REVISTACIENTIFICAMULTIDISCIPLINARNUCLEODOCONHECIMENTO

Revista Científica Multidisciplinar

Pesquisar nos:
Filter by Categorias
Administration
Administration navale
Agronomie
Architecture
Art
Biologie
Chimie
Communication
Comptabilité
cuisine
De marketing
Dentisterie
Déontologie
Droit
Éducation
Éducation physique
Environnement
Génie Agricole
Génie chimique
Génie de l’environnement
génie électrique
Génie informatique
Génie mécanique
Géographie
Histoire
Ingénierie de production
Ingénierie de production
l'informatique
Littérature
Mathématiques
Météo
Nutrition
Paroles
Pédagogie
Philosophie
Physique
Psychologie
Santé
Science de la Religion
Sciences aéronautiques
Sciences sociales
Sem categoria
Sociologie
Technologie
Théologie
Tourisme
Travaux Publics
Vétérinaire
Zootechnie
Pesquisar por:
Selecionar todos
Autores
Palavras-Chave
Comentários
Anexos / Arquivos

Féminicide avec l’avènement de la loi n ° 13,104 / 2015

RC: 83515
38
5/5 - (1 vote)
DOI: ESTE ARTIGO AINDA NÃO POSSUI DOI
SOLICITAR AGORA!

CONTEÚDO

ARTICLE ORIGINAL

CORDEIRO, Alexandre Dos Santos [1], SILVA, Rubens Alves da [2]

CORDEIRO, Alexandre Dos Santos. SILVA, Rubens Alves da. Féminicide avec l’avènement de la loi n ° 13,104 / 2015. Revista Científica Multidisciplinar Núcleo do Conhecimento. An 04, Ed. 09, Vol. 01, pp. 24-43. septembre 2019. ISSN: 2448-0959, Lien d’accès: https://www.nucleodoconhecimento.com.br/droit/feminicide-avec-lavenement

RÉSUMÉ

L’objectif de ces travaux était d’analyser le féminicide avec l’avènement de la loi no. 13.104/2015. La brutalité à l’égard des femmes est l’un des prodiges les plus dénoncés et les plus touchés, visiblement un problème social, imposant ce fait aux conséquences dévastatrices du sang-froid humain et de la santé publique. Les femmes sont conceptualisées comme tout comportement, action ou bluff, basé sur le sexe, qui cause la mort, les blessures ou les souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques au compagnon, dans le domaine public ou privé. Les principaux types de violence à l’égard des femmes sont : la brutalité sexuelle, le site sexuel, le site moral et le féminicide. Le crime est principalement accepté dans l’environnement domestique et familial, où l’agresseur est consécutivement le partenaire favorable. Une appréhension chez les homosexuels, les transsexuels et les congénères pour ne pas être confinés, parce qu’ils ne constituent pas biologiquement reconnus comme des femmes. Une analyse des situations acceptables imposées dans les actions résultant de la typification de la brutalité du genre féminicide est une conjecture, en vérifiant directement d’autres articles de droit, il dirige les applicateurs de la nouvelle loi, la méfiance et le temps, en fournissant des matériaux afin que, dans les mains des commerçants de droite, peut entraîner la moralité d’autres transsexuels, homosexuels, lesbiennes, espèces travestis, et de cette façon tous les actes commis contre la femme découlant d’une espèce ou la convivialité, même si égalitaire est caractérisé comme féminicide.

Mots-clés: féminicide, brutalité, femme, espèce.

1. INTRODUCTION

Le féminicide est une infraction odieuse au Brésil selon la loi 13.104/2015 qui à son tour acidifié le code pénal et l’a qualifié, un tel crime est commis contre les femmes en raison de la classe d’être une femme. Il abuse d’avertir que, exceptionnellement, le féminicide est conforme, lorsque les origines sont prouvées, qui sont: les agressions physiques ou psychologiques, l’agression ou le site sexuel, la torture, les mutilations génitales, les passages à tabac parmi une autre forme de brutalité qui génère la mort d’une femme, pour une question particulière de genre. La violence à l’égard des femmes a généralement une motivation frivole. L’alcoolisme, la toxicomanie et les exigences financières exacerbent les facteurs, mais c’est la macheza déclarée dans le désir quotidien de domination qui détermine la majorité absolue. Ce sont des déclarations de base des agresseurs qui voient les femmes comme des objets de leur domination, et qui les blâment pour ce qui s’est passé. Étant une question d’expérience culturelle, c’est devenu un problème de santé publique, et des preuves croissantes que la brutalité domestique s’accompagne de traumatismes physiques et mentaux, ant de nombreuses femmes à demander invariablement des services de santé. L’événement de la violence à l’égard des femmes est œcuménique et est approvisionné dans la vie de la famille. La femme est née pour correspondre au père, puis à son mari, sans avoir aucun droit, d’être empêchée de voter et de recevoir sa propre subsistance, d’accomplir des activités subordonnées, comme élever des enfants et s’inquiéter des devoirs. Ainsi, elle a été apprivoisée à son mari, qui est récompensé pour travailler et subvenir aux besoins de sa femme et de ses enfants, pratiquant ainsi le pouvoir sur toute la famille (WAISELFISZ, 2016).

2. ASPECT HISTORIQUE DE LA VIOLENCE FAMILIALE ET FAMILIALE

2.1 VIOLENCE

Dans cet argument, il vaut la peine de prouver par des aspects historiques l’évolution de la violence sexiste, en présentant la façon dont les femmes étaient socialement perçues sous un parti pris patriarcal. Depuis la longévité des abus subis par les femmes depuis des années allongées, c’était un scénario naturel et légitimé à travers un exemple social imposé traversé de la famille et les bodes matrimoniaux par le moralisme masculin clément (FONSECA; SOUZA, NASCIMENTO, 2006).

En guidant cette question, il est nécessaire d’élucider qu’ils ont des concepts distincts de violence qui affectent les femmes, selon la lecture:

Violence à l’égard des femmes : contour caractéristique de la violence interpersonnelle, pratiquée par les hommes et dirigée contre les femmes. Violence sexiste : respect des rôles égalitaires attribués aux hommes et aux femmes, embeited par les cultures patriarcales, qui constituent des analogies de violence entre les sexes et non pas les différends entre les hommes et les femmes qui provoquent le recours à la violence à l’égard des femmes. Violence domestique : entre les hommes et les femmes, les parents et les enfants, jeunes et moins jeunes. La violence à l’égard des femmes constitue une agression psychologique, physique, sexuelle et dans un espace privé ou public, avec l’individu à qui la victime se rapporte ou se rapporte affectueusement. En raison de l’indice flashy de cette modalité dans l’espace privé, il est venu à être connu sous le nom de violence domestique (FONSECA; SOUZA, NASCIMENTO, 2006).

Selon HELKER (2016), les abus à l’égard des femmes fournissent une sombre constitution historique des préjugés liés au genre, à la classe, à la race et à l’ethnicité dans leurs analogies de pouvoir, obtenant ainsi les définitions et approbations les plus diverses, selon le sens de la loi 11.343/06, Maria da Penha, à l’article 5:

La violence peut être acceptée comme tout comportement basé sur le sexe, qui cause ou est susceptible de causer la mort, la torture ou la consternation physique, sexuelle ou psychologique des femmes – si souvent dans le domaine public et privé. Plusieurs dispositions engagées dans la lutte contre la violence à l’égard des femmes: L’Organisation des Nations Unies (ONU) a commencé ses efforts contre cette brutalité dans les années 1950, avec l’enthousiasme créatif de la Commission de la condition de la femme qu’elle a constituée entre les années 49 et 62. une série d’ajustements fondés sur les dispositions de la Charte des Nations Unies – qui garantissent expressément des droits analogues entre les hommes et les femmes – la Déclaration universelle des droits de l’homme – qui, ensemble, suppose des droits de l’homme et des sanctions doivent être juxtaposées à nouveau aux hommes et aux femmes, sans tout type (HELKER, 2016, p.13).

2.2 CYCLES DE VIOLENCE

Selon SOUZA (2015), avertit que la société est exorbitante vénérable et n’a aucun moyen de contredire, bien que le patriarcat n’est pas toujours commode.

Au début de l’humanité, les groupes n’étaient pas conscients de l’analogie entre le sexe et la procréation, constituant la fécondité imposée exclusivement des femmes et, précisément pour cela, la femme avait une performance de preuve dans la structure sociale. Il n’y avait aucune idée ici de monogamie, constituant le mariage fait par les foules et, par conséquent, les descendants ont été exclusivement reconnus par la lignée maternelle (SOUZA, 2015, p.9).

LINS (2007) affirme que la domestication des animaux est venue de la découverte de la contribution de l’homme à la procréation, ce qui a entraîné une rupture claire dans l’histoire. Cette découverte a décomposé la relation entre l’homme et la femme. L’homme a finalement découvert son rôle impérieux dans un pays où sa puissance a été niée.

2.3 LE COÛT ÉPARGNÉ PAR LA VIOLENCE DOMESTIQUE

La violence domestique génère encore des dépenses économiques, en général en vantant l’aide médicale, l’institution juridique responsable et d’énormes valeurs d’opportunité. Connaître ce type de corrélation contribue à la mise en forme des politiques publiques qui rendent l’apparition de nouveaux cas autant que possible (LACAYO, 2017).

Selon LACAYO (2017), selon les conséquences et les valeurs de la violence, qui ont des répercussions sur l’individu et les survivants, les auteurs et autres personnes blessées par la violence, ainsi que sur la famille, le groupe et la société dans son ensemble, causant des coûts élevés pour les pays cités :

La violence à l’égard des femmes et des filles a un coût élevé, non seulement en raison de la détresse invisible et de l’impact sur leurs caractéristiques de vie et de bien-être, mais aussi en raison des valeurs que le survivant et sa famille adopteront dans le traitement des leur santé (physique ou mentale), montrant leur travail et leurs finances. Il y a une conséquence de tout cela chez les enfants. Un choix de dix opportunités et facteurs de risque de handicap et de décès pour les femmes de 15 à 44 ans, de viol et de violence domestique et de genre, à leur manière, acceptées comme cas supérieur au cancer, aux accidents de la circulation, à la guerre et au paludisme Blessures contenues comme des fractures et des hémorragies, ainsi que des maladies physiques de longue durée (par exemple: maladies gastro-intestinales, troubles du système nerveux central, douleurs chroniques). Maladies mentales, telles que dépression, anxiété, troubles de stress post-traumatique, essai de suicide. Problèmes sexuels et reproductifs tels que les infections sexuellement transmissibles (y compris le VIH) et d’autres maladies chroniques; dysfonctionnements sexuels; les grossesses forcées ou non désirées et les avortements indécis; risques pour la santé maternelle et fœtale (notamment en cas de maltraitance pendant la grossesse) (LACAYO, 2017, p. 2-3).

Selon NOGUEIRA (2017), le manque de regroupement, la difficulté à prendre des décisions, l’incertitude ou l’imprévu et l’augmentation importante des absences sont les impacts les plus expressifs de la violence domestique sur la vie professionnelle de milliers de femmes au Brésil.

2.4 FORMES DE VIOLENCE

Selon le BIF (2018), les abus peuvent être démontrés de diverses sorcelleries, constituant une grande influence du patriarcat, et sont d’une sorte de domination de l’espèce femelle par le masculin.

Dans le domaine des relations privées, la violence à l’égard des femmes est un aspect fondamental de la culture patriarcale. La violence domestique est une forme de violence physique ou psychologique pratiquée par les hommes contre les femmes dans le contexte de relations de familiarité, se révélant comme un pouvoir de possession d’un caractère patriarcal. Nous pouvons considérer la violence domestique comme une condition de punition qui pratique pour conditionner le comportement des femmes et prouver qu’elles n’ont pas le domaine de leur propre vie (FERRAZ et al., 2013, p.470).

2.4.1 VIOLENCE PSYCHOLOGIQUE

Pour GUEDES & GOMES (2018), la violence psychologique est celle qui englobe l’estime de soi de la femme, la laissant avec une faible estime de soi et conduisant souvent à la dépression, sont généralement accusés de jurons, embarras, rétrogradations, pénitence, chantage, tout ce qui donne lieu à ses restrictions d’aller et venir.

L’article 7 II de la loi n° 11 340/06 prévoit que: II – violence psychologique, couvert comme toute procédure qui provoque un préjudice émotionnel et la dévalorisation de l’estime de soi ou qui le rend inutile et perturber la pleine augmentation ou qui dirige dégrader ou domine ses actions, conduites, croyances et dispositions, par la menace, compression, affront, manipulation, isolement, soins constants, conduite brutale, offense, ultimatum, ridicule, oppression et obstacle du droit d’aller et venir ou quelque chose d’autre qui cause des dommages à la santé psychologique et l’autodétermination (BRASIL, 2018).

Selon MARTINELLI (2018), il est souvent complexe de reconnaître une victime de violence psychologique, et on peut avertir que plusieurs femmes ne demandent pas d’aide et révoquent en acceptant la façon dont elles sont approchées et ne se déplacent pas avec une telle violence, parce qu’elles révoquent en concevant dans leur tête que la raison d’une telle agression est au caractère tel qu’il agit, en plus des raisons alléguées auparavant, la jalousie finit par se composer d’un grand méchant , par la façon dont elle s’habille, le maquillage, et l’agresseur conçoit dans sa tête qu’elle se jette sur une autre personne induisant à commettre des violences.

2.4.2 VIOLENCE SEXUELLE

Le BIF (2018) affirme que tout acte ou procédure qui conduit au harcèlement ou à la connaissance de rapports sexuels non désirés, par viol, agression sexuelle, intimidation et attentat à la pudeur, est présenté comme une violence sexuelle.

Cette brutalité est décrite dans la loi n° 11 340/06 au paragraphe 7(III). – la brutalité sexuelle, obtenue comme toute conduite qui l’oblige à témoigner, à retenir ou à informer d’une relation sexuelle involontaire, en mettant en garde, en intimider, en réprimant ou en faisant preuve de courage; ce qui l’amène à revendre ou à employer sa sexualité de toute façon, à l’empêcher d’utiliser une procédure contraceptive ou à la forcer à se marier, à se marier, à se marier, à avorter ou à vivre facilement, au moyen d’inhibition, d’avertissement, d’assurance ou de manipulation; ou qui atteint ou invalide l’agilité de leurs droits sexuels et reproducteurs (BRASIL, 2018).

Selon SOUZA; ROCHA; SIQUEIRA (2019), dit que la personne violée calcule avec un accueil immédiat dans les réseaux de santé notoires, parce que face à cette brutalité les auxiliaires sont obligés de donner une assistance à ces femmes qui n’ont pas donné l’ordre d’avoir des affinités sexuelles, de même, ils recevront la pilule du jour conséquent, avec la collecte de matériel pour l’exécution du VIH ou d’autres types de maladies sexuellement transmissibles , entre autres moyens pour préserver votre vie.

2.4.3 BIENS ET VIOLENCE MORALE

Selon le BRASIL (2018), la brutalité des biens est imposée dans la loi n° 11 340/06 au paragraphe 7 (article IV).

IV – Brutalité patrimoniale, couverte comme toute procédure qui configure la fixation, la soustraction, l’anéantissement partiel ou absolu de ses objets, appareils de travail, renseignements personnels, biens, pièces jointes et droits ou solutions économiques, contenant ceux destinés à satisfaire à leurs obligations.

Selon le BRASIL (2018), la brutalité morale est présentée dans la loi n° 11 340/06 dans son paragraphe 7(V) où elle monte cela : brutalité morale, saisie comme tout comportement qui constitue calomnie, discrédit ou blessure.

BIF (2018), cite que, la brutalité qui nuit à l’honneur de quelqu’un, laissant tous ces crimes organisés dans le Code pénal brésilien.

La calomnie est d’attribuer à quelqu’un une infraction « qui lui impute déloyiquement le fait défini comme une infraction », étant en mesure d’avertir que la blessure apparaît lorsque la victime a sa dignité offensée, et diffamé signifiant lui-même le fait offensant pour la réputation de quelqu’un » (OPAS & BRASIL, 2018).

2.5 PROFIL DE L’AGRESSEUR ET DE LA VICTIME

MADUREIRA et. Al. (2014), affirme que la dureté de la brutalité perpétrée contre les femmes est démontrée dans les registres des décès de femmes dans le monde.

Selon SOUZA (2015), l’aggravation démontrée, chez un grand nombre de femmes, victimes de violences, choisit de continuer à vivre avec l’agresseur et, par conséquent, la prudence et les soins doivent couvrir non seulement les victimes, mais aussi les conjoints qui sont les auteurs de ces violences, avec ceux qui sont acceptés pour agir en faveur de la prise en charge de leur victimisation.

Pour DANTAS & LENHARO (2018), les abus chez les femmes sont commis par des adolescents et même des personnes âgées, mais dans la plupart des épisodes, les agresseurs sont des hommes âgés de 25 à 30 ans, ajoutant à cela, un autre problème majeur pertinent à ces agressions est la scolarisation, en distinguant que 47,6% des hommes qui sont responsables de cette agression n’ont même pas terminé leurs études, bien que les retraités ou les partenaires au chômage augmentent jusqu’à deux fois les possibilités de commettre ce type d’agressions.

3. FÉMINICIDE ET MESURES DE PROTECTION

Il convient d’avertir, rapports des endoctrineurs, sur la mise en œuvre des mesures de protection est l’une des lignes directrices de base indispensables pour l’efficacité des mesures de protection, dans la prévention du féminicide. Préciser la nécessité d’inspecter la mise en œuvre de mesures de protection telles que l’utilisation de normes, le système judiciaire et la police. Les professionnels impliqués dans le domaine des mesures de protection distinguent l’obligation d’intégration technologique entre les lois de la police et du système judiciaire. Afin de contenir le crime flagrant de défaut de la mesure de protection, qu’il est essentiel que la mesure de protection demeure en vigueur et que l’auteur du fait soit avisé de manière à ce qu’il y ait un crime de délinquance. Un autre facteur d’une plus grande pertinence est qu’il n’y aura pas d’agent de police pour chaque victime. Il est admirable que la femme, sa famille ou ses voisins puissent facilement communiquer que l’homme désobéit à la mesure et qu’il prend la prudence du féminicide avec l’arrestation de l’agresseur et du praticien des mauvais traitements contre les femmes (SANTOS, M.; ARAÚJO; SANTOS, J., 2015).

3.1.1 TYPES DE FÉMINICIDE

Pour HOCHMULLER (2014), cette classe peut être subdivisée en deux groupes : le féminicide non familial et le féminicide sexuel : selon la victime a été abusée sexuellement ou non, ce qui est très courant dans cette classe. Méditez sur le fait que le féminicide sexuel est une forme de terrorisme qui renforce la domination masculine et donne à toutes les femmes l’effet d’une insécurité consécutive.

Selon RODRIGUES (2015), féminicide intime : il s’agit d’actes commis par des conjoints avec lesquels la victime a ou a eu une relation intime, domestique, conviviale ou connexe. Cette classe couvre les crimes commis par des partenaires sexuels seulement ou par ceux avec qui le patient a ou contenait d’autres analogies interpersonnelles, comme les hommes, les partenaires ou les petits amis.

Selon SOUZA (2015), le féminicide n’est pas intime : ce sont ces agressions d’hommes avec lesquels la victime n’a pas de relations intimes, familiales ou conviviales, mais avec lesquelles elle était liée par des relations de certitude, de hiérarchie ou d’affection, entre patron et aide domestique, personnel ou même collègues.

RODRIGUES (2015), qui souligne que le féminicide par attaling: ils se produisent quand une femme interfère pour empêcher le meurtre d’une autre femme et, dans la procédure, finit par devenir une victime inévitable. Par son caractère, il est dispensable l’existence de jonctions entre l’agent et la victime pour le différencier, à laquelle ils peuvent même être ignorés.

3.2 DES MESURES GLOBALES DE PRÉVENTION

Dans ce qui dit la révérence pour les préventions régulières sur le féminicide est d’accueillir les mesures de protection urgentes du domaine du droit de la famille être promu par la victime devant le commandement de la police. La personne, lorsqu’elle enregistre le fait de l’exercice de la violence familiale, peut négocier le retrait des corps, des fournitures, sceller l’agresseur pour s’approcher de la victime et des membres de sa famille ou qu’elle est réprimée d’aller à certains endroits (DIAS, 2007).

Art. 22. Après l’exercice de la brutalité domestique et profondément contre les femmes, à proximité de cette loi, le juge peut immédiatement cultiver l’agresseur, à côté ou séparément (BRASIL, 2018).

Selon le BRASIL (2018), les mesures de protection logiques de l’urgence, entre autres:

I – Interruption de la possession ou de l’intimidation de la présence d’armes, avec adhésion à l’organe compétent, à l’voisinage d’un pacte avec la loi n° 10 826, imposé le 22 décembre 2003;

II – Enlèvement du domicile, du domicile ou du lieu de coexistence avec la victime; III – entrave aux comportements vérifiés, y compris : a) l’approximation de la victime, de ses intimes et de ses témoins, l’adsorption de la limite minimale de portée entre eux et l’agresseur; b) le contact avec les personnes aggravées, leurs proches et leurs témoins par un moyen de communication; c) la relation de certains sites afin de maintenir la probité physique et psychologique des insultés;

IV – Exception ou interruption des visites au deuxième degré conditionnées, entendues au groupe d’accueil multidisciplinaire ou à un emploi équivalent;

V – Quota d’aliments provisoires ou temporaires.

§ 1 – Les mesures de protection rapide compétentes peuvent être accordées immédiatement, involontairement, du jugement des parties et de la comparution du Ministère public, ce qui nécessite que cela soit immédiatement signalé.

§ 2 – Les mesures de protection rapides doivent être justifiées indépendamment ou cumulativement, et peuvent être échangées à un moment donné contre d’autres d’une efficacité maximale, consécutivement que les droits reconnus dans cette loi sont avertis ou violés.

§ 3 – Le magistrat peut, à la demande du procureur de la République ou rogatoire des offensés, accorder des mesures de protection d’urgence ou revoir celles déjà accordées, si elle est essentielle à la protection des blessés, de son intime et de son patrimoine, entendues par le Parquet (BRASIL, 2018).

Les mesures de protection qui jurent l’agresseur sont incluses dans l’article 22 de la loi 11.340/06 qui énumère les mesures de protection qui obligent l’agresseur, visant directement le sujet actif de la violence domestique, lui imposant des obligations et des restrictions, de telles mesures restreignent certains droits de l’agresseur afin de protéger la victime, en lui imposant un comportement omis, dont la conduite qui en veut à l’ordre d’abstention caractérisera alors le crime d’indiscipline à l’ordonnance du tribunal, avec une prévention exprimée à l’article 359 du Code pénal, avec probabilité d’arrestation évidente (PORTO, 2014, p.82).

Avec l’analogie avec les mesures de protection de l’urgence très encore la femme dans les circonstances de violence domestique et familiale aide est le destinataire élémentaire des mesures de protection, plusieurs d’entre eux adressent, aux membres de la famille, a souligné à la femme, aucun possédant une nature criminelle, étant en mesure d’être inclusif, être accumulé ou non, en fonction de la complexité et le caractère distinctif de l’affaire palpable (PORTO, 2014).

Article 23 de la loi sur les mesures de protection avec affinité avec les offensés, selon BIANCHINI (2014), art. 23. juge, le cas échéant, sans préjudice d’autres mesures, notamment :

I – S’adresser aux offensés et à son conditionné au programme officiel ou communautaire d’hébergement ou d’accueil;

II – Provoquer le renouvellement des blessés et celui de ses subordonnés au domicile relatif, après la misère de l’agresseur;

III – décider de l’aliénation du foyer vilipendé, sans porter préjudice aux droits relatifs à la propriété, à la garde des enfants et à l’alimentation;

IV – Provoquer l’enlèvement des corps.

Selon PORTO (2014), il fixe le paragraphe 24 de la loi elle-même, pour fixer l’art. 24. Pour la protection des biens de la société matrimoniale ou ceux du domaine privé de la femme, le juge peut, en premier lieu, donner lieu aux mesures qui en sont la conséquence, entre autres :

I – Retour de marchandises indûment diminuées par l’agresseur aux blessés;

II – Suspension provisoire pour la conclusion d’actes et de combinaisons d’achat, de vente et de location d’attributs en commun, à moins d’une autorisation judiciaire expliquée;

III – interruption des tâches conférées par le délinquant à l’agresseur;

IV – Paiement d’une caution provisoire, par dépôt judiciaire, pour les pertes et les pertes matérielles résultant de la pratique de la brutalité domestique et familiale à l’encontre des blessés.

Seul paragraphe : Le juge officie au bureau d’enregistrement pour qu’il soit jugé aux fins prévues aux paragraphes II et III de ce paragraphe.

3.3 FÉMINICIDE DANS L’ORDONNANCE JUDICIAIRE ET PÉNALE BRÉSILIENNE

BRASIL (2018) affirme que le féminicide dans le système juridique et pénal brésilien est compatible avec les organismes de protection établis par les droits de l’homme dans l’art. 226, point § 8 de la Magna Carta de 1988.

Toutefois, le féminicide dans le système juridique et pénal brésilien est publié le 7 août 2006 par la loi n° 11 340, qui réglemente les mécanismes d’abstention et de précataration de la brutalité domestique et intime à l’égard des femmes et la préparation de l’éducation des juges d’agression domestique et intime contre les femmes, ainsi que la formation de mesures pour soutenir et protéger les femmes dans des positions de brutalité domestique et intime. La loi Maria da Penha a une circonscription d’une grande protection, implique un plus grand chiffre de prestations légalement protégées, toute action ou suppression qui peut vous motiver à mourir; au détriment; consternation physique qui nuit à votre intégrité ou à votre bien-être corporel; brutalité psychologique qui peut être émotionnellement endommagée ou blessée, son hautain; violence sexuelle; patrimonial et moral en ce qui concerne la calomnie, le discrédit ou le revile (SANTOS, M.; ARAÚJO; SANTOS, J., 2015).

4. LOI 13.104/2015 – FÉMINICIDE

Selon MEDEIROS (2018), dit que la conception de la loi 13.104/2015 du 9 Mars 2015, a ajouté le point 121, § 2 du Code pénal, point VI. Avec l’élément original, le législateur devient odieux le crime commis contre les femmes par l’occasion de l’espèce femelle.

BITTENCOURTH (2018) affirme que les graves violations commises lors des aprumados féminins, ainsi que le bluff de l’État, sont désignées comme une typification du Code pénal brésilien, la classification du féminicide étant délibérée pour le terme féminicide défini selon la commission d’enquête parlementaire mixte sur la brutalité à l’égard des femmes. Le féminicide est la véhémence ultime de l’autorité de la femme par l’homme : le commandement de la vie et de la mort. Elle s’est manifestée par une déclaration inconditionnelle de possession, identique à celle de la femme à un objet, ainsi que commise par un partenaire ou un ex-partenaire, comme subjugation du contuberium et de la sexualité de la femme, par un élément de violence sexuelle adjuvant au meurtre, comme destruction du contubernium de la femme, par mutilation, je donne la défiguration de son chœur, réprimant la mortification ou le traitement cruel et offensant.

Selon PORTO (2014), le sens de la brutalité domestique pour différencier le crime de féminicide est déterminé par la loi Maria da Penha, loi 11.340/06, dans son paragraphe 5. Il ordonne que : Toute action ou suppression fondée sur le modèle qui cause la mort, les blessures, la douleur physique, sexuelle ou psychologique et l’aggravation morale ou patrimoniale, dans le domaine de l’unité employée, de la famille ou dans une relation intime d’attachement, involontairement d’orientation sexuelle.

Dit DIAS (2007), qui observe l’inspiration du crime de féminicide du paragraphe 121, point VI, la procédure vient d’être considérée comme une infraction odieuse, en se concentrant sur la liste de ceux énumérés dans la loi 8.072/90, avec affliction de 12 à 30 ans.

4.1 MODIFICATIONS APPORTÉES PAR LA LOI 13.104/2015 – FÉMINICIDE

Selon GUEDES & GOMES (2018), ils affirment que, le 9 mars 2015, la présidente Dilma Rousseff a déterminé la loi féminicide, une législation qui décompose le paragraphe 121 du Code pénal brésilien, impliquant le féminicide comme épisode de qualification et la liste des crimes odieux. Il est extraordinaire d’essayer de ne pas être en charge de l’unwillright de dire que le féminicide est un nouveau crime. La loi susmentionnée n’est pas celle dont le crime criminel, mais un qualificatif, le crime subordonné dont nous discutons est l’homicide et le féminicide est né sur la liste des épisodes qualifiés de ce type de délinquance. À propos d’un tel point culminant de nomenclature, il est également souligné que le point de repère féminicide est habituel pour quand une femme est massacrée, tandis que le féminicide adjacency est la mort d’une femme par des questions de genre ou par mépris ou discernement à la catégorie de la femme qui est un qualificatif de meurtre.

Selon SANTOS, M.; ARAÚJO; SANTOS, J.; (2015), pour le droit pénal brésilien, le féminicide, qui est l’anéantissement d’une femme fils, est une infraction qui ne calcule aucun lien avec la brutalité domestique ou dans une occasion de discernement à la condition d’une femme, juridiquement non pertinente.

Le féminicide peut être catégorique en tant que qualificatif du crime d’homicide issu de l’odiosité à l’égard des femmes, distinct par des conjonctions privées dans lesquelles l’appartenance des femmes aux femmes est essentielle dans le tirocínio du crime.

Art. 1. au paragraphe 121 du décret n° 2 848 du 7 décembre 1940, renvoyé au Code pénal au Brésil de 1940, est en vigueur avec le libellé qui en a conséquence:

Homicide simple : point 121;

Meurtre au premier degré : article § 2e;

Féminicide: VI – contre les femmes pour les espèces femelles;

§ 2 – A Ponderasse qu’il y a des questions de catégorie de genre féminin comme crime impliquant : I – brutalité domestique et familiale ; II – dénigrement ou discernement à la classe de la femme.

Le fait suivant est le paragraphe 2 et le paragraphe 1 de la loi n° 8 072, sanctionnés le 25 juillet 1990, d’être en vigueur avec l’amendement qui en a conséquence: l’art. 1º I – homicide (art. 121), tel qu’il est pratiqué à une vitesse typique de la coalition d’extermination, même s’il est confié par un seul délégué, et homicide classé au paragraphe 121, aux paragraphes § 2, I, II, III, IV, V et VI. (BRASIL, 2018).

Selon GAMA (2015), les causes ont évalué que la catégorie du sexe féminin, selon le législateur sont: 1) la brutalité domestique et intime; 2) mépris ou discernement à la classe de la femme. Dit BRASIL (2018), que pour le dire comme une brutalité domestique et intime, nous pouvons profiter du paragraphe 5 de la loi 11.340/2006:

Point 5 pour les conséquences de cette Loi selon la brutalité domestique et intime à l’encontre de la femme toute action ou élimination fondée sur le modèle qui cause sa mort, son préjudice, sa détresse physique, sexuelle ou psychologique et ses blessures éthiques ou patrimoniales :

I – Dans le domaine de l’unité domestique, couvert comme l’espace de conversation durable des gens, avec ou sans lien familial, même sporadiquement réunis;

II – Dans le domaine de la famille, couvert comme la conformité formée par des personnes qui sont ou s’évaluent liés, liés par des liens naturels, la cognation ou par la volonté expliquée;

III – dans une relation familiale d’affection, l’agresseur habite ou a vécu avec l’affront, cohabitation involontaire (BRASIL, 2018).

Pour aérer le féminicide, il suffit qu’il n’y ait qu’une seule des hypothèses empêchées dans §2-A (121) du Code pénal brésilien, la brutalité domestique et intime, ou le dénigrement ou la discrimination à l’égard de la catégorie de la femme.

BIANCHINI (2014) affirme que la loi sur le féminicide stipule toujours une majeure, où elle combine les sanctions dans les éléments spécifiques du paragraphe 7.

§ 7 la peine de féminicide est portée de 1/3 à 1/2 si le crime est perpétré :

I – Pendant la grossesse les trois mois après la naissance;

II – Contre une personne d’au moins quatorze ans et plus de soixante ans ou avec insuffisance;

III – dans la composition du descendant ou de l’ancêtre de la victime.

5. CONCLUSION

La loi Maria da Penha est un modèle d’obstination, d’assurance et d’être sensible à la nature humaine. J’ai averti qu’il s’agissait de mesures concises, même de nature internationale et organise un agrandisseur inefficace, à venir l’indice des périodes avant et après la force de la loi du féminicide No. 13.104/2015. L’article actuel dépeint les points les plus extraordinaires de la qualification féminicide. Il a été réalisé, une ruée historique de la brutalité entre les sexes, ainsi que l’efficacité dans la description du droit pénal face à ce triste fait que de nombreuses femmes vivent, ou ne survivent pas. Les lois brésiliennes sont évidentes le pouvoir symbolique que le droit pénal a et qui n’abusera pas purement de la création du féminicide sans l’implication de la puissance publique et de la population dans son ensemble, en conclusion, le plan principal est la contraception, et l’efficacité du début du sang-froid de la personne humaine, décantant de l’ensemble du système juridique brésilien.

6. RÉFÉRENCES

BIANCHINI, A. Lei nº 11.340/2006 de Maria da Penha. Aspectos Assistenciais: Protetivos e Criminais da brutalidade de gênero. 2. ed. São Paulo: Saraiva, 2014. Acesso em: 12 ago. 2019.

BIF, R. B. O Delito de Feminicídio e o Combate à Violência Contra as Mulheres. Trabalho de conclusão do curso em Bacharel em Direito: Araranguá – SC, 2018. Acesso em: 12 ago. 2019.

BITTENCOURTH, L. de O; SILVA, L. Z; ABREU, I. de S. Feminicídio No Brasil: A Cultura de Matar Mulheres. Internet: Site Multivix, 2018. Acesso em: 09 ago. 2019.

BRASIL. Casa Civil. Presidência da República. Assuntos Jurídicos. Decreto-Lei nº 2.848, sancionada em 07 de dezembro de 1940. Senado Federal: Brasília, 2018. Acesso em: 09 ago. 2019.

DANTAS, C.; LENHARO, M. Estudos sobre o atacante ajudam a condenar a brutalidade contra a mulher. Psicologias do Brasil, 2018. Acesso em: 09 ago. 2019.

DIAS, M. B. A lei Maria da Penha: estabelecida pela Lei nº. 11.340/2006. Revista dos Tribunais. São Paulo – SP, 2007. Acesso em: 12 ago. 2019.

FERRAZ, et. Al. Manual dos direitos da mulher. p. 470 São Paulo: Saraiva. 2013. Acesso em: 13 ago. 2019.

FONSECA, P. M.; SOUZA, L.; NASCIMENTO T. Brutalidade doméstica contra a mulher e seus Resultados psicológicos. Salvador (BA): EBM, 2006. Acesso em: 14 ago. 2019.

GAMA, P. G. G. da. Lei Maria da Penha e seus Aspectos Sociais, Implicação e Efetividade com Afinidade ao Feminicídio. Rio grande do Sul: Santa Cruz do Sul: UNISC, 2015. Acesso em: 20 ago. 2019.

GUEDES, B. K. S.; GOMES, F. K. S. Violência contra a mulher. Faculdades Cearenses, 2018. Acesso em: 11 ago. 2019.

HELKER, M. Da Agressão Doméstica Fatal Contra a Mulher. pag. 13. UNIR. Cacoal – RO, 2016. Acesso em: 21 ago. 2019.

HOCHMULLER, M. de A. Reflexos da Brutalidade de Gênero na Corte Interamericana de Direitos Humanos. UFSC. Florianópolis- SC, 2014. Acesso em: 17 ago. 2019.

LACAYO, V. Os custos sociais e econômicos da violência de gênero. p. 2-3. Internet: Site Rel Uita, 2017. Acesso em: 12 ago. 2019.

LINS, R. N. A Cama na Varanda: arejando nossas ideias a respeito de amor e sexo: novas tendências. Rio de Janeiro: Best Seller, 2007. Acesso em: 12 ago. 2019.

MADUREIRA, et. al. Perfil de cônjuges autores de brutalidade contra mulheres apreendidos em flagrante: apoios para o enfrentamento. Escritora Anna Nery, 2014. Acesso em: 12 ago. 2019.

MARTINELLI, A. Violência psicológica é a feitio mais individual de agressão contra a mulher: Huff Post Brasil, 2018. Acesso em: 12 ago. 2019.

MEDEIROS, L. CF 2018 e a brutalidade contra a mulher: a expressão mais patética da desigualdade de gênero no brasil. Portal das Cebs, 2018. Acesso em: 13 ago.2019.

NOGUEIRA, E. Brutalidade contra a mulher origina prejuízo de R$ 1 bilhão para reserva brasileira. Agência Brasil, 2017. Acesso em: 13 ago. 2019.

OPAS BRASIL. Violência. Internet: Site PAHO, 2018. Acesso em: 13 ago. 2019.

PORTO, P. R. F. Brutalidade Doméstica e Íntima Conta a Mulher: Lei 11.340/06 em análises crítica e sistêmica. 3. ed. p.82. Porto Alegre, 2014. Acesso em: 18 ago. 2019.

RODRIGUES, L. Pesquisa traça perfil de vítimas de brutalidade doméstica: em comum, inferior escolaridade, emprego e idade de 31 e 40 anos. Diário de Pernambuco, 2015. Acesso em: 14 ago. 2019.

SOUZA, C. D. P. de. Aspectos Ressaltantes do Feminicídio na Legislação Brasileira. Curso de Preparo à Magistratura Núcleo Curitiba. pag. 9. EMEPR. Curitiba – PR, 2015. Acesso: 20 ago. 2019.

SOUZA, K. O.; ROCHA, L. G.; SIQUEIRA, T. P. Cultura da brutalidade e o Feminicídio, uma saída ou um apanágio. UNESC. Cacoal (RO), 2019. Acesso em: 16 ago. 2019.

WAISELFISZ, J. J. Homicídio de Mulheres no Brasil. Mapa da Brutalidade. Brasília –DF, 2016. Acesso em: 15 ago. 2019.

[1] Diplômé de l’école de droit.

[2] Maîtrise en droit de la Faculté de droit de Southern Minas, FDSM, Brésil. Professeur de droit au CEULM/ULBRA, Manaus-AM.

Soumis : Août 2019.

Approuvé : Septembre 2019.

5/5 - (1 vote)

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *

POXA QUE TRISTE!😥

Este Artigo ainda não possui registro DOI, sem ele não podemos calcular as Citações!

SOLICITAR REGISTRO
Pesquisar por categoria…
Este anúncio ajuda a manter a Educação gratuita