serviteurs de Dieu qui travaillent dans l’église doivent garder la connaissance de Dieu pour que le peuple apprenne ses lois, les guidant comme des messagers appropriés du Seigneur qui annoncent sa vérité. Cependant, ils quittent les voies du Seigneur, conduisant beaucoup de son peuple à s’engager sur de mauvaises voies, à tomber dans le péché. Ils brisent l’alliance de Dieu en lui désobéissant en prêchant sa parole par inadvertance, de sorte que tous brisent la vérité divine telle qu’elle est enregistrée dans les Saintes Écritures. Ainsi, ils n’acceptent pas la réprimande et, par conséquent, n’ont pas la capacité de réprimander quiconque s’écarte de la parole de Dieu. (Mal 2:4-9).
C’est à cause des mauvaises actions de l’homme que Dieu envoie son ange destructeur, et non parce qu’il a omis d’offrir de l’argent dans l’église, mais ces mauvaises actions peuvent ponctuellement se référer à l’offrande avec l’intérêt du profit en retour, de recevoir plus en retour, et non comme gratitude envers Dieu pour ce qu’il a déjà reçu ou pour le sentiment désintéressé d’aider les autres et ainsi de plaire aux yeux de Dieu. Toutes ces choses arrivent aux gens comme des leçons de choses pour les mettre en garde contre leur pratique, pour servir d’avertissement au peuple de Dieu, considérant la fin des temps selon le texte biblique. (1 Co 10 :8-13).
RÉFÉRENCES
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VINICIUS, Samuel. Teologia da Prosperidade: é bíblica ou heresia? Descubra tudo o que você precisa saber! 2021. Disponível em: <https://vamosprosperar.com/teologia-da-prosperidade/>. Acesso em: 07 mai.2022.
WALLIN, Claudia. BBC News – Brasil. Suécia, o país onde deputados não têm assessores, dormem em quitinete e pagam pelo cafezinho. 16/02/2019. Disponível em: <https://www.bbc.com/portuguese/internacional-47198240>
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YOUVERSION. Versões da Bíblia. 1 Coríntios 8. Disponível em: <https://www.bible.com/pt/bible/211/1CO.8.NTLH>. Acesso em: 11 mai.2022.
YOUVERSION. Versões da Bíblia. 1 Timóteo 6. Disponível em: <https://www.bible.com/pt/bible/211/1TI.6.NTLH>. Acesso em: 11 mai.2022.
ANNEXE A – LIVRES DE LA BIBLE ET ABRÉVIATIONS
Tableau 1 – Livres de l’Ancien Testament et du Nouveau Testament
LIVRES DE LA BIBLE ET ABRÉVIATIONS | |||||||||||
ANCIEN TESTEMENT | NOUVEAU TESTAMENT | ||||||||||
Livre / Abréviation / Chapitres | Livre / Abréviation / Chapitres | ||||||||||
Gênesis | Gn | 50 | Eclesiastes | Ec | 12 | Mateus | Mt | 28 | Tiago | Tg | 5 |
Êxodo | Êx | 40 | Cantares | Ct | 8 | Marcos | Mc | 16 | 1 Pedro | 1 Pe | 5 |
Levítico | Lv | 27 | Isaías | Is | 66 | Lucas | Lc | 24 | 2 Pedro | 2 Pe | 3 |
Números | Nm | 36 | Jeremias | Jr | 52 | João | Jo | 21 | 1 João | 1 Jo | 5 |
Deuteronômio | Dt | 34 | Lamentações | Lm | 5 | Atos | At | 28 | 2 João | 2 Jo | 1 |
Josué | Js | 24 | Ezequiel | Ez | 48 | Romanos | Rm | 16 | 3 João | 3 Jo | 1 |
Juízes | Jz | 21 | Daniel | Dn | 12 | 1 Coríntios | 1 Co | 16 | Judas | Jd | 1 |
Rute | Rt | 4 | Oseias | Os | 14 | 2 Coríntios | 2 Co | 13 | Apocalipse | Ap | 22 |
1 Samuel | 1 Sm | 31 | Joel | Jl | 3 | Gálatas | Gl | 6 | |||
2 Samuel | 2 Sm | 24 | Amós | Am | 9 | Efésios | Ef | 6 | |||
1 Reis | 1Rs | 22 | Obadias | Ob | 1 | Filipenses | Fp | 4 | |||
2 Reis | 2 Rs | 25 | Jonas | Jn | 4 | Colossenses | Cl | 4 | |||
1 Crônicas | 1 Cr | 29 | Miqueias | Mq | 7 | 1 Tessalonicenses | 1 Ts | 5 | |||
2 Crônicas | 2 Cr | 36 | Naum | Na | 3 | 2 Tessalonicenses | 2 Ts | 3 | |||
Esdras | Ed | 10 | Habacuque | Hc | 3 | 1 Timóteo | 1 Tm | 6 | |||
Neemias | Ne | 13 | Sofonias | Sf | 3 | 2 Timóteo | 2 Tm | 4 | |||
Ester | Et | 10 | Ageu | Ag | 2 | Tito | Tt | 3 | |||
Jó | Jó | 42 | Zacarias | Zc | 14 | Filemom | Fm | 1 | |||
Salmos | Sl | 150 | Hebreus | Hb | 13 |
Source : Monica Conte Campello (2020)
ANNEXE B- RÉFÉRENCE DES NOTES DE BAS DE PAGE
2. MARTIN, Dan. Le pasteur Silas Malafaia défie les blogueurs et les sites Web chrétiens de prouver à travers la Bible que la théologie de la prospérité est fausse. 2012
3. Association Victoire en Christ. Une vie de prospérité. 2012
4. Malafaia Silas officiel. Pasteur Silas Malafaia – une vie de prospérité. 2018
5. Terme utilisé pour les mots prononcés par Silas Malafaia.
6. La sagesse de la femme. Ce n’est pas pour se montrer. 2022
7. Llorente, Analia. Combien de fois le cerveau doit-il être exposé à un mot pour l’apprendre ? 2017.
8. op. cit. Llorente, Analia.
9. Campello, Monique. S.E.I.T.A.S. Rio de Janeiro : Mônica Conte Campello, 2013. p. 36.
10. Wallin, Claudia. La Suède, le pays où les députés n’ont pas d’assistants, dorment dans des kitchenettes et paient leur café. 2019
11. BBC Brésil : G1 – Monde. La seule république au monde à avoir deux chefs d’État – et à les changer tous les 6 mois. 2016
12. Journal officiel de l’Union. Décret législatif n° 276, de 2014. 2014.
je. En grec, lepton – la pièce de monnaie ayant la valeur la plus faible parmi les Juifs à l’époque de Jésus.
ii. Exégète : Tout terme dans lequel le contexte biblique est injecté avec une exégèse forcée ou intentionnelle. Néologisme créé par Mônica Campello.
[1] Doctorante en Enseignement Supérieur, Master en Sciences des Religions, Spécialisation en Enseignement Supérieur, Spécialisation en Traduction Anglaise, Licence et Licence en Lettres, Licence en Théologie, Technicienne Infirmière. ORCID : 0000-0002-5990-531X.
Envoyé : Avril 2022.
Approuvé : Juin 2022.