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Le déni de l’homosexualité par les dogmes théologiques

RC: 80972
423
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DOI: 10.32749/nucleodoconhecimento.com.br/theologie-fr/dogmes-theologiques

CONTEÚDO

ARTICLE ORIGINAL

CAMPELLO, Mônica Conte [1]

CAMPELLO, Mônica Conte. Le déni de l’homosexualité par les dogmes théologiques. Revista Científica Multidisciplinar Núcleo do Conhecimento. An 06, Ed. 02, Vol. 11, p. 58-93. février 2021. ISSN: 2448-0959, Lien d’accès: https://www.nucleodoconhecimento.com.br/theologie-fr/dogmes-theologiques, DOI: 10.3279/nucleodoconhecimento.com.br/theologie-fr/dogmes-theologiques

RÉSUMÉ

Pourquoi l’homosexualité est-elle niée selon les dogmes théologiques ? Cet article vise à évaluer les raisons de ce déni, en les présentant sur la base de leurs propres textes équivalents à des doctrines, des dogmes, de l’orthodoxie. À cette fin, il utilisera les Saintes Écritures, les discours théologiques adressés à la compréhension biblique, et tout matériel pertinent qui peut justifier et répondre de manière satisfaisante à l’affirmation du titre. En outre, il est également nécessaire de rechercher une meilleure compréhension de la question de l’homosexualité en ce qui concerne son assaut en faveur de sa reconnaissance socioreligieuse en tant qu’orientation sexuelle acceptée dont les sujets souhaitent participer activement en tant que membres ou ministres des Églises, libre de tout préjudice. Par une approche descriptive et une revue bibliographique, nous chercherons à comprendre toutes leurs réfutations aux textes bibliques, en étudiant la compatibilité de leurs interprétations au niveau de l’impartialité. Il est nécessaire de répondre à la nécessité d’améliorer les connaissances bibliques-théologiques (sans lesquelles il ne sera pas possible de poursuivre l’enquête pour réfuter ou accepter les ces questions soulevées dans ce problème) ainsi qu’à la nécessité d’améliorer la compréhension des allégations concernant les questions liées à l’homosexualité. Il est essentiel de répondre bilatéralement à toutes les questions en faveur d’un consensus entre les parties concernées afin que toute contradiction argumentative soit éradiquée, ce qui donne lieu à l’acceptation définitive de l’une ou l’autre position. Les principes d’acceptation ou de non-acceptation apparaissent afin de fournir à un véhicule des solutions matérielles et immatérielles. Le but final de cet article est de répondre à cette demande d’intelligibilité sur le problème afin que, une fois reconnu, il puisse être résolu efficacement en faveur de tous ceux qui sont impliqués dans la situation du problème.

Mots-clés: Homosexualité, religiosité, théologie, acceptation et rejet.

INTRODUCTION

Cet article vise à souligner les sujets liés à la question du déni de l’homosexualité selon les dogmes théologiques. « Les Saintes Écritures sont la Parole de Dieu » (ANDRADE, 1998, p. 140) – dont les préceptes sont supposés être obéis par quiconque avoue être chrétien, c’est-à-dire que celui qui s’assume chrétien sait à l’avance que les commandements qui y sont contenus sont des ordres de Dieu.

La Sainte Bible (Saintes Écritures), sans l’ajout de livres considérés comme apocryphes dont l’inspiration n’est pas prise par le divin, est composée de 39 livres dans l’Ancien Testament et de 27 livres dans le Nouveau Testament, ainsi distribués avec leurs abréviations respectives et leurs numéros de chapitre :

Tableau 1 – Livres de l’Ancien Testament et du Nouveau Testament

LIVRES BIBLIQUES ET ABRÉVIATIONS
ANCIEN TESTAMENT NOUVEAUX TESTS
Livre / Abréviation / Chapitres Livre / Abréviation / Chapitres
Genèse Gn 50 Ecclésiaste Ce 12 Matthew Mt 28 James Tg 5
Exode Ce 40 Chanter Ct 8 Marque Mc 16 1 pierre Première Pe 5
Lévitique Lv 27 Esaïe Est 66 Lucas Lc 24 2 Pierre 2ème Pe 3
Nombres Nm 36 Jérémie Jr 52 John Jo Jo Jo 21 1 Jean Première Jo 5
Deutéronome Dt 34 Lamentations Lm 5 Actes À 28 2 John 2ème Jo 1
Joshua Js 24 Ézéchiel Ez 48 Romains Rm 16 3 John 3ème Jo 1
Juges Jz 21 Daniel Dn 12 1 Corinthiens Première Co 16 Judas Jd 1
Ruth Rt 4 Oseias Oseias Lla 14 2 Corinthiens 2ème Co 13 Apocalypse Ap 22
Première Samuel Première Sm 31 Joel Jl 3 Galates Gl 6
2ème Samuel 2ème Sm 24 Amos Suis 9 Ephésiens Ef 6
1 Rois 1rs 22 Obadiah Ob 1 Philippiens Fp 4
2rois 2rs 25 Jonas Jn 4 Colossiens Cl 4
1 Chroniques 1er Cr 29 Micah Mq 7 1 Thessaloniens 1er Ts 5
2 Chroniques 2ème Cr 36 Naum Dans 3 2 Thessaloniens 2ème Ts 3
Ezra Ed 10 Habacuc Hc 3 1 Timothée Première Tm 6
Néhémie Ne Ne Ne 13 Sophonie Sf 3 2 Timothée 2ème Tm 4
Esther Et 10 Aggée Ag 2 Tito Tt 3
Travail Travail 42 Zacharias Zc 14 Philemon Fm 1
Psaumes Sl 150 Hébreux Hb 13

Source: Mônica Conte Campello (2020)

Les théologies bibliques ou chrétiennes – apparues au Moyen Âge entre le 4ème et le 5ème siècle – et les théologies inclusives – qui ont émergé en 1955 – qui se rencontreront souvent au cours des textes; concernant la seconde, caractérisée par les excuses pour l’inclusion des Noirs, des femmes et des homosexuels (ce ne sera que dans la dernière catégorie). L’objectif de cette étude n’est pas simplement d’avoir l’intention de réfuter les arguments de l’un ou de l’autre, puisque les deux ont leurs postulats établis, mais de chercher des preuves d’adéquation, de cohérence, de symétrie et de cohérence des axiomes défendus par eux.

Les ordres divins, comme indiqué précédemment, sont liés à la vie du croyant en ce qui concerne sa personnalité et son individualité en termes de comportement et d’expériences sentimentales, émotionnelles, morales, spirituelles, etc. L’individu chrétien prend également conscience que Dieu lui accorde le libre volonté de décider ce qu’il pense être le mieux pour sa vie afin qu’il devienne responsable de ses choix. Cela implique la liberté d’obéir ou de désobéir aux règles divinement établies, selon la foi chrétienne, et consignées gribouillis; cependant, cela ne lui donne pas le droit d’inverser le scriptitext – dont la parole divine reste inaltérable dans le temps et l’espace comme le préconise Luc 16 v.17, indépendamment des changements sociaux – en faveur d’une conversion à de nouveaux commandements exercés par l’homme d’aujourd’hui qui tend naturellement à interpréter les textes scénarisation en fonction de ses besoins, en lui appliquant un éditége. Il est pertinent de se souvenir des paroles de Foucault (2000, p. 49) : « On n’interprète pas ce qui est dans le sens, mais, au fond, qui a mis l’interprétation. Le principe d’interprétation n’est rien de plus que l’interprète. Chaque fois que l’on veut ajouter quelque chose à un texte biblique ou en supprimer quelque chose (ce qui est déjà prévu par le « propriétaire » du mot scénarisé), il indique qu’il s’agit d’un intérêt de l’interprète dans lequel une idée devient partie intégrante du texte alors qu’en fait elle ne le fait pas, c’est-à-dire que l’éisegesis développé tend à manipuler les intentions textuelles réelles, révélant son impertinence. On en déduit que ce n’est pas la parole de Dieu qui doit s’adapter à l’homme, mais l’homme doit s’adapter à la parole de Dieu – un argument propice à un chrétien.

Il n’y a pas de « théologie basse » comme certains préconisent contre les théologies qui ne correspondent pas aux pensées et aux idéaux de théologies contraires, car toutes les théologies sont au même niveau de vouloir enquêter, chercher, comprendre une vérité; donc si une théologie est faible, tous sont faibles. Il n’y a pas de meilleure théologie : la théologie queer n’est pas meilleure que la théologie traditionnelle ou l’apologétique et vice versa – l’apologétique ne devient pas une théologie basse uniquement parce qu’elle ne s’harmonise pas avec les concepts de théologie inclusive, par exemple. Par conséquent, personne n’a le droit de deuilr la théologie de l’autre. Tout se résume à des études pour une meilleure compréhension des textes bibliques et une meilleure application d’eux dans la vie quotidienne que vous voulez être guidé par eux. Il n’y a pas de théologie parfaite. La vérité est que tout le monde est à la recherche d’une vérité presque inaccessible. En ce qui concerne la méthode synchrone, Ginzburg (2002, p. 40-41) dit que le texte n’est pas seulement ce qu’il dit, mais ce qui ne dit pas : « Je ne voulais pas détecter un faux, mais plutôt montrer que le hors-texte, ce qui est en dehors du texte, est aussi à l’intérieur, à l’abri entre ses plis : il faut le découvrir et le faire parler ». Jésus n’a pas explicitement condamné l’homosexualité, mais a tacitement fait référence à quelque chose qui a été écrit comme un moyen de valider le texte précédant ses paroles. Lisez au moins deux des déclarations de Jésus sur la sexualité humaine biologique à l’origine, qui contraste avec l’idéologie du genre:

a) Jésus parlant en Matthieu:

«Vous n’avez pas lu [il est écrit] que celui qui les a fait au commencement mâle et femelle les a faits» (Mt 19, 4);

b) Jésus parlant en Marc:

« Dès le début de la création, Dieu les a rendus hommes et femmes (Mc 10,6).

La préposition PUISQUE implique la signification de «à nos jours». Comment nier le sens sémantique d’un texte? Et que dire alors des termes «masculin» et «féminin» selon leurs significations dénotatives?

C’est-à-dire, si c’est pour valoriser les Écritures, s’il est si important de dire que Jésus n’a pas dit, que Jésus n’a pas condamné, que Jésus n’a rien dit de contraire à l’homosexualité, pourquoi ne pas valoriser quand le texte montre que « Il a dit » quelque chose réitérant un texte scripté précédent? Il est entendu à partir de cet événement que l’argument ne vaut que combien il pèse – les actions sont basées sur la commodité de celui qui ne veut pas accepter l’évidence, et cherche des arguments d’absence ou de silence pour faire taire les vérités scénarisé. Ce serait, oui, une « théologie basse » puisque l’on ne peut pas inventer dans le texte ce qui n’est pas là.

En citant des textes comme ceux-ci ci-dessus, une tendance naturelle de ceux qui ne sont pas d’accord avec la parole de Jésus – dans laquelle, contreditement, il cherche lui-même à soutenir ses ces derniers, comme un moyen de valider ses propres concepts – réfute ironiquement toute défense qui s’approprie des textes tels que la genèse, comme si elle n’avait aucune valeur à des fins épistémologiques.

Il y a une guerre idéologique-religieuse-biblique-culturelle qui s’élève parmi les sociétés ordinaires qui n’aboutit à rien, aucune vue du manque d’intérêt pour atteindre la vérité qui crie au cœur de chaque être humain: Je veux que Dieu clarifie ma vérité; Je ne veux pas le former pour mon volonté. Quelle est ma vérité ? Quel est mon vrai moi ? Ce que je défends, c’est ce que je crois vraiment ou ce que je veux croire ? Le problème humain est interne et non externe; est de l’intérieur vers l’extérieur et non de l’extérieur. Tant que l’humanité ne le reconnaîtra pas, elle continuera à discuter de debalde.

En conclusion, on lui demande que Jésus n’a pas parlé, car il semble citer Jésus parce qu’il n’est apparemment pas contre ses concepts, mais : « Si Jésus avait parlé explicitement contre l’homosexualité, que ferait-il, continuerait-il à citer Jésus ? Tu veux bien écouter sa voix être gay ? Il y a une insistance inintelligible que Jésus n’a pas parlé contre l’homosexualité. Peut-être cela signifie-t-il que s’il avait parlé contrairement à ce thème, tout le monde aurait accepté sa rhétorique; tout le monde l’aurait suivi ?

1. RÈGLES ET ACRASIAS

Chaque organisation a dans son système ses propres règles établies dans ses régiments qui doivent être strictement respectées avec le risque de punition en cas d’avertissement. Avec l’organisation ecclésiastique, ce n’est pas différent, parce que son système a aussi ses propres règles. Il y a toutefois une différence entre ces types organisationnels, dans lesquels le premier se réfère au partenaire humanitaire – où l’homme prescrit des lois pour les hommes naturels – et le second au socioreligieux où, habituellement, les lois sont divinement inspirées et prescrites par un être transcendantal, auquel la foi est attribuée, dirigée vers des hommes spirituels ou même naturels.

Les lois sont créées pour être respectées, sinon on vivrait dans une société caotisée et anarchique. Lorsque cela ne se produit pas, ce qu’on appelle l’anarchie se produit, c’est-à-dire un système qui nie une autorité précédemment établie, stimulant le chaos institutionnel. L’Église en tant qu’autorité religieuse a des préceptes dogmatiques qui dépeignent le monde sacré, qui doit être suivi par ses membres, bien qu’ils ne perdent pas le contact avec le monde profane parce qu’ils y sont insérés. En n’étant plus pratiqués, ces préceptes subissent une rupture dans le temps et l’espace, provoquant des ruptures doctrinales qui vont à l’encontre des principes éthiques adoptés par cette organisation religieuse – ici, en particulier, l’ecclésiastique. Dans cette rupture, leurs principes de foi et de pratique sont ébranlés et non structurés afin qu’ils commencent à générer ce qui est compris comme un chemin dans un chemin précédemment établi qui était destiné à être suivi.

C’est dans ce prisme que la question du déni de l’homosexualité par l’Église est encadrée, non pas parce qu’elle est prête à discriminer l’homosexualité, mais parce que tout ce qui concerne cette orientation sexuelle est déjà enregistré dans son livre plus large – la Sainte Bible – comme un élément sociocomportemental divinement désapprouvé et classé comme contre nature par lequel ils déterminent les lois transcrites par ces hommes qui se croient divinement inspirés. Le manque de compréhension de cette position de l’Église a conduit des millions de personnes à la condamner à un état de perversité qui, en réalité, du moins en ce sens, ne dépeint pas son intention réelle, qui reflète le simple désir et le droit d’obéir aux ordonnances établies en son sein afin d’être compatible avec les objectifs religieux proposés.

On croit que suivre un autre paramètre déconfigurerait l’identité de l’Église. Il a des doctrines bibliques qui sont tenues par vrai parce que confirmé dans son contexte scénarisé. Il n’y a aucun moyen de parler de la négation de l’homosexualité par l’Église sans citer son instituant, Jésus-Christ; sans mentionner sa loi, la Sainte Bible; sans mentionner ses enseignements, ses doctrines bibliques; sans citer Dieu, ce qu’il est. Tout cela implique un sentiment d’impartialité, et non de partialité, car il n’est pas destiné à juger ici que chacun doit professer une foi en Dieu ou en Jésus-Christ (ont vu le sujet spécifique traité dans cette recherche étant lié à l’Église) ou dans d’autres dieux, mais clarifier leurs règlements institutionnels qui prévoient le sens de l’obéissance par quiconque veut appartenir à son appartenance.

Celui qui entre dans une Église sait à l’avance qu’elle a des lois, des commandements, des doctrines, des opinions éthiques et morales, des rites, des symboles, etc., mais personne n’est ou n’est obligé de suivre ces choses, d’avoir le droit de les refuser, et de le faire, si elle ne s’harmonise pas avec ses statuts, ne devrait pas chercher à les modifier à leur convenance, c’est-à-dire à s’y adapter ou à fonder leur propre institution avec leurs propres commandements; par conséquent, il n’y a aucun moyen de transformer les lois prescrites par l’instituant même d’une organisation particulière, en l’occurrence l’ecclésiastique, sans son approbation puisqu’il est connu pour être écrit et sacramentel que ce qui a été enregistré dans les Saintes Écritures était autrefois et avant tout sans aucune modification possible, comme on le trouve dans les références bibliques qui attestent de cette vérité (Pr 30 : 5,6; Rev 22:18,19; 1 Co 4:6; Gl 1:8.9; 2 Jean 1:9).

Cependant, de nombreux changements sont apparus dans les textes bibliques qui dénatent la personne de Dieu comme décrit en eux. Par exemple, la première épître de Jean, chapitre quatre, verset huit, déclare que « Dieu est amour ». Remplaçant cette déclaration (partiale ou non), le théologien Althaus-Reid (2001, p. 147) déclare que « Dieu est désir ». Y aurait-il dans ce changement un objectif de désacralisation de la personne divine en question ? Considérant les perspectives sémantiques et sémantiques des mots: Qu’est-ce que l’amour serait? Quel serait le désir? Seraient-ils des mots synonymes? Ce dernier mot aurait-il le même sens que celui inséré à l’origine? Y a-t-il en ce dernier lieu un certain sens de l’érotisme, de la sensualité, qui conduisent à croire à la possibilité d’une théologie indécente telle que proposée par l’auteur ? Elle préconise la déformation de la théologie (théologie tordue ou indécente) afin de rompre avec l’idéologie hétérosexuelle qui est considérée comme un modèle universel de sexualité.

Il y a une incompréhension de la question de l’expression « Dieu est amour » à laquelle on attribue le sentiment que tout ce qui implique l’amour est approuvé par Dieu. Il est nécessaire d’étudier, d’améliorer la connaissance du mot amour afin de comprendre exactement ce que signifie exactement cette phrase biblique (1 Jn 4,8). Il ne s’agit donc pas de déconstruire ce qui est divinement inspiré par la Bible en faveur d’une construction créée par des hommes en contradiction avec cette inspiration donnée par Dieu aux hommes bibliques qui l’ont développée pendant un certain temps – début et fin – fournie par celui qui se croit propriétaire de la vérité absolue décrite dans tout le livre qui est considéré comme sacré. Cet amour de Dieu est en fait un amour inconditionnel, le soi-disant « amour agape », celui qui a été manifesté par Dieu quand il a offert à son Fils de fournir le salut d’une humanité perdue dans les erreurs (vision naturelle) et les péchés (vision spirituelle), qu’il voulait sauver; ce n’est donc pas un amour Eros (romantique), Philia (amitié/branche) ou Storge (fraternelle/affection). D’après ce que les Écritures déclarent, personne n’a cet amour, mais Dieu lui-même. Par conséquent, il ne sert pas d’argument pour défendre des questions spécifiques telles que les préjugés contre le mot biblique en faveur de ce qu’il condamne.

Les mouvements et activités anti-homophobie qui surgissent au nom de l’amour (désir?) devrait se concentrer davantage sur les questions sociales qui portent entémissement des droits civils des citoyens, indépendamment de l’orientation sexuelle, que sur l’interdiction des textes bibliques traitant de la vision de Dieu de l’homosexualité, à laquelle ils peuvent modifier les textes correspondants, mais la vision de Dieu une fois à jamais déclaré comme on le voit dans les documents bibliques ne changera pas, et , alors, les questions suivantes entrent en fonction des versets de la Bible: a) Votre cœur vous condamne-t-il dans ce que vous faites? (1 Jean 3:21). S’il ne condamne pas, les textes bibliques ne l’affecteront en aucun cas, et donc aucune intervention contraire au texte biblique n’est nécessaire, mais s’il condamne, condamné l’est déjà et les modifications ne changeront pas ces circonstances ; b) Quand faites-vous ce que vous pensez devrait faire condamner votre conscience ainsi? (Rom 14:22). Ce sont des versets comme ceux-ci qui garantissent à ceux qui lisent que ce qu’il fait qui n’inspire pas confiance en soi ou sécurité le met dans l’état de sentiment dans le péché, c’est-à-dire cette condition accablante non pas par les autres de l’extérieur, mais d’abord par lui-même, indépendamment de la vision ou l’opinion des autres.

Toutefois, même si la revendication d’un droit suivie d’approbation est juste, les hypothèses décrites ci-dessus ne peuvent être atténuées par des facteurs externes – par exemple, dans ce cas précis, par une loi anti-homophobie créée en faveur de la population lesbienne, gay, bisexuelle, transsexuelle, transsexuelle et intersexuelle (LGBTTI) qui cite des points homophobes punissables par ceux qui les enfreignent; d’autre part, une loi critiquée par le Caucus évangélique qui exige des droits à la liberté et à l’opinion religieuses, en plus de confronter les valeurs et les principes familiaux consolidés dans la Constitution fédérale (VAZ, 2017) – parce qu’il s’agit plus d’une condition psycho-pneumo-émotionnelle que d’une complaisance socioculturelle – la première portant sur le bien-être intérieur; le second, pour le bien-être extérieur. Philosopher, les réalisations matérielles ne peuvent pas toujours répondre aux besoins ontologiques réels des sujets d’une action.

Musskopf (2008) a l’intention de présenter un nouveau discours qui rompt avec les formes antérieures par rapport au thème de l’homosexualité, en faisant exister un nouveau sujet qui favorise la déconstruction du sens de la sodomie en essayant de le déconnecter du contexte biblique concernant le récit de Sodome et Gomorrhe – cet événement a eu son moment unique qui a caractérisé une action abominable aux yeux de Dieu tel que décrit dans ce passage; il n’y a donc aucun moyen de le dissocier théologiquement du contexte dans le but de favoriser une idéologie postmoderne qui préconise de nouvelles approches sur le sujet. Il s’agissait d’un moment historique dans une perspective socioreligieuse de l’époque qui a été enregistrée à des fins pratiques pour chaque lecteur en tout temps puisque la Sainte Bible est un livre de caractère littéraire irrévocable qui ne correspond pas aux impressions humaines et ne permet pas d’être modifié par eux.

En ce qui concerne l’Église en tant qu’organisation institutionnelle religieuse a le droit d’exiger l’obéissance à ce qu’elle préconise comme norme de foi et de conduite à expliquer et à vivre par ses membres sans subir de représailles de la part d’autres qui, désireux de faire partie du membre, ou plutôt, désireux d’être un chrétien appartenant à une église qui a la Bible comme une loi du livre, manuel de régiment intérieur , ne se sentent-ils pas bien accueillis par elle en raison d’une question déjà prévue dans ses termes, rejetant ses préceptes de la manière préé établie dans sa structure gouvernementale ?

2. CLARIFIER LES VIES THÉOLOGIQUES

Il est nécessaire de connaître les bases qui soutiennent la non-acceptation de l’homosexualité dans l’Église et de reconnaître sa crédibilité, son acceptabilité, son applicabilité, dans cette sphère religieuse sans offenser les mentalités contraires, mais seulement de chercher une clarification sur les concepts fondamentaux afin de mieux comprendre ceux dont les idéologies, qui impliquent directement ou indirectement des questions idéologiques, ne s’harmonisent pas avec les cess bibliques-théologiques-ecclésiastiques. , mais avec la biologie et la culture comme le dit la philosophe Judith Butler, icône de la théorie queer et sexospécifique : « Être humain, c’est vivre à l’intersection de la biologie et de la culture », comme si la religion n’appartenait pas à la sphère de l’humanité. Alors pourquoi voudrais-tu modifier les statuts religieux préconisés par les institutions ecclésiastiques alors que les partisans de cette théorie et de cette idéologie comprennent que le sexe biologique et les identités masculines et féminines sont formés respectivement par des aspects physiques et des constructions sociales dues à des influences historiques et sociales?

Il est urgent de contribuer à clarifier les raisons fondamentales pour lesquelles l’Église se positionne antagonically à l’homosexualité, qui est intrinsèquement liée à l’idéologie de genre qui a causé de nombreuses controverses dans la société d’aujourd’hui. Comment la (homo)sexualité  est-elle prédite bibliquement afin qu’elle puisse être envisagée comme un besoin physiologique ? Selon la pyramide des besoins de Maslow (Gallardo, 2019) du psychologue humaniste Abraham Maslow, considérant que la physiologie traite des fonctions organiques qui propitiatent la manifestation de la vie, la reproduction sexuelle est classée comme une nécessité physiologique parce qu’elle est responsable de la propagation des espèces. Comment l’espèce humaine se propagerait-elle à travers l’athet homosexuel?

Figure 1 – Pyramide des besoins de Maslow

Source: Psychologie en ligne (2019)

Il est indispensable que ce soient les contradictions de cette lutte pour la reconnaissance de l’homosexualité par l’Église afin que les problèmes de non-acceptation puissent être abordés d’une manière intelligible et juste. L’idée de genre est offensante pour ceux qui fondent leur vision du monde sur la Bible, comme le soulignent les mots de la philosophe américaine Judith Butler :

Le concept de genre suscite beaucoup de peur. C’est une idée très mal comprise et représentée comme caricaturale. Même le pape François a condamné « le genre comme idéologie diabolique », dit Butler. C’est une critique du catholicisme de droite qui a pris entre ceux qui croient que le concept nie les différences naturelles entre les sexes et menace le mariage et la famille, la base de l’hétérosexualité. Si vous fondez votre vision du monde sur la Bible, alors l’idée de genre va être vraiment offensante. (BARIFOUSE, 2017)

Cela implique que l’idéologie du genre qui est liée à l’homosexualité va à l’encontre de la Bible. Cependant, a) les homosexuels se trouvent dans une lutte pour être acceptés par l’Église b) qui a la Bible comme référence dogmatique, c) cette même Bible qui les fait se sentir offensés et moralement attaqués en raison des textes respectifs qu’ils considèrent hétéronormatifs et, par conséquent, homophobes. Cependant, ils ont l’intention – et l’ont déjà fait – et) de modifier ces textes ou même de les éliminer de la Bible à f) supprimer toute possibilité de confrontation avec leur orientation sexuelle, afin de g) éviter l’inconfort concernant l’applicabilité du mot biblique dans la vie quotidienne qui ne correspond pas au texte sacré.Quels sont donc les changements dans les textes bibliques utilisés pour former une nouvelle Bible écrite par la compréhension humaine? Quelle bible sera-t-elle, la Bible post-vétero-néo-testament postmoderne inspirée des hommes ?

À titre d’exemple, en désaccord avec les paroles de White immédiatement ci-dessous, on peut affirmer qu’il existe un vocabulaire et une littéralité de sens entre l’Ancien et le Nouveau Testament peu complexes avec un contexte unique qui présente des changements sémantiques-textuels au milieu des changements socioculturels au fil des siècles. Par conséquent, les placements dans Genèse 19:4,5 et 1 Cor 6:10 dans lequel il ya une correspondance étymologique-toponymique et terminologique: « hommes de Sodome » et « sodomites ».

Au fil des siècles, l’Esprit Saint nous a enseigné que certains versets de la Bible ne doivent pas être compris comme la loi de Dieu pendant toutes les périodes de temps. Certains versets sont spécifiques à une culture et à l’époque et ne sont plus considérés comme appropriés, sages ou justes. (WHITE, 2013)

Selon White, les versets de la Bible doivent être adaptables à différents temps et cultures afin de manifester des aspects de l’applicabilité avec sagesse et justice. Cependant, un tel raisonnement va à l’encontre de l’un des principes intrinsèques à la nature de Dieu – l’immuabilité, qui s’harmonise avec le principe de l’éternité de Dieu dont la nature ne se limite pas au temps et à l’espace, comme annoncé dans le Psaume90:2; Jean 17:5. On sait, cependant, que pour avoir des changements dans un être, il est nécessaire qu’il y ait un ordre chronologique qui exige l’existence d’un moment ou d’une phase avant et après le changement; par conséquent, cela suggère que les changements se produisent en ligne avec les limites de temps, et, à travers les contextes bibliques, Dieu n’est pas un être limité

Selon Menzies et Horton (1995, p. 49), « Dieu est immuable (non susceptible de changer) et éternel. La nature divine ne change pas, elle ne changera jamais. Passez en revue les versets: Malahes 3:6; Luc 21:33; James 1h17. Comment White peut-il alors déclarer que le Saint-Esprit lui a enseigné qu’ils sont spécifiques à certaines cultures et à certaines époques et qu’ils ne s’appliquent pas à toutes les époques ? Dans ce cas, le mot script serait au moins contradictoire, et donc peu fiable; par conséquent, la révélation que White suppose qu’il a reçue de l’Esprit Saint ne devrait pas non plus avoir de crédibilité. Par conséquent, il ne serait pas bon pour lui ou quelqu’un d’autre. La Bible deviendrait un livre jetable.

Quelle est la pertinence de cette question? Quelle est son importance dans le domaine de la théorisation? Le choix de ce thème s’est fait par la perception de la nécessité d’aider à clarifier les raisons présentées par l’Église pour justifier son déni de l’homosexualité. Les références étudiées et citées, à leur tour, étaient fondées sur la contextualisation pertinente des auteurs impliqués dans les avantages et les inconvénients, faisant référence à la défense ou à la réfutation du thème à l’étude.

Les différentes questions concernant cette discussion n’ont pas encore reçu de réponse satisfaisante. Cela peut être confirmé par les innombrables littératures physiques ou Web (Campello, 2010, p. 87) – le néologisme du chercheur qui indique l’utilisation du WEB par l’araignée-écrivain qui accroche les lecteurs dans le Web [Web] qui se comparent à une proie facile comme des mouches impuissantes – dont les textes pauvres et malheureux ne présentent pas une réponse définitivement convaincante qui explique clairement la raison du problème et une solution possible. Le fait de ne pas avoir jusqu’ici trouvé de réponse adéquate et satisfaisante à cette affaire agit comme un facteur stimulant dans le sens de trouver une réponse concrète à la question de savoir si elle doit ou non être intrinsèquement liée à avoir ou non des droits ». De sorte que il clarifiera une fois pour toutes, et, bien sûr, à quiconque peut être vraiment intéressé – on sait que même ceux qui recherchent des solutions n’en veulent pas vraiment – et deviendront utiles aux fins qu’ils visent à atteindre. Ainsi, le début de ce cycle de réponses satisfaisantes, aussi convaincantes soit-elles sur la base du texte biblique, qui a fait l’objet de condamnations au niveau des significations, fait suite à une brève exégèse de certains des versets les plus commentés.

Avant, cependant, il convient de souligner que, bien que cet article appartient à une échelle scientifique, il utilise des ressources extrascientifiques en raison du thème biblique-religieux qui lui est inhérent étant donné la dialectique à traiter. Analysant la Première Épître de Paul aux Corinthiens, chapitre six, versets neuf à onze, considérant le contexte avant et après le verset cible : « Ne savez-vous pas que les insoitures n’hériteront pas du royaume de Dieu ? N’erreine pas: ni les débauchs, ni les idolâtres, ni les adultères, ni les éphéminates, ni les sodomites, ni les voleurs, ni les avares, ni les ivrognes, ni les méchants, ni les voleurs hériteront du royaume de Dieu. Et c’est ce que certains ont été; mais vous avez été emportés, mais vous avez été sanctifiés, mais vous avez été justifiés au nom du Seigneur Jésus, et par l’Esprit de notre Dieu » (Version: Almeida Révisé et Corrigé – ARC); « Vous savez que les méchants n’auront aucun rôle dans le Royaume de Dieu. Ne vous méprenez pas, pour les immoraux, les adorateurs d’idoles, les adultères, les homosexuels, les voleurs, les avares, les ivrognes, les calomniateurs et les voleurs n’auront aucun rôle dans le Royaume de Dieu. Certains d’entre vous étaient comme ça. Mais ils ont été emportés du péché, séparés pour appartenir à Dieu, et acceptés par lui par le Seigneur Jésus-Christ et par l’Esprit de notre Dieu » (Version: Nouvelle traduction dans la langue d’aujourd’hui – NTLH); ce qui suit est compris: Ils sont injustes ceux qui ne recevront pas le salut de Dieu. Qui sont-ils? Verset dix les présente, et parmi eux sont les éphéminates et sodomites, c’est-à-dire, les homosexuels – le centre de cette recherche concernant l’Église dont le livre de base est la Bible – et annonce leur destin éternel. Le verset onze commence donc à communiquer la perdition de ceux qui restent dans le péché, et le salut de ceux qui se régénèrent.

Qu’est-ce donc que le péché ? C’est tout ce qui rend impossible la communion entre Dieu et l’homme. Une personne peut croire en l’existence de Dieu – croire que Dieu existe est différent de la manifestation de la foi – mais cela ne signifie pas communion puisqu’elle exige l’harmonie dans la manière de ressentir, de penser et d’agir selon les préceptes décrits par Dieu ; la communion reflète une identification dans laquelle il y a un lien entre eux qui les unit spirituellement. Il n’est pas nécessaire d’être membre d’une Église pour manifester cette communion qui va bien au-delà de la simple prière, du jeûne, du sacrifice, de la pratique des religiosités, etc. Le péché est, dans une lumière, la séparation entre l’homme et Dieu. Il est déduit du texte biblique (Tsg 5:20) que Dieu ne désire la mort de personne (méchant), mais qu’il se repent de son péché, c’est-à-dire de ce qui le éloigne de Dieu puisque sa grâce reste disponible indépendamment de l’ampleur de la rébellion de l’homme contre lui. Peu importe combien de péchés ont été commis; il est important, plutôt, que vous les abandonniez car ils interrompent leur amitié avec Dieu, causant une vie de confiance en soi qui produit d’excellents résultats dans la vie éternelle, mais n’a aucun pouvoir de salut spirituel. C’est important? Voilà le truc. Foi ou confiance en soi ? Si la lutte menée est pour une question de valeur spirituelle, rejeter la foi en faveur de la confiance en soi est au moins contradictoire. Et la foi apporte avec elle d’autres valeurs telles que l’obéissance et la dépendance.

Et quelle régénération est-ce? D’après ce qui ressort des textes bibliques, ce qui compte, c’est l’hypothèse sincère de ce qui est assimilé comme le péché et l’insatisfaction correspondante qui en résulte; comme il est écrit que Dieu sonde les cœurs et sait que l’on voudrait être ou agir différemment dans le but de correspondre à ce qu’il conçoit comme agréable à Dieu, mais il ne réussit pas à cause de la faiblesse de son humanité. Cela exprime ce qui apparaît comme une foi qui agit comme un honneur pour Dieu, et cela est imputé à la personne pour la justice. D’autre part, il y a ceux qui ne se soucient pas des positions bibliques, les démembrant de leurs textes respectifs, assumant leur propre volonté et compréhension au détriment de la prazygoabilité de Dieu, résolvant leurs afflictions et interrogeant les balayages d’une cognition personnelle.

Grosso modo, cette interprétation littérale est taxante et définitive sans autre explication; cependant, ces versets doivent être analysés à la lumière des entre les lignes qui existent dans d’autres contextes bibliques, il est donc insérant que la Bible est expliquée par elle-même. Considérez-vous donc comme des passages bibliques qui révèlent la grâce de Dieu à l’égard des personnes qui ont péché mais qui ne se sont pas conformées à leur vie pécheresse, se condamnant dans un processus d’introspection qui a conduit à la connaissance de soi : 1) « Je ne fais pas le bien que je veux, mais le mal que je ne veux pas que cela fasse » (Rom 7,19), actions intrinsèques à l’humanité – même si c’était dans le péché, n’a pas démontré la pleine satisfaction de sa pratique ; ces paroles de l’apôtre Paul révèlent son anticonformisme à une certaine circonstance dans sa vie. Ce type de non-conformisme est une réaction qui plaît à Dieu, parce qu’il révèle le souci de reconnaître qu’il déplaît à Dieu, reflétant ainsi une manifestation de foi et de vénération pour la personne divine, même s’il est dans le péché. Ce sont des confessions de reconnaissance des péchés résultant d’une nuisance spirituelle face à la présence divine; c’est-à-dire qu’il n’y avait pas de pleine satisfaction, un achat en commettant des péchés, un logement dans une vie de péchés, mais il y avait une auto-collection quotidienne, pas oubliée, intermittente.

Le fait qu’une personne vit une vie de péché ne signifie pas nécessairement qu’elle perdra son salut. Selon une autre citation biblique: 2) « Tous ceux qui restent en lui ne sont pas dans le péché. Tous ceux qui sont dans le péché ne l’ont ni vu ni connu » (1 Jn 3,6), c’est-à-dire tant que la personne reste en contact avec Dieu, malgré le péché — se souciant de son jugement, désirant lui plaire, sentant que l’inconfort spirituel qui l’amène à croire qu’un changement de comportement et d’attitude lui apporterait la paix intérieure, cherchant le visage de Dieu à chaque agitation au sujet de sa situation de vie , même si cette recherche n’est pas manifeste, mais se produit au cœur de l’être qui fait taire les vérités cachées – elle a garanti son salut, et est donc libre de toute condamnation; sinon, il n’y aurait aucune occasion salvatrice pour un être humain sur la surface de la terre puisque le monde entier est un pécheur selon les paroles de Paul dans Romains 3:23 — « tous ont péché et sont démunis de la gloire de Dieu. »

Néanmoins, comme mentionné dans Romains 5:16c, 3) « Dans le cas du salut, Dieu pardonne à ceux qui ont commis beaucoup de péchés, bien qu’ils ne méritent pas ce pardon. » Il ya une très vaste liste de différents types de péchés, et certains commettent une sorte, et d’autres commettent un autre genre, de sorte que tout le monde pèche. Le gros problème est l’insipidité concernant le péché certes accepté et le péché supposé indésirable. Il semble que l’approvisionnement de ce besoin serait une solution plus efficace à l’esprit et à l’esprit que les tentatives de modifications bibliques-textuelles. Toutefois, cela dépend aussi de la situation de la volonté à ce point précis de l’âme,

L’action de vouloir découvrir une influence interne plus grande que l’influence externe. Comme disent les laïcs ou les scientifiques, le problème du sujet est irréversible (…) Dieu inspire le sujet à une analyse introspective qui lui fait mettre à nu son ego et peut donc comprendre la raison qui le conduit à cet état; ce n’est qu’alors qu’il se trouve en mesure de trouver la solution à son problème qui l’afflige tant. (…) il est nécessaire que, par cette auto-analyse, le sujet reconnaisse que son inconfort vient de ses propres actions, et, sans subterfuge, sans honte et sans crainte, se confesse la maladie de l’âme. (CAMPELLO, 2015, p. 160 161)

Bien qu’il soit également entendu que le contraire est vrai pour ceux qui le conçoivent, comme sugestiona Musskopf (2008) quant aux attitudes diasporiques qui conduisent à un manque d’auto-modification de la condition de l’étranger qui ne s’adapte pas à la terre étrange parce qu’il manifeste une mentalité incomparable à d’autres mentalités, provoquant un soulèvement de questions et réponses seulement provisoire afin de résister à des forces qui sont supposées antagonistes en appartenant à une ligne doctrinale divergent selon leur compréhension d’autant plus qu’il n’y a pas de théologie hétérocentrique, mais une théologie, à laquelle il convient de mentionner, qui selon Andrade (1998) a aussi caractéristique l’étude ordonnée et systématique de l’Être Suprême (et non centrée sur un être hétérosexuel) et sa relation avec l’humanité et qui est basée sur la révélation de Dieu que l’on trouve dans la Sainte Bible, la révélation naturelle et l’expérience religieuse , en utilisant la logique et d’autres méthodologies à des fins didactiques.

Une théologie hétérocentrique ne serait pas une théologie centrée sur Dieu, mais sur l’homme (l’être humain). Quand on classe la théologie commune ou primitive comme hétérocentrique, cela signifie qu’elle croit que toute la Sainte Bible – son objet d’étude – est un livre, dans la catégorie des livres communs, qui dénigre quiconque est contre ce prétendu chemin théologique, comme s’il s’agissait déjà d’un être déplacé, ce qui l’a fait comprendre qu’il n’y a pas d’appartenance stable à celle-ci. L’essence de la théologie, cependant, se perd au milieu de cette recherche d’un lieu fixe qui résiste à cette prétendue hétérocentrisme (Musskopf, 2008); supposé parce que la théologie ayant Dieu et sa révélation comme objet d’étude ne soutiendrait pas un changement de ce paramètre sans succomber aux conséquences de ces changements dans le contenu des textes bibliques respectifs qui sont réalisés et développés par la cognition humaine dont l’interprétation vise à transformer une littéralité qui admet des interprétations, mais ne correspond pas aux contextualisations formées à partir d’événements socio-humanitaires au détriment des événements bibliques-spirituels; un tel changement déstructurerait le contenu biblique-textuel, car il créerait des bifurcities qui, par conséquent, élimineraient le seul chemin vers lequel il est dirigé. Dire que cette théologie, qui a Dieu comme figure centrale, est un moyen hétérocentrique de dire qu’il s’agit d’une étude de Dieu centrée sur l’homme hétérosexuel, c’est-à-dire une théologie qui étudie un Dieu dont les écrits se concentrent sur l’hétérosexualité – biologiquement homme et femme (comme si seulement cela ne devait pas correspondre aux récits bibliques, mais aussi à l’homosexualité) – ayant plus d’importance que d’autres thèmes , puisque dans ce conflit théologique tous les autres semblent tomber au bord du chemin. Dans la théologie inclusive, qui exclut la théologie hétérocentrique telle qu’elle désigne et qui dénote également une désignation erronée, la personne divine est reléguée à un niveau d’inapibilité, comme un dieu honoré (MUSSKOPF, 2008) – un Dieu plein de grâce, un Dieu drôle ou un Dieu misérable ? – en ce qui concerne les processus de construction des identités masculines où la grâce du monde transforme Dieu. Dieu peut-il être transformé par la main de l’homme ? Quel genre de Dieu est-ce ? Existe-t-il ? Grâce à de tels placements, quelle est sa pertinence pour eux de se soucier de leurs diktats, ou plutôt, avec leurs dossiers scénarisé si c’est maintenant la grâce du tyran et maintenant? Tout cela semble générer une inversion des valeurs.

La relation et les conflits avec l’Église ne peuvent pas changer le cours théologique avec la conviction qu’elle changera la mentalité de Dieu. Si Pilate, étant un homme, a dit que ce qu’il avait écrit, avait écrit (Jean 19:22), ne modifiant pas son texte, et son ordre a été obéi, pourquoi l’obstination à ne pas accepter les textes de Dieu? Est-ce que cela se produirait pour votre invisibilité? Quel est le but premier de l’Église ? La théologie inclusive ne montre pas avoir comme objectif principal l’étude du salut de l’humanité par le travail rédempteur, le sacrifice par procuration du Christ, mais le placement ecclésiastique-religieux, sans laisser de côté le socioculturel, d’une classe de personnes qui se sentent lésées, discriminées et exclues (MUSSKOPF, 2008) par une théologie hétérocentrique-hétéronormative qu’ils croient exister. Les institutions religieuses, telles que les Églises, qui sont basées sur les Saintes Écritures, ont tendance à chercher à obéir aux préceptes et aux doctrines qui y sont consignés, et cela n’a rien à voir avec le sens des gens (Det 10:17; 2 Pr 19:7; Emploi 13:10; 34:10; Ml 2:9; À 10 h 34; Rm 2:11; Eph 6:9; Tg 2:1.9; Cl 3:25; 1 Pe 1:17); si c’était le cas, Dieu ne commanderait pas aux étrangers d’être accueillis, par exemple (22:21; 23:9; Lv 19:34; Det 10:19), mais au moins cela a à voir avec la volonté de suivre les instructions divines (Pr 1:7; 8:33; 10:17; 15:33; Sl 32:8; Est 28:26; 2 Tm 3:16), tout en accueillant les nécessiteux, les lésés, les méprisés, etc. Quand ils ne le font pas, il ne peut pas être attribué à Dieu, mais il doit être aux hommes qui ne respectent pas les commandements divins. Ceux-ci sont (pré)engagés dans la production de logorrhées qui méprisent l’importance des logos à travers un flux de jurons dont le contenu n’est qu’une copie des verborrases des autres qui méprisent également la Parole. Quelle est la faute de Dieu pour ça ? L’homme gaspille ce qui est précieux et Dieu paie la facture! Toute vie humaine est précieuse aux yeux de Dieu et doit être soignée. Qui a négligé ces soins et au nom de quoi ? Ainsi, des choses beaucoup plus importantes à faire que les guerres de lettres sont découvertes : « la lettre tue » (2 Co 3:6).

Analyser le Premier Livre de Samuel — chapitre dix-huit, versets un à quatre; chapitre vingt, versets trois et quarante et un – avec le Deuxième Livre de Samuel – chapitre un, versets vingt-cinq à vingt-six – compte tenu de l’équivalence textuelle entre les deux, explique ce qui ne semble pas être clairement démontré:

Et il est venu à dire que quand il avait fini de parler à Saül, l’âme de Jonathan était liée à l’âme de David; et Jonathan l’aimait, quant à sa propre â me. Et Saül le prit ce jour-là, et il ne lui permettait pas de retourner chez son père. Et Jonathan et David ont fait une alliance, car Jonathan l’aimait quant à sa propre âme. Et Jonathan s’est dépouillé du manteau qu’il portait sur lui, et l’a donné à David, ainsi qu’à ses robes, même son épée, et son arc, et sa ceinture. Puis David jura à nouveau, et dit: Beaucoup de vous connaissez votre père que j’ai trouvé la grâce dans vos yeux; car il a dit: Ne sais pas ce Jonathan, qu’il ne peut pas être blessé; et en effet le Seigneur vit, et votre âme vit, qu’il n’y a qu’un pas entre moi et la mort. Et Jonathan a dit à David, quoi que ton â me d’entre nous dytons, je te le ferais. Et quand le jeune homme était parti, David se leva de la bande sud, et se jeta sur son visage sur le sol, et s’inclina trois fois; et ils s’embrassèrent, et pleurèrent ensemble, jusqu’à ce que David pleure beaucoup plus. Comment le brave est tombé au milieu de la peau! Jonathan sur vos hauts a été blessé. Affligé, je suis pour vous, mon frère Jonathan; combien d’amabile vous étiez pour moi! Plus merveilleux pour moi était ton amour que l’amour des femmes. (BÍBLIA SAGRADA, 1995, p. 303, 305, 307, 319)

Les adeptes de la théologie inclusive admettent qu’on ne peut pas prouver les conjectures soulevées au sujet d’une relation sexuelle possible entre les personnages bibliques David et Jonathan, mais se permettent d’être séduits par la commodité de l’interprétation, silva, respectivement:

Dans le cas de l’histoire de David et Jonathan, cette virtualité se produit au carrefour des positions sociales, Jonathan comme un prince et David d’un berger à un guerrier qui deviendrait roi. Deux hommes qui se sont reliés par une conjoncture atypique, qui a engendré une alliance de générations. Si en fait, ils ont contracté l’homosexualité, il n’est pas prouvé à cent pour cent. Cependant, l’ambiguïté du récit et le déroulement des événements permettent aux fans de l’IT de dire oui. (SILVA, 2017, p. 6.7)

Et Musskopf:

les récits sur Jonathan, David, Ruth et Noemi sont [..] les plus importants dans ce domaine. Plutôt anachroniquement, bien qu’avec des gains incontestables en termes pastoraux, ces personnages viennent représenter l’expérience homosexuelle dans la Bible […] il semble y avoir une croyance dans le fait que si nous prouvons que Jonathan et David étaient gays et Ruth et Noemi étaient lesbiennes (catégories qui ne sont venus à être utilisés au XXe siècle), la participation des homosexuels dans les églises serait garanti (MUSSKOPF, 2010 , p. 260-261 apud MARANHÃO FILHO, 2016, p. 154).

Jonathan et David ont apprécié une amitié profonde et sublime qui est née spontanément entre eux et n’a pas succombé au milieu de la persécution [Pr 17:17], restant ferme même après la mort [2 Sam 9: 7,13]. C’est l’un des plus grands exemples d’amitié dans la Bible. Tous deux se sont retrouvés dans l’affection qu’ils n’avaient pas ressentie dans leur propre famille.

Les cadeaux que David a reçus de Jonathan symbolisaient un engagement envers le vœu d’amitié entre eux; David, étant pauvre, a donné ce qu’il possédait – l’amour et le respect; Jonathan a donné des biens matériels. En donnant à David ses biens comme sa cape, ses robes, son épée, son arc et sa ceinture, Jonathan transféra à David le droit de succession au trône de son père en avant-première de la venue. Classiquement parlant, « L’Iliade d’Homère » (VI. 230) présente un événement similaire entre Glaucus et Diomedes quand ils échangent les uns les autres des vêtements et des armes. Aujourd’hui, il est également très courant pour les joueurs de football de changer de maillot à la fin des matches.

Avant d’être persécuté par Saul, il a fait de David un écuyer, et Jonathan lui a donné les armes. La couverture symbolise la protection; l’armure symbolise la sécurité; l’épée symbolise l’efficacité; l’arc symbolise le pouvoir; la ceinture symbolise l’amitié. Quand David a été persécuté par Saül, le père de Jonathan, il a agi comme l’allié de David.

Voici la clé d’or qui ferme définitivement les portes de conjecture liées au genre d’amour qui impliquait ces deux personnages bibliques masculins, deux amis : « L’âme de Jonathan était liée à l’âme de David » (1 Sam 18:1). « Si vous avez allumé » – Mode indicatif du verbe « ligar » (pronominal) dans le temps Parfait Pretérito. « To bind », équivalent à « Unite » ou « Atar », indiquant un état permanent: le verbe hébreu נִקְשְׁרָה /NIQËSHËRÅH (Bible hébraïque translitérée, 2020, 1 Sm 18:1) a comme meilleure expression le verbe pronominal « à la coalesce ». Dans Genèse 44:30 – « Maintenant, donc, quand je vais à votre serviteur, mon père, et le jeune homme de ne pas aller avec nous, comme son âme est liée à son âme, il ya aussi l’amour entre deux personnages masculins, père et fils, Jacob et Benjamin. «C’est en marche» – Mode indicatif du verbe « être » (verbe contraignant, pas un non-signe de la route ou copulsif) dans le présent, formant le Prédicat du Sujet, indiquant un état permanent: (en utilisant le même verbe hébreu de 1 Samuel 18:1) קָשׁוּר /QËSHURÅH (Bible hébraïque translitérée, 2020, Gn 44:30) « agglutination ». L’union des âmes par une affection profonde était typiquement concept hébreu (se sentant comme Moïse pour la nation dans Exode 18:18).

Qui n’a pas connu l’excellence d’un amour fraternelle qui va au-delà de l’étendue d’un amour romantique?C’est ce genre d’amour que ces versets traitent.Il semble même que ce fait biblique de l’amour entre deux amis, s’est produit dans l’histoire des serviteurs de Dieu de sorte que d’être enregistré pour la lecture dans les temps à venir, dans son omniscience, Dieu a fourni tout cet événement pour donner à l’humanité la possibilité de manifester leurs pensées et interprétations qui varient d’un esprit à l’autre, selon lequel ils portent dans leurs cœurs; tout ce qu’ils pensent et tout ce qu’ils interprètent est le reflet de leur intérieur, comme jésus le dit : ce qui déforme l’homme n’est pas ce qui entre par sa bouche, mais ce qui sort de sa bouche, vient du cœur.La Bible lit les lignes directrices suivantes : « Examinez l’homme lui-même (1 Co 11:28) et « Voyez s’il y a un mauvais chemin en moi » (Su 139:24). Romains 14:22 déclare que celui qui ne se condamne pas dans ce qu’il approuve est heureux est heureux. Par conséquent, si, après avoir fait une exégèse, toute interprétation antérieure dérange, cela dénote une auto-condamnation de l’interprète. Il est connu qu’il existe une grande possibilité de relations profondes entre les personnes du même sexe sans implication sexuelle. Cependant, il semble que certains expriment un grand intérêt pour des passages comme ceux-ci afin de corroborer leurs propres comportements et attitudes comme s’ils étaient bénis par Dieu en étant inclus dans la Bible ainsi que Ruth et Naomi; cependant, il est nécessaire de se rappeler qu’il existe une relation profonde aussi entre l’homme et le Christ, et donc il devient plus facile de comprendre que, au lieu de considérer ces types de relations comme basées sur le sexe, on peut les considérer comme des relations pieuses entre les hommes (personnes des deux sexes).

Les interprétations sont libres et, dans la plupart des cas, sont compatibles avec les déclarations de culpabilité ou les commodités, ce qui les rend, en l’espèce, biaisées.

En fait, cette lecture inclusive, en plus de déconstruire les interprétations hégémoniques de l’homosexualité, cherche également à identifier et à positiver les exemples possibles d’individus homosexuels dans le récit biblique. C’est en ce sens que l’histoire de David et Jonathan gagne de nouveaux tons et contours. Selon Feitosa, la théologie inclusive propose « un examen attentif de ce que dit la Bible sur l’homosexualité. Promouvoir « la rencontre entre les minorités sexuelles et les Écritures, construire un sentiment d’affirmation et d’autonomisation dans le cœur de ceux qui se sentent exclus de la Bible ou condamnés par elle » (SILVA, 2016, p.2).

D’après ce qui est compris, la Bible est ce qui a été écrit depuis qu’elle a commencé à être écrite par des hommes inspirés par Dieu. Ici, cependant, se pose une théologie inclusive qui défend une Bible inclusive qui se pose « en faveur d’une certaine classe de personnes » – « raison juste » – mais exclut certains textes de la Bible originale ou les explique selon ce qu’ils pensent est une compréhension judicieuse, mais pourquoi ne pas dire biaisé parce qu’il correspond aux commodités elles-mêmes? Une nouvelle Bible qui inclut des concepts humains, mais exclut les préceptes divins, c’est-à-dire, cherche à déconstruire le sens de ce qui est démontré selon ce que l’auteur lui-même signifiait en faveur d’une construction sémantique a posteriori qui est en ligne avec ses objectifs personnels. Une situation paradoxale et contradictoire.

La théologie inclusive (FEITOSA, 2011), une branche de la théologie traditionnelle visant à l’inclusion non seulement des homosexuels, mais aussi des catégories socialement stigmatisées telles que les Noirs et les femmes, faisant valoir que « tous ceux qui composent la diversité humaine, peu importe, ont libre accès à Dieu par le sacrifice de Jésus sur la croix ». préconise que chacun soit accepté indépendamment de son orientation sexuelle afin qu’il ne soit pas marginalisé par la société, en particulier dans le contexte religieux; il faut une théologie qui envisage le besoin d’acceptation par les religions, en particulier le christianisme. En ce qui concerne « l’acceptation », il cherche sa défense dans la phrase biblique, à la fois l’Ancien Testament et le Nouveau Testament, « Dieu ne respecte pas les gens », qui se trouve dans: Det 10:17; 2 Cr 19:7; À 10 h 34; Rm 2:11; Eph 6:9; Cl 3:25; Tg 2:9; 1 Pe 1:17. Quant au terme « Signification », du grec « προσωποληψια» /prosopolepsia/, cela dénote le favoritisme, l’affichage des tendances, la préférence conditionnelle, l’aspect discriminatoire, la partialité dans le traitement des personnes. La vérité est que celui qui fait la distinction entre les gens est la société elle-même et non Dieu. La prédication de l’Évangile est pour tous ceux qui reconnaissent le besoin de connaître le Christ, les Logos incarnés, la Parole, à laquelle il faut croire et obéir. Par conséquent, si une personne professe sa foi en Christ, elle participe à son plan de salut et s’inscrit dans ce contexte d’impartialité divine.

Les adeptes de la théologie inclusive confondent souvent cette notion de non-sens divin sur la question de l’homosexualité en citant l’eunuque éthiopien (Jer 39:16-18) comme un exemple d’homosexuel qui a été sauvé par Dieu. L’échec interprétatif relève de l’incompréhension concernant l’action de l’«adoption», c’est-à-dire que le texte indique clairement dans les derniers mots de ce chapitre que l’eunuque a reçu le salut divin en raison de sa relation spirituelle avec Dieu indépendamment de son origine ethnique, prouvant que Dieu ne respecte pas les gens quant aux nationalités; le texte n’a rien à voir avec la question de l’homosexualité en raison du simple fait que ce personnage est un eunuque.

Il y a donc une fausse représentation des significations en ce qui concerne les textes bibliques puisque Dieu verse son amour et sa grâce à tous afin qu’ils ne soient rejetés par personne. Cependant, Dieu offre son salut à tous en leur enseignant à quitter leurs passions mondées et en se consacrant à lui (Titus 2:11,12), se repentant de leurs péchés (2 Pe 3:9). Expliquer: Dieu aime tout le monde sans distinction et, par conséquent, personne n’a le droit de nier l’autre car il est Dieu n’a pas. Dieu ne rejette pas une personne, l’être humain, et il n’enseigne pas aux chefs religieux à le faire puisque l’œuvre salvifiques du Christ est pour tous (1 Mt 2,4) – homosexuels, etc. – qu’il soit souligné, tous ceux qui reconnaissent le Christ comme le Sauveur et restent en lui, c’est-à-dire qu’ils se repentent de leurs péchés puisqu’ils les reconnaissent comme des péchés (s’il n’y a pas de reconnaissance du péché, il n’y a aucun moyen de se repentir du péché , et pour être avec le Christ, il faut confesser les péchés pour recevoir la délivrance et le salut; sinon, cela ne signifierait pas être avec Christ. Mais être avec le Christ ou être dans l’Église du Christ ne serait alors qu’une simple conquête sociale, une simple victoire pour vaincre ce qu’ils supposent être des idéologies humaines basées sur la théologie classique ? Qu’est-ce que cela a à voir avec la foi en Dieu, avec le vrai christianisme?) et commencent à obéir à leurs principes révélés dans cryptiste. L’homme ne peut pas donner un sens aux gens parce qu’il ne peut juger personne, et Dieu qui peut juger tout le monde ne sent pas les gens parce qu’il veut sauver tout le monde, et pour cela, leur donne la possibilité de se repentir.

Cependant, tout le monde ne veut pas le salut (c’est la responsabilité de l’homme et non de Dieu) parce que cela impliquerait des metanoias concernant des questions laïques auxquelles ils sont spécifiquement liés physiquement et émotionnellement, au détriment de la métaanoïa concernant les questions divines qui impliquent la sainteté – qui veut être saint comme Dieu (1 Pe 1:16); qui est prêt à résister aux appels de la chair; qui est prêt à abandonner leurs propres désirs afin de satisfaire le désir de Dieu? La métaanoïa dirigée par Dieu est bien illustrée à partir d’un verset clé qui clarifie le thème de la prédestination du salut : « il les prédestinait à se conformer à l’image de son Fils » (Rom 8,29) : « se conformer à l’image de Jésus, c’est-à-dire, sans péché, obéissant à la mort ; qui veut obéir en échange de leur propre souffrance? Qui est apte à être comme le Christ, ou du moins essayer de l’être? Qui cherche au moins chaque jour à faire les choses selon la direction de Jésus ? Quelles sont les directives de Jésus à l’homosexualité? Qui est, en fait, intéressé à faire correspondre cela? Qui veut s’appliquer aux paroles bibliques d’Ézéchiel (18:21,22) sur la conversion des péchés (à condition qu’ils soient supposément reconnus) sous l’égide de la garde des statuts bibliques-chrétiens en agissant selon la justice divine ? Qu’est-ce que la justice divine ? Est-il conçu par les hommes en fonction des temporanités et des culturalismes? Dieu est-il un être si limité, contredisant tous les attributs qui lui sont liés dans le contexte complet des Saintes Écritures ? Si oui, alors toute la Bible est un mensonge, et si c’est un mensonge, pourquoi le désir de ne garder qu’une partie de celui-ci, en modifiant l’autre? Pourquoi ne pas en sortir complètement et créer une toute nouvelle Bible avec un dieu qui suit les nouvelles mentalités à chaque nouvelle ère – un Dieu changeable, fini, limité et progressiste ?

En faisant une exégèse de ces versets ci-dessus, on peut assurer que Dieu n’agit pas de cette façon, que ce soit en ce qui concerne la race – blanc, noir, etc.; que ce soit en termes de sexe – hommes et femmes; que ce soit en ce qui concerne l’âge – les enfants, les jeunes ou les personnes âgées; que ce soit en termes de statut social – appartenance, pouvoir et prestige, selon les trois P de la sociologie de Max Weber qui ont conçu des hiérarchies sociales en fonction des secteurs social, politique et économique. Cependant, la société commet le « sacrilège » de la distinction entre ses sujets sociaux. Chaque façon dont l’homme est droit à ses yeux, mais Dieu sonde son cœur (Pr 21:2). La partialité humaine est incompatible avec l’impartialité de Dieu puisque le jugement résultant des deux a des bases divergentes : le premier vise une préférence, une prédilection, un favoritisme, qui n’est pas compatible avec l’attribut de la morale divine ; le second est précisément l’un des attributs moraux de Dieu. Par conséquent, Dieu ne jugera pas une personne par ces qualifications, mais par sa relation avec lui, car il sonde son esprit et son cœur (1 Sam 16:7; 1 Cr 28:9; Jr 32:19; Rm 2:6; 8:27; Ap 2:23). Et qu’est-ce que ça veut dire ? Un esprit et un cœur tournés vers Dieu révèlent l’intérêt et la volonté de suivre les préceptes divins tels que bibliquement préconisés; c’est-à-dire qu’ils manifestent la recherche de l’obéissance par la connaissance du texte biblique. Il est donc conclu que, pour avoir la communion avec Dieu, il est nécessaire qu’il y ait plutôt une prédisposition à suivre ses instructions dans une pratique obéissante (Ex 15:26; 19:5; 20:20; Dt 4:2; 6:1,2; 10:12,13; 1 Sm 15:22; Ecc 12:13; Jr 07:23; Mt 22:37; Mc 12:33; Heb 10:9).

La base de la théologie inclusive est dans actes 10:34 et 35 qui dit que Dieu ne sent pas les gens. Dans le texte en question, nous voyons le salut d’un eunuque éthiopien, ils sont considérés par la Bible comme sexuellement exclus et sont considérés par beaucoup comme homosexuels de l’Antiquité. La théologie inclusive vise à l’inclusion de tous les peuples dans l’Évangile du Christ, car elle est inclusive. (LIMA, 2015)

L’inclusion serait-elle synonyme de salut ? Quel est, en fait, l’intérêt réel de l’inclusion? Zibordi (2012) affirme que l’interprétation de la Bible et la stratégie d’évangélisation du mouvement appelée « théologie inclusive » ou « église inclusive » sont une aberration à la lumière de l’Écriture, et cite Lanna Holder, pasteur dans la cité de l’Église du Refuge, le premier pasteur brésilien à déclarer son homosexualité, comme auto-intitled ex-homosexuel et ex-hétérosecxual, dont « eisegese » ou « exegayse » sur l’Evangile prêché par elle – « evangaylho » – , crée un faux évangile basé sur une relecture du texte sacré, attribuant de nouvelles définitions aux interprétations historiques des textes traitant du péché de l’homosexualité.

Les relectures, la déconstruction, la reconstruction du texte sacré ne trouvent pas de soutien biblique qui garantisse ses cess. Dans « Talar Rosa », Musskopf présente la position du conseil de l’Église évangélique de confession luthérienne au Brésil concernant le ministère ecclésiastique et l’homosexualité. La phrase mise en évidence suivante clarifie l’indéfinition ou l’inexactitude des événements bibliques correspondant aux pratiques de l’homosexualité, bien que, dans les lignes ultérieures, elle souligne l’importance de l’amour pour les homosexuels, qui, logiquement, est hors de tout différend. « Il n’y a pas de consensus absolu parmi les experts, ni dans la science quant à la nature de l’homosexualité, ni dans l’interprétation biblique de ces passages qui font allusion à l’homosexualité. Il n’y a pas non plus encore ce consensus au sein de l’IECLB. Plus tard, dans le dernier point de la liste des positions, il y a la clarification suivante concernant les homosexuels qui cherchent de l’espace dans l’Église, qui ont l’intention de démissionner du Talar noir, de le déconstruire et de le reconstruire en rose, c’est-à-dire de révéler une incompatibilité de leur expérience homoaffective avec un modèle qu’ils appellent hétérocentrique en ce qui concerne la sphère ecclésiastique :

Nous ne nions pas que les homosexuels, qui vivent leur condition sans provoquer de scandale, puissent faire un travail béni dans la communauté en mettant au service de l’Evangile les dons que Dieu leur a donnés. Mais nous notons également qu’à l’heure actuelle de l’Église, il n’y a aucune condition pour qu’une personne homosexuelle pratiquante assume l’exercice public du ministère ecclésiastique dans l’IECLB. (MUSSKOPF, 2004, p. 191)

En outre, la présente étude est pertinente dans le sens d’atteindre les masses du monde entier, parce que la question soulevée est universelle. Il ya un nombre infini de personnes souffrant de leur situation de vie actuelle, en prenant des directions qui peuvent rassasier leur ego, mais ils ne seront pas toujours en mesure de satisfaire leurs besoins réels qui leur permettent d’atteindre l’objectif de l’auto-achat ontologique-socioculturel-religieux. Grâce à cette recherche, il est prévu qu’ils puissent parvenir à une compréhension indépendamment du fait qu’ils veulent ou non le suivre, mais au moins ils finiront par comprendre pourquoi les bases favorables et défavorables à leur mode de vie concernés, en particulier, leur orientation sexuelle à l’égard de la sphère religieuse, plus particulièrement la vision correspondante de l’Église, leur donnant les moyens de connaissance intelligible sur le sujet qui affecte leur vie et la compréhension de ce qui doit être fait afin de vivre une vie de qualité , en particulier dans la sphère biblique-religieuse sur laquelle repose la recherche.

3. INTOLÉRANCES BILATÉRALES

« Il n’y a pas de limite à la production de livres » (Ecto 12:12).

Il n’y a pas de limite à l’approfondissement des études qui serviront d’aide à l’humanité puisqu’elle cherche à être incluse dans tous les secteurs sociaux, quelles que soient leurs circonstances de vie. Le phénomène sociocomportemental de l’homosexualité et autres reflète la lutte de cette classe pour les droits qu’elle croit posséder, et, bien sûr, nous a. C’est en ce qui concerne les malentendus et les intolérances qui surgissent contre elle. Ceux-ci ont lieu dans divers secteurs de la vie dans la société, mais nous nous en tenirons ici spécifiquement aux religieux en ce qui concerne les questions bibliques-exégétiques et socioecclésiasticales.

Il est nécessaire qu’il y ait une aptitude exégétique à présenter des défenses d’interprétations bibliques, c’est-à-dire que les interprétations bibliques doivent être conformes à l’ensemble du contexte scénarisé puisque le mot divin est tout concatenated, un passage reliant à un autre passage comme cela se produit dans la référence croisée; cela démontre déjà, en soi, la crédibilité du texte biblique qui présente des confirmations et des clarifications.

Il semble que la Sainte Bible offre textuellement des moyens de libération, de guérison, de provision, etc., indépendamment de la prédication dans les temples, les églises. Mais il semble aussi qu’il s’agit de foi, une question qui n’est pas nécessairement en discussion ici, mais qui peut se produire, en fonction de la nécessité de certaines questions. Plus précisément dans le domaine de la connaissance des sciences des religions, il faut s’engager à atteindre les objectifs à atteindre par l’aspiration à un sens de la justice et de la vérité autour de l’ensemble du thème en développement. L’objectif principal n’est pas de remettre en cause les celles défendues en faveur de l’homosexualité contrairement aux préceptes bibliques et religieux pour les confronter, ni de répudier leurs qualités philosophiques ou religieuses, encore moins de réfuter leurs idéaux sociologiques, mais de se concentrer sur la raison de la recherche qui est de connaître les fondements ecclésiastiques qui nient l’homosexualité dans leur bois. Et, après les avoir connaissances, comparez-les aux arguments et aux nouvelles interprétations proposés afin d’évaluer leur crédibilité et, s’ils sont confirmés, continuez de les accepter dans les environnements et les moyens pertinents.

Dans ce domaine de la connaissance, qui entretient des interrelations avec d’autres domaines de la vie, on peut trouver des moyens pragmatiques qui collaboreront avec l’attente de soutenir la société dans son ensemble ainsi que chaque individu séparément au sein d’un collectif qu’il soit laïque ou religieux. Des thèmes comme celui-ci en cours s’appuyer généralement sur une indication de caractéristique universellement religieuse, en plus de la caractéristique sociale, parce qu’ils impliquent des principes spirituels au-delà des principes naturels, et le scientifique de la religion a la capacité de reconnaître les traits communs entre ceux-ci et ceux-ci et de les administrer en faveur de solutions pratiques au milieu des méthodologies pertinentes qui peuvent corroborer leurs ces derniers.

Les Sciences des Religions permettent à d’autres sciences sociales et psychologiques d’établir des relations les unes avec les autres, ce qui favorise des études plus appropriées et plus efficaces pour le bien de l’humanité. Aristote a dit que « l’homme est par nature un animal social », parce qu’il a des instincts ou des sauts qu’il ne peut lui-même pas expliquer, et c’est de cet animal humain que ces sciences sont chargées d’étudier et de clarifier ses aspects les plus reclus comme point de départ pour la parfaite compréhension de sa triple structure: le corps, l’âme et l’esprit.

Brito (2006) s’interroge sur la façon dont l’existence de l’homme présent s’explique par ses désaccords, avec ses perfides, avec sa faiblesse, avec ses misères; comme il explique la société actuelle, où la vie est un mensonge, une fraude, un mal pour l’homme, et au fond, un rien. Tout cela signifie : la société est imparfaite; plus que cela: la société est imparfaite, la société est la plus grande des imperfections; en un mot: la société est l’empire du mal. Selon cette proposition, quel espoir y aurait-il pour l’humanité sans les élucidations scientifiques et religieuses qui surgissent pour l’homme naturel ou spirituel ?

Par conséquent, il est urgent que les deux côtés de la situation problématique soient étudiés. À cette fin, il est nécessaire de recourir aux sources connexes de cette dialectique dans laquelle la fiabilité des propositions présentées dans lesquelles l’une des parties prouvera sa correction et, par conséquent, son hypothèse doit se produire par les deux parties, ce qui entraîne une conciliation et la résiliation des contradictions. Ces sources ont toutefois à voir avec des auteurs dont les travaux sont étroitement liés à ce thème spécifique de la recherche, compte tenu de la diversité bibliographique, physique et virtuelle, concernant chaque partie :

a) Apologétique chrétienne;

b) Bibles;

c) Concordance biblique et commentaire;

d) Défense homosexuelle;

e) livres et dictionnaires théologiques;

f) Livres/livres électroniques éclairants;

g) Manuels bibliques;

h) les nouvelles dans les journaux, les magazines, les réseaux sociaux;

i) Sites

Comme le sujet implique l’Église, tout ce qui y est lié est d’une importance primordiale pour cette étude : son livre de base, ses doctrines, ses dogmes, ses rites, etc. Cela s’applique également à la question de l’homosexualité dans ce domaine religieux. Par conséquent, il est intéressant de connaître les mécanismes d’action de l’Église ainsi que les aspects socioculturels d’aujourd’hui comme le cas de la lutte pour que les homosexuels appartiennent à une Église sans subir aucune discrimination. D’abord, on se demande : qu’est-ce que l’Église ?

ÉGLISE – [Do heb. qahal, assemblée du peuple de Dieu; do gr. ekklesia, assemblée publique] Organisme mystique composé de tous ceux qui, par la foi, acceptent le sacrifice par procuration du Christ, et ont la parole de Dieu comme leur seule règle de foi et de conduite (Ep 5,30-33). Dans le Nouveau Testament, le même terme s’applique à rassembler les fidèles dans un certain lieu pour adorer Dieu, renforcer la communion chrétienne et développer le service chrétien (Fm 2). (ANDRADE, 1998, p.182)

Le Dever (2007) comprend que, selon le Nouveau Testament, l’Église est un corps de personnes qui avouent n’avoir été sauvées que par la grâce de Dieu seulement pour leur gloire et par la foi en Christ et c’est pour les croyants qui ont reçu la nouvelle naissance de Dieu et qui se rassemblent dans une communauté pactuelle. Il est déduit de ces définitions que l’Église a des éléments primordiaux insérés dans son ensemble (en ligne avec d’autres éléments non mentionnés ici), tels que : la foi, l’acceptation du sacrifice du Christ, les Saintes Écritures comme règle de foi et de conduite, la congrégation des fidèles, la communion et l’œuvre chrétienne, le salut par la grâce de Dieu, la nouvelle naissance, la communauté pactuelle.

Deuxièmement, on se demande: qu’est-ce que l’homosexualité? Le terme a son origine dans la grecque ὁμός (homos) – égale, + latin sexus – sexe, + -dade – suffixe nominal qui exprime l’état ou la qualité, et est attribué à la condition d’un être humain, ou même certains animaux, en ce qui concerne son attraction physique et / ou émotionnelle par un autre du même sexe ou le sexe qui le caractérise comme homosexuel. Le mot homosexuel respectif a été utilisé pour la première fois en 1869 par l’écrivain austro-hongrois Karl Maria Kertbeny pour tenter de combattre le paragraphe 143 du Code pénal prussien qui criminalisait cette pratique sexuelle, qu’il défendait comme une condition innée et naturelle (Teixeira Filho, 2011). En revanche, Szklarz (2016) affirme que « bien que la science s’oriente vers l’idée que l’homosexualité est innée, la biologie n’est pas complètement décisive », et approuve sa déclaration citant les paroles de la psychiatre Carmita Abdo pour qui la prédisposition à l’homosexualité se manifeste ou non en fonction des expériences de vie de la personne. De même, Malott (apud Mizael, 1996, 2018, p.18) affirme que « les rôles sexuels et les styles comportementaux sont appris par des contingences de raffinement et de punition » avec ce que Silva et Menandro conviennent (2019) : « L’homosexualité, selon les perspectives pastorales évangéliques, est une antinature, un problème spirituel et, surtout, c’est un comportement savant ». Cette compréhension correspond à la position de GotQuestions (2017) sur le fait qu’une personne devient homosexuelle à cause du péché (Rom 1:24-27) et par son propre choix puisque « Dieu ne crée pas la personne avec des désirs homosexuels » et que « la personne peut naître avec une grande tendance à l’homosexualité ».

Il est entendu, à partir de ces définitions, qu’une personne homosexuelle (un être) est une personne qui manifeste une attirance sexuelle, physique, affective et spirituelle, par un autre du même sexe dont le comportement peut avoir été appris ou avoir d’autres causes possibles. Cependant, les causes possibles de l’homosexualité ne sont pas ce que l’on cherche à aborder dans cet article. Selon ce qui précède, il est destiné à introduire la question de la relation entre l’Église et l’homosexualité, en présentant ses définitions et certaines positions intégrées. Ces citations présentent brièvement des aspects étymologiques, scientifiques et bibliques, qui sont un aperçu des lignes directrices de cet article. Tout ce qui est pertinent en ce qui concerne le thème actuel doit être étudié, en tenant compte des prémisses des pour et des inconvénients, d’une manière impartiale, se référant aux positions mises en évidence dans cette dialectique: homosexualité / Église. Il convient de souligner que l’objectif en l’espèce est de rechercher et de confirmer les motifs pertinents aux excuses respectives présentées.

En désaccord avec les paroles de Musskopf (2008, p. 18), «Dieu, dans ce jeu avec les processus de construction des identités masculines, est devenu un ‘Dieu-grâce’» – un nom qui fait référence à l’idée que Dieu est transformé par la grâce du monde (ou cela pourrait encore signifier, du point de vue d’autres yeux d’interprétation, un Dieu misérable ou un Dieu drôle; cependant, lorsque les Saintes Écritures sont écrites, «Ne vous trompez pas: Dieu n’est pas moqué» (Gal 6: 7), deux arguments contradictoires sont confrontés qui dénotent l’absence de consensus, entre la position musskopfienne et l’exhortation biblique, dans la recherche de la transformation de la réalité à partir de la foi, avec la Bible comme instrument de cette transformation (MUSSKOPF, 2008), une transformation sociale qui découle d’un contexte homosexuel-gay-queer.bible comme instrument! formation.

Cette théorie de «Dieu merci dans un monde en mutation» alimente le malentendu du projet «La grâce du monde transforme Dieu», organisé par Nancy Cardoso, Ela Eggert et Andre S. Musskopf en tant que contribution à la discussion proposée par le Conseil mondial des Églises (CMI) lors de sa 9e Assemblée à Porto Alegre dont le thème était «Dieu, dans ta grâce, transforme le monde». Selon Musskopf (2009, p. 33), la proposition affirme le droit (et la nécessité) de refuser les virgules, de rapprocher Dieu du monde, de le décoloniser et de revisiter ses images qui uniformisent les relations blessées, et affirme la grâce basée sur des mouvements transformation et récréation. La grâce comme synonyme de plaisanterie, de plaisanterie, contredit le principe du don de la grâce comme synonyme de don surnaturel comme moyen de salut qui appartient à Dieu, et non au monde, puisque le monde n’a pas le don de la grâce, et, par conséquent, la proposition devient inefficace pour provoquer la transformation de Dieu (Hé 13: 8).

En réalité, cela ne prévoit pas une continuité de la construction théologique suggérée – «une voie libératrice pour les personnes discriminées et exclues en raison de leur orientation sexuelle ou de leur identité de genre» -, mais une discontinuité de cette construction car elle n’est pas basée sur le traditionnel théologie dont les discours considèrent les hégémons hétérocentriques, mais dans une théologie qui, bien qu’elle soit digne de s’opposer à des principes d’exclusion enracinés dans la société qui n’ont rien à voir avec les principes divins, s’oppose à ces derniers en utilisant l’approche queer elle-même comme «provocation», non seulement contre les limites de l’analyse du genre qui rendent l’homoculture irréalisable comme ils le préconisent, mais contre ce qui apparaît dans cette théologie qu’ils ont l’intention de «cesser/continuer», c’est-à-dire les doctrines et principes bibliques dont les explications théologiques ne semblent pas correspondre à cela transformation souhaitée.

Par exemple, le personnage central de l’œuvre «Via(da)gens Teológicas» (MUSSKOPF, 2008, p. 26) est un cerf dont les éléments constitutifs servent à montrer que la théologie qu’ils entendent construire à partir d’itinéraires queer articulant religiosité et sexualité cela ne peut être fait que comme un joyau    via(da)gem. Et qu’est-ce qu’un viaduc? La syllabe –da ajoutée au nom «voyage» insère un nouveau sens dans le terme initial: une construction des identités sexuelles à partir d’itinéraires que la nouvelle théologie doit suivre et qui finissent par montrer une théologie queer qui, entre autres, repose sur des histoires qui présentent une «nouvelle façon de faire et de penser» basée sur l’ambiguïté de l’être et du faire comme phénomène de résistance à ce qui est compris comme un antidote contre l’absolutisme et le fanatisme, proposant que ce soit une condition fondamentale de l’homme, de l’Église , de la vie, de la théologie; cependant, il n’y a aucune ambiguïté dans aucun de ces éléments; il n’y a pas «d’ambiguïté dans la constitution de l’identité (sexuelle et religieuse)». L’ambiguïté est synonyme de doute, d’incertitude, avec une signification variée. Comment quelque chose qui exprime un caractère d’incertitude peut-il servir de principe épistémologique pour articuler des thèmes pour diverses discussions? Il peut même être utilisé comme phénomène de résistance pour ne pas répondre et fournir une solution plausible, mais uniquement pour tenter de déconstruire toute contre-force. Quel avantage y a-t-il à cela? Quelle réponse clarifiante? Quelle science, fondée sur des principes incertains?

Précisément à ce stade, l’être humain ne peut pas être classé comme un être ambigu. Une personne ambiguë a un trouble psychologique puisque l’être humain n’est pas essentiellement bipolaire, parce que la manifestation de la bipolarité est le reflet d’une psychopathologie, quelque chose qui n’est pas intrinsèque à la nature humaine, mais le résultat d’un conditionnement humain; par conséquent, l’ambiguïté est liée à l’État et non à l’être.

L’homme n’a pas deux caractères bons et mauvais à la fois – il n’est pas ambigu, il ne vit pas dans un état permanent d’ambiguïté; ce qui se passe réellement dans la vie humaine est une manifestation d’émotions différentes qui conduisent l’homme à commettre de bons et de mauvais actes – «commettre», et non «être» -, ces actes étant de simples conséquences de certaines conditions qui lui sont imposées ou qui lui sont imposées. Pour illustrer, un bandit qui a bon cœur mais qui a un mauvais comportement social; il n’est pas ambigu, car il n’est ni bon ni mauvais – il est bon, mais il pratique de mauvaises choses.

Par exemple, mon grand-père Francisco Baptista Campello a vécu à Ceará-Mirim où, pendant un certain temps, Virgulino Ferreira da Silva, alias Lampião, Roi de Cangaço, l’un des plus grands bandits du Brésil, Robin Hood de l’arrière-pays brésilien qui se souciait des pauvres. et les a aidés. Un jour, mon grand-père a trouvé Lampião et a exprimé son désir de rejoindre son groupe, auquel Lampião a immédiatement répondu: «Hé, gamin, ce n’est pas un endroit pour toi, non; aller à l’école pour étudier; c’est ce que vous devez faire ». Lampião était un hors-la-loi qui valorisait l’éducation car il guidait mon grand-père contrairement à ce qu’il proposait alors qu’il aurait pu l’accepter dans la meute, lui donnant les instructions respectives sur la façon de devenir un bandit et de devenir capable de faire partie du gang; cependant, il voulait le bien des enfants, c’est-à-dire un bandit qui suivait la voie du mal, mais qui enseignait la voie du bien, du moins aux enfants.

Bibliquement, il n’y a aucun être humain ambigu: «Tout le monde s’est écarté du droit chemin» (Rom. 3:12). Il est donc entendu que chacun appartenait au droit chemin; par conséquent, tous étaient corrects, dans leur essence originelle, impliquant dans cette correction toutes les autres qualités correspondantes telles que la bonté, la perfection, la droiture, etc. Tout était juste correct, sans ambiguïté. Cependant, après la chute spirituelle rapportée dans le livre de la Genèse (3: 6), le péché qui se révèle dans le caractère humain et la conduite humaine à travers des actions et des paroles – donnant lieu à de multiples manifestations du bien et du mal, du bien et du mal, ce qui la compréhension de l’ambiguïté ontologique -, prouve que rien de bon ne peut venir des gens, parce que chacun a perdu cette essence originelle et s’est écarté du droit chemin, cédant la place à des fourchettes morales et spirituelles qui fuient la direction tracée au début. Cela semble être ce que la Bible révèle, que l’homme a été créé bon, mais il a été déformé à moitié. Il est donc entendu que l’homme n’est pas ambigu par nature; il devient circonstanciellement ambigu, c’est-à-dire que sa personnalité est façonnée en s’adaptant à une certaine occasion ou condition – une question d’état et non d’être.

Vlahou (2007) cite Umberto Veronesi, un oncologue, qui déclare scientifiquement: «L’homme perd ses caractéristiques et tend à devenir une figure sexuellement ambiguë, tandis que la femme devient plus masculine. De cette manière, la société évolue vers un modèle unique ». En d’autres termes, les hommes et les femmes ne sont pas sexuellement ambigus, mais ils ont tendance à le devenir – ils perdent leurs caractéristiques d’origine, tout comme ils ont été bibliquement perdus en cours de route: une question biblico-scientifique. Il ressort clairement de l’affirmation du médecin que, pour être ambigu par nature, tout chez l’homme doit être ambigu, mais dans le cas présent expliqué par lui, ce n’est pas le cas.

Et pourtant, dans le dictionnaire,

Lorsque nous parlons d’ambiguïté, que quelque chose ou quelqu’un est ambigu, nous voulons dire que cette personne ou cette circonstance ne nous montre pas ses véritables caractéristiques si elle ne les cache pas ou ne les laisse pas en clair. Cela peut être une décision spécialement prise (lorsqu’une personne est clairement ambiguë à certaines occasions en fonction de son intérêt et du public qu’elle présente) ou fortuite (comme lorsqu’une situation est essentiellement difficile à comprendre ou à comprendre). L’ambiguïté s’applique aux personnes qui ont normalement une cessation de négativité, car cela signifie que l’individu en question n’est pas totalement honnête ou sincère et qu’il se cache sa vraie personnalité à travers différentes facettes, expressions ou modes de pensée (Editorial Que Conceito, 2005-2019 ).

conceptualisant le terme «l’ambiguïté s’applique aux personnes qui (…)», il est entendu que l’ambiguïté est une condition qui s’applique spécifiquement à certaines personnes, pas à toutes les personnes; c’est une condition qui ne peut être généralisée. Par conséquent, preuve supplémentaire que l’être humain n’est pas un être essentiellement ambigu. Vous ne pouvez pas confondre «être» avec «être» ou «devenir». De plus, ce texte actuel, dont il ressort que «l’individu cache son être véritable», est en accord avec le texte biblique (Gn 3, 10 – le même chapitre cité plus haut faisant référence à la chute de l’homme) où l’homme déclare «je me suis caché»; dans l’ambiguïté, l’homme cache son être véritable, présentant ainsi l’un des visages qui se manifeste opportunément, cachant une essence réelle qui lui est caractéristique.

Conclusion: l’homme n’est pas ambigu comme il l’entend ou le suggère.

Compte tenu de cette réponse, revenons au sujet du terme utilisé dans le titre de l’ouvrage mentionné ci-dessus: Via(da)gens (…). Ce nom, dans sa forme originale – Viadagem -, dont la syllabe -da se trouve entre parenthèses (compte tenu de la signification voulue de «viadagens», indispensable à l’œuvre, comme emphatique pour son thème, dont l’intention de l’auteur de signifier «voyages» est compris », Compte tenu du contexte de l’ouvrage qui dépeint les voyages théologiques en territoire latino-américain, présentant des situations rarement étudiées par la théologie traditionnelle concernant la classe LGBTTI, il n’a été trouvé que dans le Dictionnaire informel avec les définitions suivantes: por Atoabh (2007) – «Attitudes qui évoquent l’homosexualité»; par Tavares (2014) – «comportement efféminé de certains hommes. Identique à l’errance»; par Chini (2014) – «comportement efféminé d’un homosexuel». Confronter «Veadage»: Attitude du cerf (homme homosexuel).

Le terme «Viado», dont le terme «viadagem» est dérivé, n’apparaît également que dans le même dictionnaire informel, fournissant une explication supplémentaire et plus détaillée du terme en question:

a) L’origine du mot viado, qui signifie homosexuel masculin, vient probablement de errant;

b) Homme homosexuel;

c) Le mot est né de la réduction du mot transféré, celui qui a transféré, est passé d’une manière normale à une autre à laquelle il n’était pas destiné. Alors pédé est l’homme qui a changé de voie sexuelle, homosexuel;

d) Façon péjorative d’appeler les homosexuels, la plus correcte serait homosexuelle, ou

Confronter «Cerf»: Beaucoup de gens confondent CERF avec VIADO. «Viado» est la réduction de «égaré» (qui sortait du chemin, du chemin) et est utilisé pour désigner les homosexuels masculins. Le «Cerf» est un animal. (sic)

Ainsi, «viadagem» est une dérivation du terme «viado». Ce dernier désigne un être (non) guidé par un itinéraire initialement proposé face à un nouveau. Cet écart nécessite de nouveaux itinéraires qui, à leur tour, nécessitent des changements dans les plans. Par conséquent, il n’y aurait aucun moyen pour un «viado» (selon la description du dictionnaire ci-dessus) de faire des voyages sans viaducs, comme l’affirme Musskopf (2008, p. 26): «la théologie qui est proposée de construire à partir de ces itinéraires ne peut être fait à moins que via(da)gem », car cet attribut lui est propre; il n’y aurait aucun moyen pour un «pédé» (égaré) de prendre de vieux chemins dont il s’est déjà écarté. Par conséquent, il est déduit qu’il est nécessaire de planifier, de concevoir un nouveau chemin dans une nouvelle direction. Logiquement, l’auteur connaissait bien les termes et connaissait toutes leurs implications lors de la création du titre de l’œuvre; bientôt, il a commencé à parler de la nouvelle voie théologique et à essayer de l’adapter à une nouvelle sphère théologique qui inclut des êtres humains «viables», c’est-à-dire errants – qui sont déviés du chemin normal, hors de la voie où ils d’abord envoyé, comme décrit ci-dessus -, et maintenant ils doivent être envoyés vers un nouveau chemin dans lequel ils ne se sentent pas «viados» (transférés), mais introduits. Cette nouvelle voie proposée pour ces personnes se retrouve dans la théologie queer, qui dans l’œuvre de Musskopf, par exemple, dialogue avec le tableau de Frida Khalo (1946), La venadita »ou« Le cerf blessé »- l’associant à l’homosexualité dans le contexte brésilien, selon Musskopf (2008, p. 5) -, qui la représentait, un cerf fragile, sans défense et condamné au martyre après avoir été blessé par des chasseurs dans une forêt; il semble libre, mais se trouve en fait dans un labyrinthe d’arbres qui l’emprisonnent, l’empêchant de s’échapper. Maribondo (2007), tente d’expliquer le terme «cerf»:

Etymologie: il n’y a pas d’explication satisfaisante à l’utilisation du mot comme tabou pour les homosexuels masculins, mais on dit qu’à l’époque de l’Empire, à partir du milieu du XIXe siècle, sur les places de Rio de Janeiro, les garçons se rencontraient joyeusement, former des troupeaux pour, entre autres objectifs, rencontrer les riches de l’époque en quête d’aventures sexuelles. Lorsque la police, qui n’était jamais très proche des cerfs, s’est approchée de la chasse au trottoir, les enfants ont couru à pas de géant, tout comme leurs homonymes de cerfs. C’est à partir de là que le nom qui a émergé a été établi comme l’une des insultes les plus populaires au Brésil. (sic)

Compte tenu de ce concept, il semble qu’une œuvre très riche en détails, comme cette œuvre, utilise un terme considéré comme insultant, même s’il existe des œuvres artistiques et littéraires qui le font, mais il a une connotation péjorative, n’étant pas très favorable. Son utilisation pour défendre les thèses d’une telle responsabilité socioculturelle a été appréciée.

4. CONSIDÉRATIONS FINALES

En bref, il est à noter qu’il est nécessaire de réaliser des études bilatérales impartiales sur ce sujet. Dans cet article, le souci concernant la conceptualisation des bases de la réfutation de l’homosexualité dans la perspective biblique est entrevu, en considérant les aspects socio-religieux, socio-scripturaux, socio-ecclésiastiques, comme nécessaires, afin qu’ils ne soient pas des interprétations ou des points personnels. de vue du chercheur à défendre., mais qu’il entend présenter le discours biblique dans tout son contexte respectif accompagné d’arguments extra-bibliques, voire profanes, afin d’évaluer les discours qui y font référence, qu’ils soient consonnants ou dissonant d’arguments qui, précisément évalués, peuvent être considérés comme pertinents ou non. Pour ce faire, on peut évaluer a) les arguments bibliques qui élucident les réfutations contre l’homosexualité prônées par l’Église, qui a la Sainte Bible comme instrument religieux légal, ainsi que les arguments extra-bibliques qui maintiennent une relation homogène vis-à-vis de ce religieux. instrument. Cela se fera dans le but de parvenir à un consensus unanime sur s’il existe des bases scripturaires concrètes et essentielles pour que l’homosexualité soit niée dans l’Église; b) les arguments des apologistes du phénomène de l’homosexualité, qui se battent pour leur inclusion dans l’environnement ecclésiastique, en tenant compte de l’instrument religieux légal de l’Église, qui est la Sainte Bible sur laquelle se fondent, entre autres, leurs arguments. Le plus important est de pouvoir parvenir à un consensus unanime sur la question de savoir s’il existe des bases scripturaires concrètes et essentielles pour que l’homosexualité soit acceptée dans l’Église.

Les arguments pro-réfutation et anti-réfutation doivent être pris en compte afin de poursuivre le développement de l’objet de cet article, qui est d’élucider la position sur la question du genre qui est pleinement conforme à la thèse biblique (la base réglementaire de l’Église) concernant à la sphère de la sexualité humaine. Il est donc nécessaire de comparer les arguments sur la position de l’Église concernant l’homosexualité et la position de ses apologistes afin de parvenir à un consensus rationnel et logique sur ce qui est souhaitable et applicable en termes de pacification et de respect des deux revendications concernant les droits et devoirs respectifs, ou mieux appliquer les termes, sur la manière de se manifester, de manière responsable et consciente, face à leurs conditions respectives d’application.

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[1] Doctorant en Enseignement Supérieur, Master en Sciences Religieuses, Spécialiste en Enseignement Supérieur, Spécialiste en Traduction, Licence en Théologie, Licence et Licencié en Littérature.

Soumis: septembre 2020.

Approuvé: février 2021.

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Mônica Conte Campello

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