REVISTACIENTIFICAMULTIDISCIPLINARNUCLEODOCONHECIMENTO

Revista Científica Multidisciplinar

Pesquisar nos:
Filter by Categorias
Administration
Administration navale
Agronomie
Architecture
Art
Biologie
Chimie
Communication
Comptabilité
cuisine
De marketing
Dentisterie
Déontologie
Droit
Éducation
Éducation physique
Environnement
Génie Agricole
Génie chimique
Génie de l’environnement
génie électrique
Génie informatique
Génie mécanique
Géographie
Histoire
Ingénierie de production
Ingénierie de production
l'informatique
Littérature
Mathématiques
Météo
Nutrition
Paroles
Pédagogie
Philosophie
Physique
Psychologie
Santé
Science de la Religion
Sciences aéronautiques
Sciences sociales
Sem categoria
Sociologie
Technologie
Théologie
Tourisme
Travaux Publics
Vétérinaire
Zootechnie
Pesquisar por:
Selecionar todos
Autores
Palavras-Chave
Comentários
Anexos / Arquivos

Les impositions et transferts d’informations de l’axe central de l’univers à la formation de la vie et du climat : essai théorique

RC: 138105
145
Rate this post
DOI: ESTE ARTIGO AINDA NÃO POSSUI DOI
SOLICITAR AGORA!

CONTEÚDO

ESSAI THEORIQUE

SANTOS, Irineu de Oliveira[1]

SANTOS, Irineu de Oliveira. Les impositions et transferts d’informations de l’axe central de l’univers à la formation de la vie et du climat : essai théorique. Revista Científica Multidisciplinar Núcleo do Conhecimento. Année. 07, éd. 08, Vol. 07, p. 80-119. Août 2022. ISSN : 2448-0959, lien d’accès: https://www.nucleodoconhecimento.com.br/fisica-fr/axe-central-de-lunivers

RÉSUMÉ

L’essai théorique vise à attirer l’attention sur les forces électromagnétiques gravitationnelles intemporelles de vitesses et d’énergies inconnues qui partent d’une certaine manière et d’un lieu au-delà du temps, sous les formes de la physique classique et de la physique quantique, et comme nous, en utilisant ces ressources de temporalité et les résultats anticipés de réaction des personnes concernées, nous pourrons sauver des vies. Il traite également de l’existence d’un axe central dans le macro-univers, qui entraîne de lui-même, des vibrations dans des types et des catégories qui nous semblent se produire en temps zéro, ou temporellement rétroactives, supérieures aux ondes rétrogrades (HFR), peut-être dues à en utilisant des plis d’autres dimensions. Ces « informations » reçues instantanément par toutes les galaxies, pénètrent les corps jusqu’au cœur du plus grand soleil ou trou cosmique, libérant des informations qui sont ensuite ruminées et régurgitées depuis les noyaux des corps revenant à la surface de ces étoiles de manière echo répétitive et modifiée, avec des temps différents types d’ascension, selon les Super Fluid Waves-Hybrids. La composition de cet écho interfère avec les forces ou les énergies que possèdent ces étoiles, car la force et la temporalité affectent toujours tout ce qui existe, à l’intérieur, sur ou autour de ces corps célestes, modifiant ce que l’intelligence appelle la vie. Dans ce contexte, l’objectif est de rendre compte de la corrélation entre l’intrication quantique et la physique classique en matière de transfert d’information et d’énergie entre l’axe central de l’univers, les galaxies, le soleil et la terre, ainsi que de démontrer l’influence de ce transfert dans les formes de vie et de formation du climat et de la planète. La méthodologie utilisée est une compilation d’études géologiques et géomagnétiques de la terre, des ondes rétrogrades (HFR), des données astronomiques et astrophysiques, de la physique et des observations, afin de poser la question des énergies cosmiques qui affectent tout, afin que nous prenions conscience et nous préparions nous anticipons sur les évolutions futures, déjà actives, qui se traduisent par l’extension et l’adaptation des anomalies. Enfin, cet essai théorique relie les mouvements de tout ce qui existe avec le temps, la gravité et la vie, il établit également, sur la base d’études temporelles galactiques, que l’univers cherche à créer des vies adaptatives à ses altérations, modifiant ce que sur terre, commodément, nous appelons du climat.

Mots clés : Corrélation, Énergies, Temps, Axe universel nord-sud, Analogie.

1. INTRODUCTION

La science est l’art de faire des prédictions sur la réalité, basées sur des données réelles et des informations du passé et du présent, créant des probabilités théoriques (LIGEIRO, 2015). Dans cette prémisse de ce qu’est la science, la présente étude vise à collaborer avec des subventions qui n’étaient pas envisagées dans les données physiques traditionnelles et dans les données physiques quantiques, puisque les vecteurs mathématiques actuels ne révèlent pas, dans leur cadre probabiliste, des énergies externes, en plus de la gravité, autre que le soleil ou la lune, ce qui est une grossière erreur.

Par conséquent, le présent essai théorique est un aperçu des considérations et des conclusions basées sur des études scientifiques et basées principalement sur l’article d’Oliveira et al. (2018), car il condense clairement ce qui existe dans les études et les recherches sur le climat et sa corrélation avec les mouvements galactiques, présentant également des observations sur ce que sont les fréquences, les oscillations, les ondes cosmiques et leur relation avec la dénomination de la vie terrestre, les variations climatiques et les variations de le moment des événements, ainsi que la façon dont ils se produisent, pourquoi ils se produisent. Soulignant, enfin, les forces agissantes et d’autres études du même thème qui traitent des énergies les plus fondamentales et les plus puissantes qui composent l’univers lui-même.

Dans ce contexte, des découvertes récentes, telles que la mise en évidence d’ondes dans le noyau terrestre, révélées par Gillet et al. (2021) et Hanson et al. (2022), pointent avec défi la passivité trompeuse de l’espace-temps qui, par analogie, sera liée, dans cet essai, à la physique quantique et à la physique traditionnelle, en tant qu’éléments énergétiques fondamentaux qui se déplacent et imprègnent l’intérieur des galaxies et de cette planète, comme les changements tirés de l’axe universel vers le centre des galaxies, des soleils, des planètes et des lunes se produisent à l’époque astronomique classique et quantique. Bien qu’il soit empirique, parce que nous n’avons pas de formes de mesure, ni d’outils pour valider les observations physiques qui se produisent extra-temporellement dans le futur et que nous ressentons dans notre dimension à l’heure actuelle, nous n’avons pas non plus de base de mesure quantique pour valider de tels événements croisés, qui sont théorisés dans cette étude, se déplacent entre les dimensions, on fait valoir qu’ils ont une vitesse qui atteint pour balayer l’univers entier en une seule impulsion.

De plus, il est théorisé qu’autour de nous et dans toute la galaxie, des énergies/fréquences/rayonnements/ondes de catégories au-dessus de l’extradimensionnel sont à l’œuvre, avec des actions et des comportements exotiques, où il y a des rapports d’anomalies solaires externes, de « taches solaires » et d’anomalies planétaires internes, « éruptions volcaniques », changements dans le comportement de la flore et de la faune, taux de récoltes et de production de lait et de miel. A titre d’exemple, on cite l’étude de Gallep et Robert (2021) qui rapporte que l’action gravitationnelle du Soleil et de la Lune a une influence directe sur le comportement des animaux et des plantes.

C’est dans ce cadre d’information que l’on comprend mieux les fonctions et actions possibles des énergies (mot sans définition exacte, mais qui est lié à la capacité de mouvement/action de la matière de manière perceptible/mesurable) qui désignent les vibrations, ondes, temporalités et autres formes de mouvement et de force, que nous appellerons ici énergies oxy et exa multidimensionnelles, issues de l’axe du macro univers, qui sont les précurseurs de tout ce qui se passera a priori dans les galaxies, dans les planètes et dans la vie sur eux. Ces énergies de différentes catégories de notre vie quotidienne, lorsqu’elles entrent en collision avec la matière et l’énergie solaire, par exemple, montrent une désynchronisation temporelle, car il existe d’anciennes et de nouvelles formes d’énergie à considérer/observer/explorer. En les décrivant, dans cette étude, il est prévu de créer certains outils de lecture de ces vibrations, afin qu’elles puissent être trouvées à l’avenir par des chercheurs de différents domaines d’étude sur les fréquences, un sujet qui implique les êtres et les choses, comme un seul être symbiote.

Afin d’illustrer et de reconnaître certaines de ces associations d’anomalies au sein du mouvement galactique, ainsi que certaines réponses à la façon dont la vie réagit à ces changements, l’étude décrite par Arantes (2021) est citée, montrant qu’au fur et à mesure que nous avons évolué jusqu’à ce point, nous devons partir d’une indication scientifique et sûre, afin d’identifier d’où viennent ces impositions vibratoires et où elles vont, à partir de là, pour pouvoir obtenir un contrôle, même si palliatif, pour les problèmes qui surgiront de le réchauffement climatique imminent.

Tout au long de cet essai, nous entendons répondre : quels sont ces éléments vibratoires ? Comment se comportent-ils et agissent-ils dans les plans astrophysiques galactiques ? Comment sont-ils lancés depuis l’axe central de l’univers, comment agissent-ils et comment se projettent-ils en éjections coronales, en forces gravitationnelles planétaires et en boucliers ? Tous les matériaux ont des formes d’énergies et de fréquences, uni ou multidimensionnelles, mais comment peuvent-ils toujours se produire d’une manière que toute vie terrestre et nous, en particulier, pouvons anticiper avec notre propre corps ?

Accompagnant l’univers de manière autonome, il est clair que ces formes d’énergie sont acceptées par les organismes vivants comme des actes quotidiens qui arrivent involontairement à notre intellect, il suffit de sentir et d’observer notre corps s’adapter et lutter pour la prolongation de l’existence matérielle. Compte tenu de cela, nous pouvons dire qu’il y a une lutte pour la vie évolutive, où et quand des signes sont présents en nous et chez les autres êtres vivants, car nous prédisons instinctivement et à l’avance, avec notre matière, les changements de notre environnement, automatiquement et inconsciemment, prouvant l’existence d’un enchevêtrement classique/quantique universel instantané. Dans ce contexte, la temporalité passée qui reste présente lorsqu’elle émerge dans les éruptions volcaniques, dans les vents et les marées qui accompagnent les cycles pour affecter avec plus d’intensité la croûte terrestre et la vie qui s’y trouve, comme également décrit dans les ondes rétrogrades (HFR) (OLIVEIRA et al. 2018).

Compte tenu de ce qui précède, le présent essai théorique vise à rendre compte de la corrélation entre l’intrication quantique et la physique classique en matière de transfert d’information et d’énergie entre l’axe central de l’univers, les galaxies, le soleil et la terre, ainsi qu’à démontrer l’influence de ce transfert dans les formes de vie et de formation du climat et de la planète.

2. DESSINS ET TABLE DES CADRES THÉORIQUES

Pour introduire le thème, de véritables images graphiques sont présentées ci-dessous, capturées par des scientifiques au cours de millions d’heures d’études et d’observations, sur les mouvements du système solaire et de la voie lactée, sur l’immense « Dieu » et sur comment ici à l’intérieur, où nous sommes insérés, il n’y a pas de temporalité pour que les décharges cosmiques nous parviennent, mais une réponse bio astrophysique et un temps d’adaptation.

Le premier chiffre, tiré de l’article d’Oliveira et al. (2018), décrit la position et l’oscillation du système solaire voyageant dans la galaxie au cours des 500 derniers millions d’années, frappé par des charges énergétiques de différentes catégories et influencé par diverses attractions gravitationnelles, formant et reformant des êtres vivants dans son renflement.

Figure 1. Positions et oscillations du système solaire dans la galaxie, au cours des 500 derniers millions d’années

Posições e oscilações do Sistema Solar na Galáxia, ao longo dos últimos 500 milhões de anos.
Légende : (A) Oscillation radiale, où R est la distance entre le Soleil et le centre de la Galaxie ; (B) Oscillation verticale, où Z est la distance du Soleil au plan galactique ; (C) Représentation schématique de la structure en spirale de la Voie lactée (vue du dessus du plan) et de la trajectoire du Système solaire. Lignes bleues épaisses : modes froids de Frakes et al. (1992); Cercles rouges : événements d’extinction de masse ; Diamants verts : positions tous les 100 millions d’années. Légende : pc = parsec (unité de distance utilisée en astronomie pour représenter les distances stellaires). Source : Oliveira et al. (2018).

La deuxième figure représente les rayons cosmiques et les périodes glaciaires sur terre. Le graphique montre le système solaire lors de son voyage à travers la galaxie, ce qui provoque l’émergence de la vie, en plus de favoriser la dynamique du soleil et du noyau de la planète Terre pour qu’ils restent actifs.

Figure 2. Rayons cosmiques et périodes glaciaires sur Terre

Raios cósmicos e Eras glaciais na Terra
Légende : (A) décrit les passages à travers les bras spiraux de la Galaxie ; (B) représente le Flux de Rayons Cosmiques (FRC) atteignant le système solaire ; En (C), la courbe dénote la température de surface de l’océan tropical par rapport à aujourd’hui, et les zones pleines expriment la distribution paléo-latitudinale des débris transportés par la glace ; (D) et (E) décrivent qualitativement les périodes pendant lesquelles la Terre a connu des périodes glaciaires ; (F) Histogramme des époques d’exposition aux météores Fe/Ni – les époques de la plus grande exposition aux météores se regroupent autour de périodes avec un flux de rayons cosmiques plus petit. Source : Oliveira et al. (2018).

Tableau 1. Synthèse des cycles climatiques, leurs périodes, mécanismes et causes

Síntese dos ciclos do clima, seus períodos, mecanismos e causas
Légende : C. = Cycle ; dans. = jours); Les. = années); ou alors. = milliers d’années ; Mal. = millions d’années. Source : Oliveira et al. (2018).

Les figures interprétatives ci-dessous, créées par des superordinateurs, montrent l’âge prédit de la macro galaxie d’environ 13,7 milliards d’années, à partir du supposé big-bang.

Figure 3. Photographie de la galaxie la plus éloignée jamais observée

Fotografia da galáxia mais distante já observada
Source : Freitas (2022).

Figure 4. Chronologie montrant les premières galaxies candidates et l’histoire de l’Univers

Linha do tempo mostrando os primeiros candidatos a galáxias e a história do Universo.
Source : Freitas (2022).

Les photos, bien qu’encore en cours d’analyse, prédisent que les galaxies pourraient être à 33/4 milliards d’années-lumière dans cette zone intermédiaire, qui n’est pas encore la distance finale, où les galaxies ont déjà parcouru et éloigné du point initial. Une anomalie, ce que vous voyez dans l’image du supercalculateur, est l’endroit où nous avons peut-être réussi à interpréter l’expansion, qui se produit à des vitesses plusieurs fois supérieures à la vitesse de la lumière, de théories pleines de défauts, de vitesses plates limites, qui sont au-delà du double prévu initialement l’expansion des galaxies, les énigmatiques trous noirs et trous blancs.

3. DÉVELOPPEMENT ET ORIGINE

Selon Santos (2021),

Falar das propriedades e capacidades interativas de Deus, no sentido científico parece não ter sentido prático no nosso grau de desenvolvimento atual, mas tem, e Deus fica basicamente localizado e reconhecido como autor/coautor/diretor mor, visto que está esclarecido ser o local onde sempre tudo ocorre, mais produtivamente.

Le développement de cette recherche s’appuie sur des données scientifiques tirées des articles cités dans les références, ainsi que sur des observations, qui visent à décrire où en est notre relation depuis le début des connexions, mouvements, imbrications cosmiques de la planète avec notre incomplet et nos perceptions erronées de ce qu’est le temps/espace et nos solutions intracorporelles automatiques d’adaptations caractéristiques, en réponse à des excitations extracorporelles, faisant allusion à ce que nous considérons comme des attaques corporelles aux changements de variation de pression qui perturbent nos fluides dans nos oreilles ou modifient notre humeur, que ce soit d’origine cosmique externe. Ou, même, un jour nuageux, en plus des anomalies quantiques que notre corps ressent aussi et que notre esprit et notre compréhension n’atteignent même pas, ou n’ont pas la capacité de calculer.

Telle est la vitesse que nous développons tout le temps à travers le cosmos, en rotations et translations, étant atteint par les errances de ces chemins que nous suivons, par des milliards de vibrations et d’énergies qui façonnent nos corps et nos esprits, ainsi que tout ce qui nous entoure , étant une fonction de notre partie matériel involontaire autonome prendre en charge l’assemblage des contre-mesures adaptatives pour la survie. Ceux-ci sont également adoptés par les animaux, les insectes et, principalement, les plantes, même notre plus petite biomolécule.

La description résumée de cette étape est la suivante : depuis les parois matérielles de l’univers Macro, des vibrations instantanées partent et arrivent qui courent le long de l’axe central de l’espace, se propageant jusqu’à l’endroit où se trouvent les galaxies, vibrations qui courent dans le Nord/Sud/Nord/ Direction sud (comme un estomac transpercé par un faisceau, « un câble » de neurones entrelacés en communication Wi-Fi constante, ou comme une colonne vertébrale chez un être humain). De cet axe partent des ordres dans une sorte d’espace/temps, si instantanés qu’ils dépassent notre raison, qui influencent et, d’une certaine manière, contrôlent toute matière existante, ainsi que les décharges d’énergie qui influencent et ordonnent toute matière qui entre ou sort de ce macro univers/espace, où il est supposé se produire par des trous noirs et des trous blancs, qui sont des anomalies possibles à exister, l’un aspire, l’autre injecte. Je pense même qu’on peut supposer, prédire ou imaginer la matière qui est encore dans une autre dimension ou espace, c’est-à-dire qu’elle est dans la gorge de l’espace-temps, très éloignée temporellement parlant et qui peut tout changer ici dans notre espace/temps ( au sens figuré, par exemple, utiliser un être ruminant comme référence, comme si la nourriture pénétrait dans la gorge et ses neurones stomacaux/biliaires/rénaux, prévenant et préparant déjà principalement son estomac, avec un certain degré d’acidité, dirigeant les spasmes musculaires, régurgitant, tout ce qui est étranger à leur compréhension volontaire, étant traité par leurs neurones/neurones de l’estomac et d’autres organes comme une mesure d’acceptation, en connexion instantanée avec d’autres neurones, prévoyant et préparant déjà tout le corps, tout l’environnement pour cette injection de matière/nourriture), comme cela se produit généralement lorsque ces vibrations arrivent, transférant des informations aux êtres vivants pour de futures adaptations et assurant toujours un stockage. d’énergie excédentaire sous la forme la plus appropriée.

Como o segundo cérebro se comunica com o primeiro cérebro.

A equipe fez a descoberta usando uma técnica de rastreamento neuronal desenvolvida por eles mesmos, e ainda não usada em nenhum outro laboratório do mundo, que permite ver as terminações nervosas sensoriais com clareza na parede intestinal.

A técnica permitiu ver que as células enterocromafins liberando substâncias por um processo de difusão, que então atua nos nervos sensoriais que se comunicam com o cérebro.

A equipe não conseguiu identificar nenhuma conexão física direta entre as células enterocromafins e as terminações nervosas sensoriais, ao contrário do que algumas teorias sugeriam.

“O intestino é o único órgão com seu próprio sistema nervoso, conhecido como Sistema Nervoso Entérico, ou segundo cérebro. Agora temos uma melhor compreensão de como o ‘segundo cérebro’ se comunica com o ‘primeiro cérebro’,” disse o professor Spencer (DIÁRIO DA SAÚDE, 2022)

Poursuivant avec ce modèle/forme de présentation, axé sur notre compréhension et notre compréhension des raisons pour lesquelles notre corps s’adapte involontairement pour continuer à exister et à transmettre ces adaptations dans les gènes, il est vrai que nous nous sentons dans la peau et que nous nous adaptons évolutivement aux changements, mais nous manquons outil scientifique à disposition pouvant couvrir les vitesses galactiques.

Aujourd’hui, cette forme de suivi n’est pas disponible même par nos télescopes les plus puissants. Il faut donc user d’imagination pour pouvoir chercher de nouveaux outils physiques et mathématiques, qui un jour pourront mesurer et mesurer le déplacement fréquentiel dimensionnel, la taille des liaisons, les vitesses/temps/gravités et les énergies mises en jeu, donc que des descriptions narratives peuvent être utiles des tailles galactiques comparées à celle de notre système solaire, que je dimensionne échelonnées ci-dessous, comme un exercice mental de notre taille, qui malgré sa si petite taille doit avoir une taille intéressante pour une force occulte, puisque dans l’univers rien n’est sans but.

Aussi, pour comprendre le rythme et la réponse de notre corps, notre soleil et notre planète, lorsque nous traversons ces stimuli, ces murs énergétiques, les valeurs et distances approximatives sont les suivantes : notre système solaire se déplace à 871 781 km/h dans la Voie lactée, qui est une galaxie sur des milliards et reçoit toutes les informations instantanément, comme toutes les autres galaxies, qui représentent ensemble un peu plus de 3,5% de toute la matière existante dans l’ultra univers, même en considérant toute la matière noire et l’antimatière ensemble, où notre 5ème la catégorie soleil contient 98,5% de toute la matière du système solaire. Là où notre planète est si petite, poreuse et creuse, même en considérant les océans, les lacs et les rivières, qui est fondamentalement un gaz, elle ne mérite même pas d’apparaître comme un facteur de soutien, puisqu’elle n’exerce aucune considération gravitationnelle sur le soleil, cependant, ce sont des facteurs qui doivent être pris en compte lors de la conception de calculs probabilistes d’influences externes agissant sur notre participation et notre contrainte réactive.

Ci-dessous se trouvent simplement des dessins d’auteur illustratifs des origines créatrices possibles des énergies temporelles actives, probabilistes, avec des titres suggestifs.

La figure 5 représente le macro univers traversé par un axe libérant des informations notifiantes et imposantes.

Figure 5. Macro univers avec galaxies, nuages ​​de gaz et de matière, paroi de fond, oscillations dans les parois de fond, axe central multipolaire de fréquence oscillatoire, étant l’axe directeur inconscient des décharges de trous noir et blanc, étant, également, réformateur d’énergie créateur de matière et déclenchement d’ordres pour toute la matière et l’énergie existantes, le tout en temps « 0 », selon notre décompte de temps

Macro universo com galáxias, nuvens de gás e matéria, parede de fundo
Source : auteur.

Les figures ci-dessous illustrent les multifréquences et les ondes frappant tout en temps zéro, se reproduisant et étant ensuite reproduites par les galaxies, les soleils, les planètes, les lunes et la vie existante.

Figure 6. La sortie des ordres de l’axe primordial pour les galaxies est un avertissement pour tout ce que nous comprenons existe pour s’adapter. Cette vague sort et revient sans se chevaucher, encore et encore

Maneira de as ordens saírem do eixo primordial para galáxias é um aviso para tudo que entendemos que existe se adaptar. Esta onda sai e volta sem se sobrepor, repetidas vezes
Source : auteur.

Figure 7. Représentation de si l’ordre ou la vibration de l’axe se propage uniformément dans tout l’espace universel, où il atteint le centre de toutes les galaxies, soleils et planètes en même temps pour, plus tard, être reproduit comme la vibration d’une cloche d’église. Cette vibration est ressentie plus d’une fois par tous les corps vivants et est préparatoire aux événements à venir

Representação de se a ordem ou vibração do eixo se espalhasse uniformemente por todo espaço universal
Source : auteur.

Figure 8. Représente la signature multifréquence circulante telle qu’elle se produit plus tard par réplication dans les noyaux des galaxies, dans les soleils, dans les planètes, jusqu’à la surface de ces étoiles, lorsqu’elles cessent d’être accordées et que des chocs d’émanation peuvent se produire

Representa a assinatura multifrequencial circulante
Source : auteur.

La figure 9 représente la paroi arrière du macro univers, réagissant aux excitations extérieures et protégeant les galaxies.

Figure 9. Paroi arrière du macro-univers subissant l’influence d’autres dimensions, atténuant ces influences, adaptant et libérant des particules matricielles et des étamines quantiques (théorie de qui est Dieu)

Parede de fundo do macro universo sofrendo influência de outras dimensões
Source : auteur.

La figure 10 montre l’axe conducteur, traversant le mur arrière du macro-univers, capturant des informations externes.

Figure 10. Montre le début de l’axe conducteur du centre de l’univers, comme nous l’avons au centre de toutes les galaxies, de tous les soleils et planètes, où tous ont une polarité oscillante et la source des champs magnétiques et gravitationnels. Ici apparaît la partie qui se trouve à l’extérieur de notre ultra galaxie, traversant le mur du fond de l’ultra univers et apportant des impédances les nouvelles mesures pour l’acceptation de ces nouvelles commandes

Apresenta o início do eixo condutor do centro do universo
Source : auteur.

Nous devons, par analogie avec le besoin de comprendre, créer dans notre esprit l’image correspondante, c’est-à-dire considérer que l’ultra univers avec tous ses milliards de galaxies est l’estomac d’un être très exotique, où notre galaxie, notre voie lactée avec ses milliers de bras, ce serait une cellule, à l’intérieur de cet estomac, qui doit avoir d’autres centaines de milliers de neurones maintenant actifs et dans d’autres espaces/temps, ou dimensions.

Cet être magnifique possède, hors les murs de son « estomac », d’autres centaines de milliers de neurones, qui seraient (ou sont) dans d’autres dimensions appelées par analogie : foie, reins, poumons, intestins, cœur, où finalement tout cercle.

Tous les neurones à l’intérieur et à l’extérieur de l’estomac de cette créature appelée « Dieu » agissent harmonieusement dans des dimensions diverses et spécialisées, mais communiquant, (comme un corps humain) et, nous pouvons déjà prouver qu’il s’agit d’une probabilité très plausible et réelle d’être observables et mesurés, avec les études citées ci-dessus sur les interconnexions des rayons cosmiques et la formation de la vie, ce n’est qu’ainsi que nous pourrons comprendre certaines anomalies d’intercommunication de la galaxie, même si nous pensons, comment ? Bien sûr, nous n’avons pas de soleil dans le ventre, n’est-ce pas ? Si nous pensons en termes d’étendue de l’univers, notre soleil pourrait-il n’être qu’un atome sous une autre forme ? Au sens figuré, cela pourrait.

Les preuves indiquent qu’il existe des schémas cachés et de grandes incertitudes sur ce qui est valable à un moment donné, à la fois pour le classique et pour le quantique, même au moment galactique lorsque nous regardons notre position dans l’univers, nous ne trouvons plus cette position, comme deux cellules sanguines qui se croisent et coulent dans une veine, et cela va bien au-delà du fait que nous sommes tous connectés.

Je pense que la vitesse de nos existences est tellement éphémère que nous n’existons peut-être plus alors que nous pensons être encore dans le présent relatif. Même en regardant les images ci-dessus en termes de milliards d’années et en voyant le schéma des mouvements répétitifs des dessins, nous savons qu’il ne s’agit toujours pas d’affirmations définitives, car nous ne sommes fondamentalement sûrs de rien concernant les autres forces qui ont agi ou comment cela affecté l’interaction entre le Soleil et notre planète, par exemple.

Probablement, sans confirmer pleinement ce que nous pouvons supposer être vrai, comment nous affectons et sommes affectés par tout ce que nous avons sur notre planète pendant notre existence, pendant que nous vivons/courons, il y a une énorme certitude et une incertitude claire que nous disparaîtrons sans partir toute trace de notre passage dans la « Voie lactée ». Il est illogique de voir, de connaître et de vivre la vérité et de ne pas croire à un autre exemple actif dans notre vie quotidienne et à l’interaction entre le commandement central de l’univers avec le centre de notre galaxie, et de celui-ci avec notre soleil, et de notre soleil avec le noyau de notre planète, et de là vers la croûte terrestre/les océans, l’atmosphère, le bouclier électromagnétique et l’espace. D’autant qu’en physique, il n’est pas rare que la symétrie soit brisée, y compris dans ce que l’on entend par temps/gravité/directions, ce sont des états de communication et d’interactions non prévus dans les deux physiques ou rompus quotidiennement par l’une d’elles.

Les dessins de l’auteur ci-dessous ne correspondent pas fidèlement à la description faite, n’étant exprimés qu’à titre d’exemple afin d’aider à la compréhension du lecteur.

Figure 11. Le soleil reçoit une excitation externe de l’axe de l’univers et réagit de manière adaptative

O sol recebe excitação externa do eixo universo e reage adaptativamente
Source : auteur.

La figure ci-dessus montre que le soleil reçoit une excitation externe et, en tant que forme vivante, utilise cette information et cette fréquence de modélisation depuis l’axe principal de l’univers et, avec un retard, quelque temps plus tard, également depuis le centre de l’univers où il se trouve inséré, régurgite, mais a déjà initié une réaction de préparation aux changements.

Figure 12. Le soleil expulse du noyau, dans un sens de rotation, des énergies qui seront reproduites sur Terre

O sol expele do núcleo, em sentido rotacional, energias que serão replicadas na Terra (2)
Source : auteur.

La figure ci-dessus représente le soleil comme une forme de vie très efficace qui commence à émettre des ordres du noyau vers les couches externes, d’où il reçoit et émet, sous la forme d’un oignon. L’énergie émise tourne jusqu’à atteindre les bords, où se produisent des réactions, des fréquences combinatoires réactives ou agressives. Si les autres corps célestes ne sont pas en accord fréquentiel harmonique avec les fréquences qui entrent et sortent du Soleil entier et viendront ou atteindront la Terre « Gaïa » par imposition réactive du noyau de notre planète qui copie relativement à sa puissance interne , dans la fréquence reçue par les micro-ondes solaires.

Figure 13. Soleil libérant une décharge avec une force et une temporalité aléatoires

Sol liberando uma descarga com força e temporalidade aleatória.
Source : auteur.

Le modèle ci-dessus montre comment les fluctuations d’énergie et de force augmentent à différents moments, différentes fréquences, différentes longueurs d’onde, jusqu’à différentes dimensions avec différents délais.

Figure 14. La Terre reçoit des ordres/énergies modificateurs de l’univers et du soleil

Terra recebe do universo e do sol ordensenergias modificadoras.
Source : auteur.

Les planètes réagissent exactement comme tous les autres corps de la galaxie, bien que la nôtre, parce qu’elle est GAIA, réagisse différemment, les ordres réactifs de l’axe universel, galactique et du soleil, retransmettent inconsciemment, aux êtres vivants les plus anciens, des ordres de préservation, depuis le noyau, depuis les différentes couches d’amortissement des micro-ondes entrantes, la sortie de la chaleur et des émanations fréquentielles jusqu’à ce qu’elles atteignent la surface, dans les racines des plantes et, plus tard, aux êtres vivants exclusivement superficiels.

Figure 15. La planète reçoit des informations du soleil et de l’univers et module la libération des énergies du noyau

O planeta recebe do sol e do universo informações e modula liberação de energias a partir do núcleo
Source : auteur.

Gaïa/terre reçoit des énergies du soleil qui se transforment et se répartissent depuis son noyau, où une partie de ces ondes, qui entrent dans la longueur verte, se trouvent directement dans les êtres les plus anciens et les plus performants que sont ceux du règne végétal, présents, principalement, dans les océans et les forêts. Ces êtres se nourrissent, plus directement, transformant l’énergie en matière instantanément et sont des êtres pacifiques qui, depuis des millions d’années, jalonnent et traversent les vibrations solaires, avec les informations qui viennent du noyau du sol de Gaïa et arment leurs stratégies dans le cellulaire et communauté symbiotique (où les champignons jouent un rôle important), ainsi que le partage et la mise en place de stratégies avec d’autres individus d’espèces différentes, pour survivre et perpétuer leur espèce. Tout cela se produit de manière non causale, plus d’années, plus de décennies à l’avance, d’une manière que nous apprenions cellulairement à nous développer, mais qui sera interrompue par un changement climatique extrêmement accéléré.

Figure 16. Les énergies sont modulées à partir du noyau, affectant le climat et la vie, s’opposant aux émanations extérieures qui minent l’harmonie

As energias são moduladas a partir do núcleo, afetando o clima e a vida, opondo-se a emanações externas que atentem contra harmonia
Source : auteur.

La figure montre les trous que la terre a dans ses boucliers, qui laissent pénétrer des émanations et des vibrations d’ordres différents et agissent tantôt comme un médicament, tantôt comme un poison pour le maintien des êtres solaires dépendants de fragiles fluctuations harmoniques, pendant leur vie, habitent et consomment l’énergie transformée de l’astre solaire.

Figure 17. Les boucliers émanant du noyau de la planète, réagissent involontairement aux excitations extérieures, protégeant la vie qui prospère, alors qu’elle la consomme

Escudos emanados a partir do núcleo planeta, reagem às excitações externas involuntariamente, protegendo a vida que prospera, enquanto esta o consome
Source : auteur.

Comme dans le soleil, des énergies circulatoires fluctuantes montent à la surface de Gaïa, où se trouvent des êtres qui ont été préalablement avertis et devraient être relativement préparés à ces émanations, pris en sandwich entre le soleil et le noyau de la terre. Mais, avec les changements provoqués aujourd’hui dans la limite habitable (qui comprend l’air, le sol, l’océan), il est presque impossible de prédire avec certitude comment nos cellules intelligentes et autonomes devraient agir de manière constructive avec précision, pour être conscient de ce qui se passera par rapport à la ampleur des émanations externes, en échange des émanations du noyau planétaire, de sorte que nous sommes préparés à 100%.

4. SOUS-THEORIE COMPLEMENTAIRE

Une sous-théorie complémentaire est présentée, sur le transfert de charges micro-ondes supradimensionnelles dans les sens : noyau solaire/noyau terrestre, et réponse noyau terrestre/bouclier terrestre, où je pense que nous nous trompons d’interprétation.

Il est présenté que la proposition concernant le noyau de la planète après sa formation est qu’il reste en combustion à cause des micro-ondes du soleil (une catégorie de vibration que nous naissons adaptée pour ne pas nous laisser affecter par une certaine quantité). Par analogie, citons l’exemple de ce qui fut proposé par Nikola Tesla sur le courant alternatif, en 1892, au Royal Institute de Londres. Il a proposé que plus la fréquence de l’électricité est élevée, moins nous sommes affectés (comme il l’a démontré à l’époque en saisissant et en tenant deux barres électrifiées, sans porter atteinte à son intégrité physique).

Dans ce contexte, le transfert que le soleil force dans le mouvement de son noyau à notre noyau, c’est-à-dire le mouvement de rotation du noyau du soleil en interaction avec le noyau de notre planète, se produit non seulement en raison de sa propre énergie, car, si tel était le cas, si ce n’était pas le cas, la force nucléaire aurait déjà consommé la croûte terrestre il y a des milliards d’années, pour se nourrir. C’est la loi universelle de base, consommer de la matière pour générer plus d’énergie et ne pas s’éteindre, sauf dans notre cas, s’il reçoit de l’énergie d’une autre source externe, et le soleil est notre propulseur externe et interne, comme il l’est par rapport à autres rayonnements hors du système solaire. Cependant, il convient de mentionner que la confirmation fait toujours défaut si les océans agissent (principalement) comme un iris dans la réception de ces ondes avec les liquides à la surface de notre planète, s’ils filtrent et amplifient les radiations qui nous traversent, agissant comme un catalyseur pour amplifier ces vibrations, c’est-à-dire comme une sorte de loupe.

En complément de ce qui précède, il convient de noter que tous les mouvements planétaires sont interactifs, interdépendants et répétitifs, mais pas égaux, énergétiquement parlant.

Au cours de leurs évolutions, ils se chargent de nouvelles énergies et s’ajoutent de la matière stellaire qui peut, en qualité et en quantité, altérer leur poids gravitationnel plus que la perte de tonnes de gaz vers l’espace. Bien que, du fait de l’équilibre général, cela ne change rien à ses évolutions temporelles, qui, en ce moment existentiel, en particulier, n’ont d’intérêt qu’à l’échelle planétaire car elles se produisent en désordre dans ces retards de ce que nous voyons et ressentons venir du soleil, avec combien et quand l’énergie arrive à la surface à partir du noyau de la planète.

Ce décalage important montre que la montée des vibrations ne se produit pas en même temps que la pression atmosphérique contenue dans l’espace intérieur de la planète Terre, étant en déséquilibre avec la réponse du réchauffement intérieur planétaire et avec les éruptions dont ces émanations devraient être en hausse. La terre ne montre pas non plus de synchronie avec ce qui devrait arriver à nos taches solaires, il nous semble qu’elle n’a pas d’interchangeabilité nucléique instantanée.

Compte tenu à quel point le soleil nous contrôle vibratoirement et climatiquement, ces anomalies de décharge causées par les taches solaires (en l’occurrence parlant de notre soleil comme moteur, car c’est ce qui nous intéresse) ne sont pas seulement les arrivées sur la surface solaire de décharges de force , qui sont aussi des informations que le soleil a reçues il y a longtemps, pour se comporter ainsi, mais aussi des émanations et des rayonnements émis dans différentes longueurs d’onde, différentes fréquences, des particules, des rayons X, des rayons gamma et d’autres énergies dans des catégories supérieures non encore détectables. Pourtant, pour nous et pour notre climat, nous sommes déjà bien informés pour comprendre qu’ils sont déterminants dans et pour notre quotidien, comme la matière.

Dans ce contexte, les géologues ont découvert de petites ondes magnétiques se propageant dans le noyau terrestre dans les « oscillations magnétiques dans le noyau » et pensent qu’elles peuvent aider à expliquer ce qui se passe dans les profondeurs de notre planète. A titre d’exemple, on cite l’étude présentée par Nicolas Gillet et ses collègues de l’Université de Grenoble Alpes, en France, où le champ géomagnétique terrestre a été observé entre 1999 et 2021 à l’aide de données provenant de satellites et d’observatoires au sol. À partir des analyses, l’équipe a constaté que le champ magnétique autour de la région équatoriale du noyau fluctue régulièrement (GILLET et al., 2021).

Il est facile de constater et d’accepter que nous sommes dans un processus accéléré d’extinction des espèces marines (plancton, coraux) et terrestres (insectes, notamment), ce qui est très grave de par l’enchaînement que cela implique. Cela s’observe dans des voyages qui traversent tout un continent, particulièrement bien préservé par des bois et des forêts, traversés du nord au sud, en un mois chaud, où des spécimens d’insectes endémiques ou non endémiques devraient encore s’accoupler ou initier des migrations. Dans cette observation, on constate des absences allant jusqu’à 80% des espèces volantes, principalement sur tout le continent, où l’on a perdu plus des ¾ de la diversité.

Voici quelques observations faites par l’auteur de cet essai, se référant à la perte biologique d’insectes en Amérique du Sud, que j’ai pu faire/vérifier en l’an 2022 entre les mois de mars et avril de l’année en cours, une période de chaleur et humidité propices à la prolifération et à la migration d’un grand nombre d’insectes volants, tels que : cigales, papillons, mouches, fourmis, coccinelles, abeilles, coléoptères, mites, charançons, termites, sauterelles, moustiques et autres.

À cette époque, ces insectes auraient dû commencer leur vie, se nourrir, voler pour s’accoupler et pondre des œufs. Cependant, on peut le voir dans les observations de l’auteur, où il a traversé une grande variété de reliefs, d’altitudes, de flore et de faune, en passant par de vastes zones de végétation indigène, de vastes zones agricoles cultivées et en préparation, et de vastes zones de pâturages pour le bétail, sans trouver d’insectes. Cet événement a de grands impacts, avec la disparition d’insectes beaucoup plus élevée que prévu, quels que soient les changements climatiques internes, les taches solaires ou d’autres tempêtes externes et internes, ce qui ajoute à la perte biologique des plantes/forêts.

Cette réalité sans vocation scientifique, mais simplement d’observation, dans un pays aux proportions continentales et au climat humide et chaud, dépeint un état d’alerte, amenant à s’interroger : est-ce seulement les pesticides et les pesticides qui provoquent la décimation ou l’élimination d’insectes ? Sont-ils enfouis ou cachés dans les sols et les forêts ? Se pourrait-il que les fluctuations de l’énergie solaire jouent également un rôle important dans les postures larvaires ? Se pourrait-il que nos changements de température interne, les précipitations et les vents aient influencé ce scénario ? Rien n’est certain, sauf la prise de conscience que la réduction de ces êtres pollinisateurs entraînera des impacts défavorables, en plus de la perte de diversité biologique.

Les taches solaires, par observations et conclusions personnelles, sont créatrices et destructrices, dans une ambivalence déconcertante pour notre jeune et tâtonnante observation cosmique/céleste, étant donné qu’il n’est pas possible d’avoir des images réelles de notre soleil, avec la clarté scientifique nécessaire à des études précises, ni des fréquences/modulations et des niveaux de rayonnement dans leur intégralité.

Nous commençons, à ce stade, à comprendre les flatulences ou éructations d’absorption externe que les soleils recevaient auparavant et, dans le langage vibratoire exclusif de leur noyau, de leur surface ou de leur couronne solaire, transmettaient aux planètes du système solaire, des énergies reçus parfois il y a des années, qui semblent être entrés en hibernation et que nous, les êtres vivants, sommes nés prêts et adaptés à laisser passer à travers notre corps et notre matière, absorbant juste ce qu’il faut pour notre croissance physique corporelle et en acquérant une autre autant par ingestion à travers le transformation d’autres êtres, qui absorbent et grandissent également avec ces radiations que notre corps a appris de manière autonome à décomposer et absorber moléculairement lors de l’ingestion de leurs matériaux. De plus, nous sommes façonnés pour laisser passer certains de ces rayonnements et en absorber d’autres sous forme de matière sous forme de nourriture directement à travers la peau et les organes internes, de manière autonome, physique et quantique. De plus, nous sommes prêts à recevoir, absorber et transformer ces émanations solaires sans dommage tant qu’il n’y en a pas trop.

Nous observons chaque jour des changements dans les espèces domestiques qui nous accompagnent, sans les relier aux facteurs solaires passés/présents/futurs, qu’il s’agisse d’insectes dans les fermes et de fermes devenant plus ou moins actives à la recherche de nourriture ; chiens et chats qui gagnent ou perdent leurs poils ; et les oiseaux qui changent de saison.

Enfin, en observant tous les êtres vivants dans leur comportement et leurs changements, il est possible d’expliquer, avec leur remarquable adaptation précédente, des réactions où des changements se produiront par des messages venant du sol, avant que notre corps ne prenne consciemment des mesures indépendantes de notre volonté et, sans notre permission , transmettent des sentiments et des sensations qui peuvent provoquer des paniques et des décharges d’adrénaline inutiles, car ces changements ne sont qu’une préparation préalable à ce qui va bientôt arriver sur notre planète.

Je pense que ces observations, avec un regard scientifique sur les êtres domestiques, montrent ce qui se passera bien avant que le fait n’apparaisse dans nos détecteurs climatiques, dans les photos satellites ou dans l’objectif des observatoires astrologiques. On l’observe, principalement, chez les insectes qui sont fragiles et vivent avec leurs symbiotes une vie courte, à notre avis, ils se sont plus adaptés, puisqu’ils réagissent aux changements fluctuants du sol pour protéger leur vie éphémère, avec justesse, faim et férocité, puisque la fenêtre temporelle étant de peu d’espace pour procréer et vivre.

Quant aux animaux domestiques et à nous, autres êtres vivants de la planète et de la terre elle-même, nous sommes plus forts et plus résistants à ne pas avoir à réagir aussi immédiatement aux changements gravitationnels énergétiques de l’espace ou du soleil et, bien qu’il soit possible de mentionner d’autres éléments qui y parviennent, cette étude se limite aux énergies dans leurs formes les plus classiques.

De plus, il est intéressant que nous devions aborder ces événements, afin de comprendre le moment de l’anomalie qui peut éteindre une grande partie de ce que nous comprenons comme la vie humaine, qui est la seule raison de cet essai théorique, puisque chaque espèce perdue affecte toute la chaîne d’une manière encore inconnue, bien comprise. De plus, les fluctuations s’accélèrent et deviennent incohérentes dans les temporalités qui étaient référentielles, et une autre anomalie liée aux fluctuations quantiques gravitationnelles émerge, qui interfère avec notre vibration cardiaque et peut déclencher des arythmies, ainsi que modifier notre diaphragme, qui est l’un des organes responsables de l’équilibre de la pression interne. Ce changement rythmique précipité nuit également à nos oreilles, plus précisément à notre labyrinthe, qui est également comprimé par des changements environnementaux extrêmes, qui peuvent provoquer des pannes cérébrales, c’est-à-dire que nous pouvons traverser un lieu et avoir le vertige au point que le cerveau donne des ordres pour tout effacer, échangeant nous nous sommes évanouis inexplicablement. Ce phénomène s’est amplifié à mesure que ces bulles de changements gravitationnels flottent à la surface de la planète.

5. CONNEXION ENTRE LES ÉMANATIONS DE L’AXE CENTRAL DE L’UNIVERS, AVEC LES ÊTRES, LES PLANÈTES, LE SOLEIL ET LES GALAXIES

Les soi-disant HFR sont rétrogrades, c’est-à-dire qu’ils voyagent dans la direction opposée à l’attraction solaire et sont une sorte de vortex ou de freins que l’univers lui-même met sur les soleils pour éviter de dépasser le point d’équilibre. De plus, de petites ondes magnétiques se sont propagées à partir du noyau terrestre, où une temporalité de sept ans a été découverte lorsque les fluctuations magnétiques atteignent 1 500 km à l’équateur. Malgré cela, nous n’avons plus d’informations externes cohérentes, cependant, cela ne nous a jamais empêchés, nous les humains et les autres êtres vivants de notre planète, de nous adapter, presque toujours involontairement, aux changements futurs et présents.

Dans ce contexte, notre corps agissant différemment selon les régions, accompagne les changements et, parmi ces changements, celui du règne végétal, qui est le plus simple et le mieux adapté, reçoit des informations beaucoup plus tôt, atteignant des mois et des années de préparation préalable, du fait des fluctuations magnétiques à l’intérieur de la terre qui sont facilement captés par les racines et amplifiés dans la réception par les champignons, les acariens et les insectes qui veillent sur leur partenaire et luttent pour leur survie.

L’accès à ces informations se produit parce que c’est sur terre qu’ils survivent et reçoivent de l’aide, ces êtres vivants étant une plante de conversion énergétique des aliments, puisqu’elle convertit la lumière du soleil en matière, en énergie et en sucre, en plus de stocker l’énergie dans le sol directement dans les racines ou dans les champignons, sous différentes formes.

Il convient également de réfléchir au pourquoi et au pourquoi : l’excès de poils chez les animaux, l’épaississement de leurs peaux et les modifications des sérotonines naturelles, plus ou moins de plumes, un exosquelette plus épais et plus rigide, la rétention d’écorces d’arbres, des feuilles d’arbres plus épaisses et des légumes avec une couleur différente, l’accumulation de graisse par des êtres plus sensibles (envisageant le changement climatique avec un manque de nourriture future ?) ou sur la façon dont nous allons vibrer avec une sorte d’énergie dont nous aurons besoin, à un moment donné, dans le futur , et cela sera nécessaire pour la survie corporelle/énergétique de ce que nous entendons par existence.

Dans cette perspective, il convient de noter que ce sont d’énormes différences que les êtres vivants utilisent pour recevoir, baver et s’adapter aux changements futurs de leur environnement. Ces changements sont aussi spécialisés que le temps qui existe sur la planète pour adapter tout ce qui est considéré comme vivant. Ce ne sont pas de simples altérations lunaires ou solaires, car nous sommes libres et indépendants lorsque nous parlons d’influences cosmiques, il n’y a donc pas de frontières du système solaire, ni de mouvement gravitationnel.

Parlons donc de quelque chose de plus grand, de quelque chose de formateur. Nous pouvons examiner plus en détail les corrélations du changement climatique et la perturbation de la synchronie temporelle des changements simplement en examinant les changements de comportement chez les unicellulaires et les cellulaires. Mais, pour rendre le récit plus contemporain et donner un nouveau fondement au regard inquisiteur, il faut aller vers les plus complexes, en recommandant un regard détaillé sur les figures ci-dessus, dans les mouvements et dans les interrelations avec les adaptations, qui ne sont pas même visible ou captable sur les radars météorologiques ni dans les calculs informatiques, étant ces altérations qui changent parfois les constantes gravitationnelles et imprègnent nos boucliers gazeux, pouvant modifier nos comportements glandulaires et pycnotiques, comme s’il s’agissait d’un aimant qui peut donner la priorité à un déplacement de masse , sans raison rationnelle, comme cela se produit avec les tortues, les lemmings ou les rennes polaires, et peut s’être produit avec les dinosaures.

À titre d’exemple, je liste ci-dessous certains types d’êtres vivants qui, éventuellement, continueront d’exister, même si quelque chose d’une grande ampleur climatique ou des changements gravitationnels et énergétiques se produisent à nouveau, accélérés par l’intervention humaine, afin de copier la formation, les modes et les manières à notre survie.

Parmi les êtres vivants aux mouvements autonomes, je mentionne le Tardigrade, qui est pratiquement immunisé contre les radiations atomiques, les rayons X et Gamma. Il existe depuis plus d’1 milliard d’années, vit dans l’espace, peut tenir 30 ans sans nourriture, est totalement déshydraté, vit à -270°C ou à plus de 150°C, lui aussi s’adapte pour survivre aux changements climatiques à l’avance. On ne sait pas combien de temps à l’avance, mais avant que des anomalies solaires ne soient détectées, il peut même hiberner. Cependant, même ainsi, cet animal risque de ne pas résister au réchauffement climatique explosif imminent (BOOTHBY et al., 2017).

Je mentionne aussi les Pins, car ce sont des êtres vivants qui existent depuis plus de 2 milliards d’années sur la planète et qui ont, comme adaptation majeure, la transformation de l’énergie en longueur de lumière verte du soleil (la plus abondante) directement en matière, ajoutant des millions de tonnes chaque année à la terre par la transmutation des énergies et la réception, principalement des feuilles, mais aussi transforme et transmute l’énergie des branches et du tronc.

Toute sa structure d’accueil est déjà verte, visant à éviter de gaspiller cette ressource d’existence et à préserver les adaptations qui se sont développées au cours des dernières centaines de millions d’années. De plus, l’existence d’une duplicité avec les vibrations du sol, tout en recevant des informations du noyau de la planète à travers des émanations de fluctuations quantiques par ses racines et les champignons collaboratifs associés, se croisant avec les informations du soleil reçues dans le passé et le présent, sont les concepteurs l’ont utilisé afin de s’adapter plus de 10 ans à l’avance, afin que de nouvelles graines soient libérées plus ou moins loin, plus ou moins de feuilles, des feuilles plus ou moins charnues, des écorces plus ou moins épaisses. Faire également des ajustements à la quantité d’eau dont ils disposeront dans une décennie ou plus.

De plus, en raison de la position de la planète dans le mouvement galactique, dans ses structures, au-dessus et au-dessous de la surface, à tel point qu’évolutivement aujourd’hui, ils se dispensent des mouvements de déplacement, ils éprouvent et ressentent des éruptions solaires, même s’ils ne voient pas eux comme nous qui ne vivons que dans le temps présent. Ces émanations solaires ne prennent pas ces êtres vivants au dépourvu, ils ont déjà une préparation informative en interne, ils savent déjà ce qui a provoqué ce phénomène solaire, grâce à des informations croisées, disponibles, y compris, dans l’ADN des graines. Ces êtres savent que des informations qui nous semblent être des anomalies actuelles, des choses d’il y a plus d’une décennie, et atteignant maintenant la surface du soleil, se sont écartées de l’axe central.

La théorie de Hans Eduard Suess (1909-1993), publiée dans le magazine suédois Tellus, en 1957, a prouvé avec le radiocarbone des variations solaires/climatiques cycliques tous les 90 ans (COSTA, 2007). De plus, des orbites égocentriques et variables revenant tous les 179 ans, « cycle de Joseph », ont été identifiées, rapportées que les planètes par attraction gravitationnelle/magnétique provoquent des taches solaires.

En raison de l’équipement actuel utilisé, l’affirmation selon laquelle certaines des planètes du système solaire sont à l’origine des taches est altérée, puisque 80% d’entre elles proviennent, principalement, du noyau des soleils vers l’extérieur, en raison des effets d’excitation de l’axe universel des temps passés, en train d’émerger, atteignant la surface solaire. Sauf si une planète possède une énergie gravitationnelle décompensatoire temporelle dans l’ordre heptadimensionnel pour aller au cœur du soleil et faire émerger le tourbillon d’énergie appelé tache solaire. Ainsi, la question se pose de savoir si cela serait possible, puisque le soleil représente fondamentalement 99,9% de toute la masse du système solaire. Dans ce contexte, il est presque impossible que la matière restante ait une force gravitationnelle pour provoquer des taches d’une telle ampleur.

De plus, les résultats de Scafetta (2010) apportent des preuves qui pointent vers les influences des 4 plus grandes planètes solaires sur la mécanique gravitationnelle et magnétique des phénomènes de l’ensemble du système et pas seulement sur les forces gravitationnelles ou radioactives. De plus, des études publiées dans les Physical Review Letters entre 2003 et 2008 ont rapporté que l’existence de hautes ou basses fréquences d’excentricités locales va bien au-delà des mouvements du soleil, des planètes et de leurs lunes, et des fluctuations d’événements appelés Dansgaard-Oeschger. Ce qui implique une corrélation entre les activités solaires amplifiées et la réaction du système interne de la planète, mais je pense qu’elles sont un nord pour mieux comprendre notre climat, qui a des excitations externes longues, moyennes, actuelles et passées (DANSGAARD ​​et al., 1993).

Aussi, la NASA est citée, qui prétendait vérifier s’il y a une influence solaire sur le noyau de la planète (NASA 2011) ce qui corrobore cet essai théorique, surtout aujourd’hui, alors que des tornades jamais vues o

 

u ressenties auparavant, ne pouvaient se former qu’avec des énergies internes de la planète, car il n’y a pas assez de conditions de variations atmosphériques pour alimenter ces anomalies en amérique du nord, ainsi que l’absence de justification pour les animaux domestiques ne s’étant pas encore débarrassés de leurs « vêtements d’hiver », en plein été en amérique du nord au sud, soit l’absence de ravageurs qui migrent du sol vers les plantes à cette période de l’année. Face à cela, la question est : que se passe-t-il ? Notre migration planétaire a-t-elle jamais coïncidé avec ces anomalies ou en sommes-nous la cause interne ?

A titre d’exemple, je mentionne aussi les insectes, les vers, les champignons, les animaux de compagnie, les félins, les oiseaux, qui sont ceux que nous avons les plus proches dans notre culture de pacification et de domestication et les plus faciles à suivre dans leurs adaptations. Un exemple typique est celui des champignons. Ils ont tendance à proliférer lorsqu’il y a des changements climatiques favorables ou qui peuvent provoquer leur éradication par des facteurs externes défavorables. Pour cette raison, il est nécessaire de se désinfecter, d’utiliser de l’eau de Javel.

En même temps, il faut éloigner les jardins des insectes (fourmis par exemple) dans l’empressement qu’ils développent à nourrir leurs champignons, lorsqu’ils ressentent les vibrations du sol des mois avant que l’événement climatique ne se produise. Nous devons également collecter les poils/plumes qui tombent des animaux domestiques lors des changements de saison.

Mais, observons que les fourmis n’ont pas toutes les années les mêmes fringales, en termes de quantités ou de durée de conservation. Les plumes et la fourrure n’ont pas la même longueur, largeur ou épaisseur et couleur. Ces variations ne sont pas de simples adaptations aux changements de température ambiante, ce sont les informations qui arrivent du soleil et du sol, des mois avant, c’est la préparation cellulaire autonome, qui envoie le signal pour que les cellules créent des mécanismes de défense et de préparation, qui détermine combien nous et eux allons avoir faim ou soif pour accumuler des graisses ou des sels minéraux supplémentaires pour les changements, qui sont déjà déterminés et avec quelle ampleur ils se produiront et combien de temps ils dureront. (C’était comme ça avant notre ingérence dans la libération de CO2 en quantités accélérées).

Ces informations sont reçues par les espèces sauvages et domestiquées (domestiquées), ou par les sites et les fermes, toujours à l’avance, au moins une fois par an. Les cellules des individus en possession de ces indications, en congrès, s’autodéterminent avec l’indication cellulaire afin qu’elles génèrent plus ou moins de nouveaux spécimens similaires qui viendront déjà avec de futures adaptations. Là où même nous, les humains, les derniers à arriver à ce festin saisonnier climatique (86 mille ans, compte tenu approximativement des trois dernières espèces d’hominidés), ressentons cette commande intérieure qui génère la volonté d’accumuler de la graisse et de procréer et, bien que nous parvenions, en partie , supprimer en imposant la volonté de l’esprit à la volonté du corps, nous ne sommes pas totalement à l’abri, car nous sommes des créatures dualistes, vivant en symbiose, parfois le collectif du corps domine, parfois l’esprit agrégé le fait, parfois les deux vivent ensemble.

Revenant à des exemples d’adaptations, parmi les animaux que je mentionne ci-dessous, je mets en évidence certains chats des neiges qui changent complètement de couleur et le restent plus ou moins longtemps. Je mentionne également les oiseaux, comme les paons qui changent de plumage, selon l’occurrence plus ou moins d’incidence des fréquences solaires, de la lumière, et plus ou moins certaines longueurs d’onde, des variations de la dureté des vagues, afin de rester camouflé à coup sûr plus longtemps, avoir plus de nourriture et être moins de nourriture et plus prédateur.

Avec ces changements, ils deviennent complètement blancs s’ils sont dans l’hémisphère froid et ce changement ne se produit pas toujours de la même manière, ni avec la même durée, il peut varier de jours, semaines ou mois. Les vêtements naturels qu’ils adoptent et la lecture des fibres de leurs ailes varient d’année en année. A cet égard, j’affirme que ce phénomène ne devrait pas se produire uniquement à cause de l’âge de l’oiseau, que plus il est âgé plus ses cellules sont soucieuses de le mener à une vie encore plus grande. Ce qui oblige le changement est la commande préparatoire, venant ou reçue à l’avance de l’espace/du soleil/du noyau planétaire/de l’émanation superficielle, séparément et ensemble, quelque chose que nous, les humains, faisons aussi, automatiquement, quand, avec le temps, nos défenses deviennent plus alertes, rendant pour la perte de vigueur physique due à une plus grande interaction avec le milieu environnant et avec d’autres formes de vie. Lorsque nous changeons nos antennes, qui sont en plus de la peau, des poils sur le corps et sur la tête, ce qui se produit principalement avec l’âge, en vieillissant, lorsque nous avons plus de poils sur les sourcils, à l’intérieur du nez, les poils deviennent plus clair, généralement blanc et fin. De plus, visant une plus grande réception, la croissance du nez et des oreilles est accélérée, en plus d’autres adaptations internes qui se produisent également, toutes visant à préserver et à anticiper notre existence. Normalement, cela est étranger à notre intelligence consciente, qui ne peut pas grand-chose, si ce n’est bien sûr nous conseiller de porter des vêtements adaptés à la saison, en raison des sensations de froid ou de chaleur.

La grande réalisation dans ces exemples ci-dessus, des adaptations des êtres vivants multicellulaires, est que les adaptations sont faites par le collectif de cellules involontairement. Le collectif crée l’intelligence de l’adaptation pour survivre aux changements, sans avoir besoin de raison ou d’intelligence rationnelle pour prendre une décision, bien au contraire, l’intelligence méditative que nous appelons raison, qui est dominée par l’intelligence collective du corps, dans la plupart des cas. La raison pour laquelle nous entrons dans la dépression lorsque notre corps se sent menacé est l’intelligence du collectif cellulaire qui s’active. Cependant, même par des variations de la pression atmosphérique, nous pouvons être menacés et cette intelligence primitive prendra également cela comme une menace, sans en connaître la cause rationnelle.

Lorsqu’un changement se produit et est ressenti par la matière, qui ne trouve pas de raisons rationnelles, palpables ou informatives ou dans les médias anticipant les changements solaires ou climatiques, beaucoup peuvent se sentir menacés et le corps réagit de manière disproportionnée. À ces occasions, lorsque nous ressentons des émanations de l’environnement sans que la raison logique en soit consciemment notifiée, une grande porte s’ouvre pour les drogues licites et illicites de toutes sortes, fournissant un amortissement de ces sensations ou sentiments du climat ou des émanations du centre de La terre. Ce phénomène se produit parmi les plus fragiles mentalement, parmi ceux qui ont une relation corporelle plus sensible aux influences extérieures ou plus perméable et sensible, provoquant une agitation mentale, qui trouvent le calme des choses incompréhensibles et atroces dans les drogues et les boissons. Cela se produit lorsqu’il y a des réceptions dans le corps que la partie physique matérielle essaie d’interpréter et ne peut pas.

Mais, nous, êtres humains, ne sommes pas les seuls à souffrir de cette réaction de changements planétaires qui vient du noyau terrestre. Même les parasites, les champignons et les symbiotes qui coexistent avec l’humanité font la transition et collaborent pour que l’hôte ne meure pas ou soit désavantagé. Pourtant, la plupart des insectes obéissent à l’impulsion de procréation accélérée de ces anomalies venues de l’espace, du soleil ou de la terre elle-même, réagissant avec une incroyable voracité alimentaire, tout en essayant de diffuser leurs gènes de procréation ou agissant pour accumuler des réserves, s’attaquant à nos champs de plantation et punir notre agriculture qui n’a pas toujours à faire face uniquement aux sécheresses ou aux inondations de ces anomalies climatiques. Nous cohabitons donc avec ces nuisibles qui ne font que suivre des instincts primitifs préalablement chargés dans leur ADN, comme nous, à la différence que ces fortes concentrations d’insectes, champignons ou autres parasites peuvent devenir incontrôlables si nous créons trop de déséquilibre, d’atmosphère chaleur, ou CO2 en interne, par exemple, et s’ils ne reçoivent pas le bilan énergétique, ils peuvent déséquilibrer toute la flore et la faune, que ce soit en tant que prédateurs ou proies, sinon voyons voir, par exemple : il devait y avoir un essaim de criquets et il y avait déjà des prédateurs (oiseaux) prêts à contre-attaquer, mais cela ne s’est pas produit comme ajusté dans l’ADN des deux parties. Par conséquent, dans un avenir proche, il pourrait y avoir un manque de prédateurs qui compensent l’excès d’insectes dans un autre endroit, par exemple : nous aurions moins d’hirondelles migrantes, qui ne mangeraient pas de moustiques, ce qui provoquerait une large propagation de la fièvre jaune.

Il semble que la corrélation était une grande raison du manque de relation entre le trépied de la formation du climat qui est = noyau de l’univers + noyau du soleil + noyau de la terre, et la compréhension de l’adaptation des espèces si longtemps à l’avance pour ce qui allait venir, si longtemps avant que cela ne se produise, cela était compris comme une science et non comme une anomalie.

Des problèmes tels que : la germination des plantes ou la procréation, selon ce qui se passera à certains endroits, sont palpables par la quantité de larves déposées, de sauterelles, d’essaims de mouches qui naissent, de moustiques, de fourmis (elles sont les championnes, elles arrivent récolter de la nourriture deux ans à l’avance, monter et fermer l’embouchure des fourmilières des mois avant les pluies et savoir où atteindra le niveau de l’eau).

Les insectes, peut-être en raison de leurs exosquelettes, de leur quantité et de leur proximité avec le sol, ressentent de plus en plus les vibrations du sol, de la planète et du soleil, ainsi que les fluctuations des énergies à l’intérieur ou sous le sol, faisant des interprétations très affirmées des événements à venir. Ils ont aussi des relations différentes avec le climat à cette époque, car ils sont toujours sous le stigmate du trépied des énergies qui composent le kaléidoscope de l’univers. Les arbustes et autres plantes sont aussi une vitrine, si on regarde les espèces de ce qu’on appelle, on constate que les adventices ou plantes opportunistes émergent très vite, sont dominantes, expansives et poussent au moins six mois avant que la fluctuation climatique n’apparaisse.

Bien que dans certains cas je cite les observations scientifiquement recueillies ci-dessus et référencées, je cite mon expérience avec les changements climatiques adaptatifs cellulaires et symbiotiques, sous mon analyse et mon étude consciente, où mon corps, étranger à ma volonté, se modifie et s’adapte. Explication : cela se produit avec la création de couches de peau plus que la normale. Il y a un chevauchement de jusqu’à 5 couches de peaux mortes sur ma peau qui se forment, principalement, avant les vagues de froid, par exemple, et ne se détachent pas, créant une barrière protectrice et sensible, en plus d’avoir un nez prononcé, qui protège les dimensions.

Je dirais que ce phénomène est similaire à ce qui arrive aux éléphants qui ressentent les avertissements d’où aller depuis le sol, les émanations des pôles magnétiques, où il pleut ou va pleuvoir, où il y a de l’eau sur le sol. D’autres êtres à la peau épaisse, tels que les rhinocéros et autres mammifères, le ressentent également. J’ai vécu une bonne partie de ma vie comme eux, me sentant trahi en me sentant mal lors de changements brusques des semaines avant le changement climatique et, parfois, en ressentant les émanations d’autres êtres vivants proches dans des conditions qui n’étaient pas comprises à l’époque. Pendant des années, on ne savait pas que ces changements sont un cadeau que notre corps utilise pour assurer la survie et l’adaptation précoce. Cependant, il y a un prix à payer pour avoir une protection précoce, soit dit en passant, ce sont des fissures qui font mal et brûlent lorsqu’elles sont exposées.

Epaississement des poils, des poils et augmentation de leur quantité, plus de couches de peau, vagues de froid ou de chaleur dues aux adaptations de nos glandes, variations des battements cardiaques, ainsi que de la pression veineuse, sont liés aux événements signalés par le passé pour nos neurones, atomes et cellules, et dans notre univers quantique, mais qui semblent être actuels, mais ils ne le sont pas. Ils ont été générés il y a longtemps, pour notre positionnement galactique actuel, et ce n’est que lorsque nous sentons consciemment, dans le temps présent, que nous nous réveillons et convenons qu’il y a eu une préparation préalable, car des changements climatiques externes émergent, comme un climat personnel corporel prévoir, d’une manière si palpable que nous avons déjà qu’ils peuvent et commencent à être détectés par nos satellites, capteurs, et analysés par nos superordinateurs mathématiques probabilistes.

6. CONSIDÉRATIONS FINALES

Tout émane de l’existence de cette force primordiale Dieu, tout est énergie voyageant et communiquant comme si les distances n’existaient pas, où les Ondes-Hybrides (OH) sont matière, fréquence, dimension, et sont la direction des mouvements, la gravité s’agrégeant, le treillis et la colle de l’enchevêtrement, le lieu où l’équilibre entre l’attraction et la distance est maintenu, permettant l’existence harmonieuse, les formes d’énergie, la communication entre toutes les choses existantes, y compris multi et extradimensionnelles, de fréquences variables et intelligentes.

En grande partie parce que, à plusieurs égards, nous sommes d’accord avec la théorie de la commodité fonctionnelle de Júnior (2019) et avec Rovelli (2017), où il est déduit que nous créons la réalité à partir de la création de la pensée de ce qui est faisable pour être la réalité, ce qui donne alors monter à la réalité. L’anomalie de l’eau à changer au fur et à mesure que nous l’observons, la touchons et la manipulons est la plus grande preuve de notre participation au tout de l’univers et de notre ingérence dans tout par de simples observations et pensées. Si nous altérons cette matière, cet élément stellaire H2O, par le simple fait de le prendre dans nos mains et de le mettre dans notre bouche, comme cela est prouvé, et où cet élément altéré finit par interférer dans toute notre structure corporelle, physique et chimique, ce que notre esprit peut atteindre? Pouvons-nous façonner la réalité future en pensant à l’agrégation de particules matricielles ? Qu’en est-il du contrôle climatique basé sur la compréhension de son fonctionnement dans l’espace intermédiaire de l’atmosphère ? Puisque l’avenir est déjà projeté par la pensée et que le climat d’hier existe déjà au cœur du soleil et de la planète, est-ce que nous allons trouver dans l’espace ce que notre imagination a créé ou est-ce ce que nous avons inconsciemment vu dans la formation des énergies créatrices fondamentales ? Le comportement de ces Hybrid-Waves (OH) n’est ni clair ni défini, se déplaçant de manière Super Fluide (SFs), qui sont théoriquement reconnus comme des Muons, une onde si éthérée qu’elle imprègne et traverse tout, tout le temps, servant également à la détection de toute anomalie provenant ou se produisant de l’espace ou du noyau terrestre, car ce sont des éléments primaires, formant également la vie sur terre.

C’est la raison première pour laquelle cette étude, dans l’aspect fonctionnel pratique, visait d’emblée à montrer que nous sommes dans un corps plus vaste où nous nous connectons aux événements indépendamment de notre participation consciente, où des vitesses se produisent dans des temporalités que jusqu’à présent nous n’avons pas pu mesurer, ni identifier, mais utiliser notre corps par analogie comme un dictionnaire et un outil temporel, aidera.

Aussi pour que nous puissions rompre avec les chaînes de soumission de la compréhension que seul ce qui a atteint la surface du soleil, est visible ou détectable, affectera notre climat ou nous donnera une prévisibilité totale, puisque nous n’avions pas compris les déclencheurs internes qui communiquent avec le noyau soleil/noyau terrestre, noyau terrestre/surface, terre et atmosphère, ni comment ces ondulations se déplacent des noyaux vers les surfaces, ce qui est très similaire aux bras de la Voie lactée touchant la surface du soleil de l’intérieur et en se reflétant dans un mouvement circulatoire de rotation partent du noyau terrestre vers la croûte terrestre (dessins de l’auteur 5, 6 et 7).

Il y a beaucoup à apprendre et à étudier, car nous sommes secoués par une myriade de circonstances au-delà de notre contrôle et de notre compréhension temporelle galactique, nous laissant étudier les écarts de décharge de plasma et les éruptions solaires qui secouent nos boucliers aujourd’hui. Cependant, nous pouvons comprendre que ceux-ci ont été émis dans le passé depuis l’axe magnétique du macro-univers et n’émergent que maintenant dans un déjà-vu cosmique.

C’est le long de cette voie que nous devrions chercher une compréhension théorique probabiliste de la façon dont nous devrions nous préparer économiquement et physiquement à un climat futur qui n’est pas encore détectable par l’équipement de calcul mathématique probabiliste le plus avancé.

Les ondulations spatio-temporelles qui imprègnent tout et tout le monde peuvent causer des dommages à l’espèce, sans être mauvaises, en être exemptées, vont réagir aux fissures que nous créons dans nos boucliers, c’est tout, et nos bioélectricités peuvent succomber à ces fluctuations d’énergies de le fond cosmique, dû à la fragilité des boucliers magnétiques gravitationnels et polaires, soudain avec des stries, qui sont comme des déchirures dans un drap, se produit, alors, avant même que le climat ne nuise à notre évolution matérialiste et productrice alimentaire, qui ne trouvera jamais de défense pour les émanations des éruptions solaires ou coronales si elle est trop fine.

Avec cette connaissance préalable, que la nature nous a donnée en la mettant à la portée d’un humain, pour diffuser la connaissance de la façon dont les ondes sont vécues par les spécimens plus anciens et survivants et cette nouvelle façon de regarder la physique de la vie qui nous entoure, je pense nous sommes capables de provoquer des interférences favorables contrôlées, comme réfléchir plus de lumière solaire, la réfléchir ou l’attirer, utiliser ses propriétés et anomalies qui atteindraient les océans et les continents, chauffer ou refroidir les zones d’intérêt. Je pense aussi que l’on peut développer des sources quasi inépuisables d’énergie non polluante, maîtrisant l’entrée des rayons solaires, donnant un sens à la consommation des richesses planétaires, telles que : l’eau, l’air, le sol et le soleil, principalement. Tout au long d’un nouvel agencement climatique, que j’envisage de réaliser, surtout en ce moment de développement, connaître et reconnaître le mode du climat, à constituer temporellement, lorsque nous dévoilerons la cause extérieure cachée, en même temps que nous devons trouver le temps de justifier notre existence et mieux comprendre maintenant qui nous sommes dans cette dualité esprit-corps. Nous devons également accepter les anomalies climatiques comme une opportunité de prendre des mesures que nous ne prendrions pas naturellement sans provoquer un tel défi créationniste destructeur et modificationnel.

Citant l’espèce humaine par exemple, on peut, en observant la collectivité cellulaire autonome, voir comment dans un instinct de perpétuation certains individus se distinguent plus favorablement que d’autres, la vie créant chez ces individus particuliers des vibrations harmoniques, internes ou externes, en plus de symétrie corporelle, facilitant sa présentation pour attirer un partenaire par des vibrations ultra inaudibles aux oreilles mais pas aux organes internes ou hormonaux, puisque notre corps peut échanger des informations avec d’autres individus de notre espèce voire d’espèces différentes de la nôtre, comme : chiens, chevaux, chats ou oiseaux, dans ce que nous appelons la synchronie amoureuse ou l’empathie, mais qui est un mode vibratoire étranger à notre intelligence perceptible. Il pourrait aussi s’agir d’une vibration rythmique du cœur, d’une communication entre l’ovule femelle et le spermatozoïde mâle, d’un proche qui provoque la libération de phéromones, bref, tout comme le transfert d’impressions et d’énergies vibratoires entre toute la galaxie , tout se reproduit toujours d’une certaine manière, et en connaissant mieux notre corps, avec cette nouvelle compréhension scientifique, ainsi que l’avancement des communications et de nouveaux centres de gestion et de contrôle, nous pouvons mieux survivre.

Toujours dans le temps, je mentionne comment nous devons faire attention à ne pas être éliminés par l’intelligence artificielle/mécanique « IA » (OLIVEIRA, 2019). Les dernières données mathématiques indiquent que nous agissons de manière erronée avec les autres espèces, avec nos semblables et avec la planète, ouvrant des perspectives pour que nous soyons éliminés si un juge totalement dépourvu de « sentiments » ou de cette interaction et connaissance de la cause, et sans l’interne équilibre qui oscille entre la matière et l’esprit présent dans la plupart des êtres, vient nous juger par l’absence de contrôle et la destruction du bioclimat et de la climatologie.

À travers les dernières expériences avec « l’IA », sans donner la parole à l’existence de nos divinités particulières, nous faisons de la place pour que nous soyons jugés par la logique qui ne peut pas reconnaître nos erreurs sans nous éliminer pour ce que nous avons fait et continuons à faire et entraine toi. Nous devons approfondir ce qui constitue nos connaissances prénatales imposées par l’ADN, nos actions et nos limites, démêler où sont nos barrières, rechercher la compréhension et la connaissance scientifique, de nouvelles voies et d’autres plans de logique. Sans plans mathématiques de prévision, d’utilisation d’outils climatiques et de gestion de notre richesse, nous ouvrons le flanc de la logique de restriction à « l’IA », en plus des 4 lois d’Issac Asimov, qui peuvent sembler illogiques à « l’IA », face à la destruction autour du monde, et du monde, par exemple.

Je répète donc, ci-dessous, une partie d’une autre étude rédigée par l’auteur, « QUI EST DIEU », qui complète et justifie cette compréhension des interactions et des connexions de ces forces naturelles d’énergies et du néant qui est presque absolu, sauf pour l’insignifiance des 2 ou 3% de matière diffusée.

C’est donc en Dieu que nous sommes en tant qu’intelligence, où j’illustre divers univers, interagissant avec d’autres divers univers, adjacents à l’intérieur et à l’extérieur d’un être plus grand. Où une cellule ou un globule est une galaxie et où les macro-univers, en se frottant contre ses parois, créent les ondulations cosmiques qui se relayent en ondulations dans tout l’espace de notre compréhension en un temps zéro. Ces ondes se reproduisent d’innombrables fois dans la désintégration temporelle qui peut alors être trouvée et ressentie par la matière où nous sommes insérés, et où se trouve notre planète qui, comparativement parlant, fait partie d’un système intégré dans la cellule, qui est, par exemple, transitant à l’intérieur d’un rein, ou d’un foie, ou d’un estomac, ou dans la moelle épinière, c’est-à-dire à l’intérieur d’un être supérieur, qui agirait et réagirait comme une partie d’une cellule lorsque cet être supérieur ingère, est frappé par quelque chose d’extérieur , ou brûle encore des énergies. Lorsqu’à la vitesse de la pensée nous serions avertis, exactement comme cela se produit dans un organisme humain, ces décharges d’un corps choquent à la vitesse de la pensée, lorsque les neurones les plus proches de chaque partie de l’ensemble fournissaient des mesures d’action et de préparation précoce, où physiquement de nouveaux matériaux pénètrent dans l’espace de la cellule en question ou dans un autre endroit proche, ce qui affecte plus tard son existence.

Dans ce contexte, les ondes suivantes à la vitesse de déplacement des pensées arriveraient sous forme d’énergies, de nouvelles préparations seraient désormais dictées par des neurones plus proches, bien que déjà dans cette première impulsion d’alerte, tout le monde au sein de la cellule comprenne les changements et, en un contexte, il y a eu une préparation de même la plus petite particule à l’intérieur de la cellule, des adaptations pour se battre pour l’existence, même si l’hôte avec une conscience spirituelle a peu d’interaction avec les arrangements quantiques ou n’est pas conscient des giga-relations impliquées, encore, tout et tout le monde autour de la particule à l’intérieur de la cellule est déjà dû à cet avertissement et à d’autres avertissements qui arrivent toujours successivement, tous entrent dans le système de la cellule et le préparent, ainsi que tout ce qui s’y trouve, à de nouveaux affrontements. Tout dans cet espace perméable à l’étude, dans le cosmos[2].

Corroborant ce qui précède, il existe deux études qui sont partiellement d’accord avec ce qui a été décrit ci-dessus.

La première fait référence à la façon dont le Dr. Prof. Elcio Abdalla, pour contenir un visage du prisme et sa vision des dimensions multiples, qui touche des aspects pertinents de ce qui est décrit dans la Théorie de Qui est Dieu, mais avec une autre lecture, interprétation et résultats, dimensionnels, physiques et philosophiques.[ 3] ]

La deuxième étude, par le professeur Dr. João E. Steiner, indique une différence dans la conclusion de l’intériorisation de l’univers et de sa formation, qui est placée dans cet essai. Bien qu’ils le disent avec précision, ce dont on parle aujourd’hui et qui nous semble, a le même poids que la terre plate et l’héliocentrique ou galactocentrique, vu les conclusions présentées, observations, études et résultats divergent et s’opposent avec véhémence, y compris contre le Théorie du Big Bang, car pour que cet effet se produise, le méga univers ne pouvait pas avoir d’axe énergétique central, d’axe magnétique nord-sud ou stellaire, ni extrapoler l’expansion de l’univers à 44 milliards d’années lumière à partir du centre inflationnaire[4] .

Les collègues n’ignorent pas que ce n’est que par gravité que les nuages ​​cosmiques fusionnent et que, par la compression des éléments de base, ils entrent dans la combustion atomique. Il est illogique, sans une étincelle cosmique provenant des ondes d’excitation extérieures au conglomérat de gaz comprimés, qu’un four atomique démarre, dans ce cas, même parce qu’un tel événement serait perturbateur du fait de l’explosion qui en résulterait, uniquement du fait de la étincelle ultra-fréquence initiale et continue, on comprend comment les températures extérieures peuvent être plus élevées que les températures intérieures constamment hypothétiquement mesurées dans les soleils, raison pour laquelle ne mettre que les vues ci-dessus, de la façon supposée les lois physiques climatiques gravitationnelles de l’univers et des galaxies travail, c’est-à-dire à travers une nouvelle vision des raisons pour lesquelles les hommes pensent et se comportent, face à l’univers inexplicable et partiellement mathématique/physique/religieux, je pense, la voie commencera à s’ouvrir à des approches sans réserves morales et réalistes.

LES PROPOSITIONS

Des propositions peuvent et doivent être utilisées, avec des initiatives de survie, cette prémonition ou premier avertissement, que la vie demandée nous donne directement depuis l’axe de l’univers, en l’utilisant pour comprendre comment l’énergie et la vie pulsent, pourquoi elles réagissent ainsi avant de le climat palpable et parce qu’on nous conseille à l’avance d’agir en synchronicité avec le cosmos, avec nos corps physiques. Relier les taches solaires et les éjections coronales au changement climatique, avec ce qui émerge du noyau terrestre, qui peut avoir été vibratoirement pré-nivelé, noyau solaire/noyau terrestre. Ils peuvent également être orientés pour inclure notre réaction nucléaire humaine avec les mouvements circulatoires que nous éprouvons, alors que nous nous déplaçons à des centaines de milliers de kilomètres à l’heure à travers la galaxie et nous espérons que nous sommes des êtres plus intelligents qu’un ver de terre, qu’en utilisant son collectif les connaissances cellulaires, transmises par l’ADN matriciel, des semaines avant que certains équipements ne prédisent la pluie, la sécheresse ou le froid à cet endroit précis, se lèvent ou retombent sur le sol pour survivre, en utilisant uniquement les vibrations du sol comme orientation cellulaire. Rappelant que nous avons un peu plus de 100 000 ans, comparés aux millions d’années d’expérience des autres êtres.

Une autre proposition serait de contrôler le climat, car il n’y a plus de temps pour rétroagir. La courbe est dans une position de changement vers le bas, c’est ce qu’informent la nature et la science, ce sont des faits que nous ne sommes plus synchronisés, comme le démontre la pulsation « Schumann » mesurée en Hz, qui a atteint les trois chiffres, lorsque le balancier serait les deux chiffres en dessous de 30Hz. La chaleur interne planétaire est en retard sur la circulation des vents, qui agissent et déplacent les océans, les émanations du noyau interne avec le noyau solaire sont dissociées de l’échauffement et de la fonte des calottes polaires, des gaz réactifs à des longueurs d’onde spécifiques qui stimulent par les plantes et le plancton pour absorber le CO2, se déclenchent plus tôt que prévu, augmentant la distance par rapport à l’équilibre de réchauffement.

Cependant, la santé physique/mentale et alimentaire humaine doit être préservée en contrôlant le climat, en forçant le refroidissement avec des précipitations contrôlées, car le déplacement des pôles magnétiques ainsi que les changements de fréquence seront désastreux pour les êtres vivants, autant que les changements climatiques extrêmes, et tout au bord de l’inversion magnétique, quand statistiquement tout sera amplifié.

La proposition, enfin, est que nous pouvons préserver notre intelligence intellectuelle consciente, car le corporel se bat dans l’inégalité et, dans le contexte d’un changement climatique brutal, il sera difficile de gagner, en raison de notre fragilité corporelle qui essaie même de effectuer les adaptations physiques nécessaires avec la perception mentale. Pour cette raison, nous devons comprendre et préparer, dans l’étude des ondes et vibrations cosmiques, tout en étant exposé à ces fréquences.

RÉFÉRENCES

ABDALLA, E. A estrutura do universo, a mecânica quântica e a cosmologia moderna. Revista USP – São Paulo, n. 62, p. 6-29, junho/agosto 2004.

ARANTES, J. T. Ação gravitacional do Sol e da Lua influencia o comportamento de animais e plantas, indica estudo. Agência FAPESP, novembro de 2022. Disponível em: https://agencia.fapesp.br/acao-gravitacional-do-sol-e-da-lua-influencia-o-comportamento-de-animais-e-plantas-indica-estudo/37223/. Acesso em: 12 de julho de 2022.

BOOTHBY, T. C. et al. Tardigrades Use Intrinsically Disordered Proteins to Survive Desiccation. Mol Cell, v. 65, n. 6, p. 975-984, mar. 2017. Disponível em: doi: 10.1016/j.molcel.2017.02.018. Acesso em: 20 de julho de 2022.

COSTA, F. A . P. L. Primórdios do aquecimento global. Ciência Hoje, vol. 40, nº 23, junho de 2007.

DANSGAARD, W. et al. Evidence for general instability of past climate from a 250-kyr ice-core record. Nature, v. 364, p. 218–220, 1993. Disponível em: https://www.nature.com/articles/364218a0. Acesso em: 20 de julho de 2022.

DIÁRIO DA SAÚDE. Descobertas células que permitem que segundo cérebro fale com o primeiro cérebro. Diário da saúde, abril de 2022. Disponível em: https://www.diariodasaude.com.br/news.php?article=descobertas-celulas-permitem-segundo-cerebro-fale-primeiro-cerebro&id=15256. Acesso em: 15 de julho de 2022.

FREITAS, F. Astrônomos encontram galáxia mais distante já observada. Mundo conectado, abril de 2022. Disponível em: https://mundoconectado.com.br/noticias/v/24491/astronomos-encontram-galaxia-mais-distante-ja-observada#:~:text=Trata%2Dse%20da%20gal%C3%A1xia%20HD1,e%20mais%20velho)%20j%C3%A1%20observado. Acesso em: 15 de julho de 2022.

GILLET, N. et al. Satellite magnetic data reveal interannual waves in Earth’s core. Proceedings of the National Academy of Sciences, v. 119, ed. 13, 2021. Disponível em: https://doi.org/10.1073/pnas.2115258119. Acesso em: 12 de julho de 2022.

GALLEP, C. de M; ROBERT, D. Are cyclic plant and animal behaviours driven by gravimetric mechanical forces? Journal of Experimental Botany, v. 73, ed. 4, p. 1093–1103, novembro de 2021. Disponível em: https://doi.org/10.1093/jxb/erab462. Acesso em: 12 de julho de 2022.

HANSON, C. S.; HANASOGE, S.; SREENIVASAN, K. R. Discovery of high-frequency retrograde vorticity waves in the Sun. Nature Astronomy, v. 6, p. 708–714, 2022. Disponível em: https://doi.org/10.1038/s41550-022-01632-z. Acesso em: 12 de julho de 2022.

JÚNIOR, J. M. Teoria da Conveniência Funcional: Uma reflexão sobre as propriedades fundamentais da matéria. Revista Científica Multidisciplinar Núcleo do Conhecimento. Ano 04, Ed. 07, Vol. 12, pp. 133-157. Julho de 2019. ISSN: 2448-0959. Disponível em: https://www.nucleodoconhecimento.com.br/fisica/conveniencia-funcional. Acesso em 21 de julho de 2022.

LIGEIRO, R. Ciência, previsão e probabilidade. Universo Racionalista, fevereiro de 2015. Disponível em: https://universoracionalista.org/ciencia-previsao-e-probabilidade/#:~:text=%E2%80%9CA%20ci%C3%AAncia%20n%C3%A3o%20pode%20prever,Assustador%2C%20at%C3%A9%20mesmo. Acesso em: 12 de julho de 2022.

NASA. NASA Study Goes to Earth’s Core for Climate Insights. NASA Jet Propulsion Laboratory, 09 mar. 2011. Disponível em: http://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?release=2011-074. Acesso em: 20 de julho de 2022.

OLIVEIRA, M. J. de; CARNEIRO, C. D. R.; VECCHIA, F. A. da S.; BAPTISTA, G. M. de M. Ciclos climáticos e causas naturais das mudanças do clima. Terrae Didatica, v. 13, n. 3, p. 149–184, 2018. Disponível em: DOI: 10.20396/td.v13i3.8650958. Acesso em: 12 de julho de 2022.

OLIVEIRA, H. Deus e a Ciência. Ciência nordestina, 2019.

ROVELLI, C. A realidade não é o que parece: A estrutura elementar das coisas. 1 Ed, Rio de Janeiro: Objetiva, 2017. 

SANTOS, I. de O. Ensaio sobre a teoria de quem é Deus, da partícula matricial e dos estames quânticos: na formação do tudo e do universo. Revista Científica Multidisciplinar Núcleo do Conhecimento, ano 06, ed. 09, vol. 02, pp. 05-22. Setembro de 2021. ISSN: 2448-0959. Disponível em: www.nucleodoconhecimento.com.br/fisica/quem-e-deus. Acesso em: 12 de julho de 2022.

SCAFETTA, N. Empirical Evidence for a Celestial Origin of the Climate Oscillations and Its Implications. Journal of Atmospheric and Solar-Terrestrial Physics, v. 72, p. 951-970, 2010. Disponível em: https://doi.org/10.1016/j.jastp.2010.04.015. Acesso em: 20 de julho de 2022.

STEINER, J. E. A origem do universo. Estud. av. vol. 20 n°. 58. São Paulo, 2006. Disponível em: https://doi.org/10.1590/S0103-40142006000300022. Acesso em: 21 de julho de 2022.

ANNEXE – NOTE DE BAS DE PAGE DE RÉFÉRENCE

2. Et qui est Dieu en dehors des dogmes théologiques ? Qui peut être Dieu en étudiant froidement les fréquences connues et en les projetant comme une force créatrice pour la formation et l’agrégation de la matière ? Quel pourrait être l’intérêt de quelque chose d’aussi puissant chez des êtres minuscules comme nous, par exemple ? Quelle peut être la raison de notre existence pour une telle créature, ou de telles créatures, où probabiliste parlant, nous sommes 8 zéros après une virgule ? Il faut penser qu’il ne peut y avoir qu’une seule raison, nos énergies bio-ioniques, physiques et quantiques, qui semblent peu nombreuses même si elles émanent de milliards d’êtres humains et, peut-être, dans une moindre mesure d’autres êtres vivants animaux, puisque les plantes perdent peu de bioénergie quantique spirituelle, où peut-être la gravité elle-même et les énergies magnétiques sont un plan universel pour maintenir la terre pour libérer la bonne énergie biocellulaire, sont des possibilités non exclusives pour justifier notre taille, puisque nous avons déjà prouvé qu’il y en a d’autres avec d’autres lois de la physique au travail, sans ces liens.

Par conséquent, étant la première alternative correcte, nous pouvons en déduire qu’il existe un Dieu supérieur (supposons, par analogie, qu’il s’agit d’un être comme un humain complet, dans ses deux versions, l’être physique matériel et l’être physique spirituel , d’actions cognitives conscientes et inconscientes, avec une information stratégique adaptative, qui utilise l’information reçue ou rayonnée, ou reçue radialement, et qui est traitée par deux processeurs indépendants, qui agissent avec des stratégies indépendantes mais harmonieuses) et en son sein plusieurs univers ayant chacun son centre Propres neurones pour commander et communiquer avec le Dieu Père. En son centre, il y a l’estomac ou la moelle épinière, qui insère dans le père toutes les énergies dans les formats les plus variés, les transforme et les redirige vers d’autres dimensions et, au sein de ce vaste complexe, il y a un élément qui est notre planète (bien sûr vu comme énergie, nous ne sommes pas matière pour cet être, mais peut-être sommes-nous matière pour un groupe de neurones énergétiques plus proches, qui seraient nos Dieux personnels, ceux qui nous regardent comme nourriture, qui interfèrent dans notre progression de développement par voracité, des êtres qui vivent dans des espaces temporels inimaginables, avec des plans de création intemporels, comme des Dieux pour chaque grappe, c’est-à-dire pour chaque couche de l’estomac ou pour chaque dimension, et tous voulant être des neurones plus puissants ou représentatifs devant le corps du PÈRE /DIEU, et certains dépendant de nos énergies fluctuantes bio-ioniques, tantôt positives, tantôt négatives, quand elles sont bonnes elles nourrissent des êtres positifs et, si elles sont négatives, des êtres obscurs, positifs ou négatif).

Le fait est que nous sommes tous le résultat d’une transformation, d’une énergie en mouvement dimensionnel étroit. Notre existence est en soi un acte de violence, nous sommes consommateurs de matière, ce qui nuit à l’univers. Nous ne pouvons jamais être exonérés parce que nous causons un déséquilibre dans notre propre existence. Nos pensées et nos vibrations sont des facteurs négatifs, bien que faisant partie d’un plan plus large de ces intelligences intemporelles, pour qui nos questions existentielles sont hors de propos et illogiques, puisque nous sommes dans le système et existons avec un but que nous préférons ignorer pour des raisons de santé mentale.

3. Nous arrivons enfin au point où la science et la philosophie se fondent dans les préoccupations ataviques de l’homme. Nous sommes passés de préoccupations pratiques, techniques et utiles dans notre vie quotidienne posées par la physique et réalisées par la technologie, à des préoccupations de plus en plus théoriques et spéculatives. Premièrement, l’origine et la structure de la géométrie de l’espace-temps sont mystérieuses. Une géométrie quantique n’a plus de simples fonctions représentant l’espace, mais des opérateurs quantiques, et leur interprétation n’est plus aussi simple. De plus, au cœur de la gravité quantique, dans les trous noirs et à très haute température, il est essentiel de considérer toutes les particules et interactions, qui sont générées en nombre infini dans les théories des cordes. Surtout, les dimensions supplémentaires des théories des cordes, voire d’autres des théories M, peuvent intervenir, élevant la complexité du problème à des niveaux encore plus élevés. Certains prédisent que les dimensions supplémentaires se trouvent déjà dans des régions proches des observations. En tout cas, sa présence est devenue tout à fait probable dans le cadre des théories générales des champs quantifiés, et la vieille idée de Kaluza et Klein des années 1920 devient partie intégrante d’un ensemble d’idées presque quotidiennes, où d’autres dimensions deviennent omniprésentes. On passe à une zone beaucoup plus spéculative, dans laquelle l’observateur ne fait pas seulement partie de l’objet d’étude, mais bien plus que cela : l’objet d’étude transcende l’observateur, car non seulement beaucoup plus grand, comme notre univers l’est en fait , mais pour contenir l’observateur de telle manière que celui-ci ne soit pas en mesure, même en principe, d’observer son objet d’étude, puisqu’il n’y a pas de lien causal entre un univers et un autre. C’est la mécanique quantique vue dans une nouvelle dimension, dans laquelle la mesure, indispensable à l’interprétation même de la théorie, devient impossible à réaliser. Il dévoile un nouvel ensemble d’idées basées sur la théorie des supercordes, avec de nouvelles dimensions de l’espace et du temps transcendant, ainsi que de multiples créations d’univers. (ABDALLA, 2004)

4. LES DIFFÉRENTS MODÈLES cosmologiques à travers l’histoire sont brièvement décrits. L’évolution des idées peut être comprise comme une succession de modèles, tels que la Terre plate, les modèles géocentriques, l’héliocentrique et le galactocentrique. Au cours des cent dernières années, une théorie a été développée, celle du Big Bang, qui décrit les observations les plus sophistiquées que nous ayons aujourd’hui et qui montre que l’univers a une origine qui peut être scientifiquement recherchée. Au cours des dernières décennies, ce modèle a été affiné en un nouveau concept, celui du Big Bang inflationniste. Au tournant du millénaire, de nouvelles découvertes ont montré que toute la matière connue n’est que la pointe de l’iceberg dans un univers dominé par l’énergie noire et la matière noire dont les natures restent mystérieuses. (STEINER, 2006)

[1] Physicien expérimental. Économiste.

Soumis : Novembre 2021.

Approuvé : Août 2022.

Rate this post

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *

POXA QUE TRISTE!😥

Este Artigo ainda não possui registro DOI, sem ele não podemos calcular as Citações!

SOLICITAR REGISTRO
Pesquisar por categoria…
Este anúncio ajuda a manter a Educação gratuita